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Légende du cinéma: Wim Wenders, 80 ans d'indépendance cinématographique célébrés au Bio
Légende du cinéma: Wim Wenders, 80 ans d'indépendance cinématographique célébrés au Bio

24 Heures

time5 days ago

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Légende du cinéma: Wim Wenders, 80 ans d'indépendance cinématographique célébrés au Bio

Accueil | Culture | Cinéma & séries | Le réalisateur allemand souffle ses 80 bougies le 14 août. Le Cinéma Bio de Carouge lui dédie une rétrospective. Publié aujourd'hui à 08h24 Wim Wenders souffle cette année ses 80 bougies. IMAGO/Mauersberger En bref: Les articles ABO sont réservés aux abonnés. S'abonner Déjà enregistré.e ou abonné.e? Se connecter

Le cinéma anglais d'après-guerre s'invite au Festival de Locarno
Le cinéma anglais d'après-guerre s'invite au Festival de Locarno

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time09-08-2025

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Le cinéma anglais d'après-guerre s'invite au Festival de Locarno

Accueil | Culture | Cinéma & séries | La rétrospective sur le cinéma britannique d'après-guerre comble d'entrée les attentes avec deux petits bijoux signés David Lean et Edward Dmytryk. Edmée Cuttat Publié aujourd'hui à 09h02 Le Festival de Locarno met cette année à l'honneur le cinéma anglais de l'après-guerre. Bott Avec la Piazza Grande et la compétition internationale, la rétrospective constitue l'un des principaux piliers du Festival de Locarno . Très courue par les cinéphiles, conçue une nouvelle fois par le réalisateur, écrivain critique de cinéma Ehsan Khoshbakht, elle se concentre cette année sur le cinéma anglais de l'après-guerre, comme l'indique son titre, Great Expectations: British Postwar Cinema 1945-1960. Cette période a été fréquemment décriée par la critique déplorant son côté conformiste. Elle a pourtant eu ses heures de gloire pour son importante évolution, son intense créativité, et le talent de ses cinéastes. Qu'il s'agisse des incontournables David Lean, Carol Reed, Powell et Pressburger, ou d'auteurs de pépites oubliées. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. En 45 films, ils racontent l'histoire d'une nation en brossant son portrait, mettant également en évidence l'influence de femmes souvent méconnues et celle de réalisateurs américains contraints à l'exil par la tristement célèbre liste noire hollywoodienne pour suspicion d'affiliation communiste. Contrairement à une chasse au Léopard d'or un rien mollachue, heureusement dopée par Abdellatif Kechiche, la rétrospective comble d'entrée les attentes. À commencer par un bijou signé David Lean, The Passionnate Friends (1949), basé sur le roman éponyme de qui nous scotche dès les premières images, avec une intrigue à rebondissements se déroulant en partie en Suisse. Follement amoureux lorsqu'ils étaient jeunes, Mary (magnifique Ann Todd) et Stephen (Trevor Howard) se sont séparés. Sacrifiant sa passion à la sécurité matérielle, elle avait épousé Howard Justin (Claude Rains), un richissime banquier plus âgé qu'elle. Mary et Steven recommencent toutefois à se voir, mais le jaloux et possessif mari met brutalement fin à cette liaison. Quelques années plus tard, Mary en vacances dans les Alpes, rencontre Steven par hasard. Elle tente de faire revivre le souvenir de son premier amour, le seul, mais elle a laissé passer sa chance. Entre romance, contrariée, mariage et infidélité, David Lean se livre à une fine et subtile analyse du triangle amoureux dans un film lumineux à la somptueuse photographie. Le plan machiavélique du cinéma anglais On reste dans thématique du mari trompé avec Obsession (1949). Adapté du roman A Man About A Dog d'Alec Coppel, le film est signé Edward Dmytryk, victime mais plus tard collaborateur du maccarthysme. Clive Riordan (Robert Newton), réputé psychiatre londonien, aimant discuter business dans de chics clubs londoniens, disjoncte lorsqu'il découvre la liaison de sa femme Storm (Sally Gray) avec Bill Kronin (Phil Brown) un beau diplomate américain. Il imagine alors une vengeance diabolique, préparant méticuleusement le meurtre parfait de l'amant qu'il enlève et retient prisonnier pendant des mois dans une cave. Jouant avec les nerfs de son otage, Clive sombre peu à peu dans la folie. Mais alors qu'il va enfin exécuter son plan machiavélique et se débarrasser des preuves, la machine s'enraye. Car Scotland land Yard veille, en la personne d'un superintendant au flegme, à la présence collante et à la perspicacité d'un Columbo. Une touche humoristique et inattendue dans ce film noir à suspense original, habile, captivant, bien interprété et bien mené, en dépit de quelques longueurs. Une réserve mineure. plus d'articles sur le festival de locarno Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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