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La Presse
16 hours ago
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VIA Rail veut utiliser des voitures remises à neuf
Une section du train de passagers The Ocean à la gare d'Halifax, mardi (Halifax) Le président et chef de la direction de VIA Rail affirme que la société d'État souhaite utiliser des voitures remises à neuf pour améliorer le service entre Halifax et Montréal. La Presse Canadienne Mario Péloquin a fait ces commentaires après une cérémonie marquant l'achèvement des rénovations à la gare de VIA Rail à Halifax. M. Péloquin a également souligné que l'année dernière marquait le 120e anniversaire de l'Océan, le train reliant Montréal à Halifax inauguré en juillet 1904. PHOTO DARREN CALABRESE, LA PRESSE CANADIENNE Mario Péloquin, président et chef de la direction de VIA Rail Le chef de la direction a rappelé que le gouvernement fédéral s'était engagé à renouveler l'ensemble de la flotte canadienne de la société d'ici dix ans. Entre-temps, M. Péloquin a indiqué qu'il est prévu de remettre à neuf des voitures en acier inoxydable qui sont retirées du service dans le centre du Canada pour les utiliser dans la région de l'Atlantique. Mais M. Péloquin a dit ne pas savoir encore si les voitures remises à neuf seront suffisantes pour rétablir le service quotidien sur la ligne Halifax-Montréal, qui circule actuellement trois fois par semaine.
Le Figaro
3 days ago
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Gares, hôtels... Le grand retour des consignes à bagages
Les consignes à bagages sont un service en plein essor, proposé par les gares et aéroports, mais aussi des hôtels, restaurants et commerces. « Nous nous assurons que vos bagages soient en sécurité pendant que vous découvrez la ville. C'est un service facile à utiliser via les différentes applications, peu onéreux et donc très apprécié. Encore plus durant les fêtes de Bayonne », explique Timothée, à l'accueil de Hostel20, situé à quelques pas de la gare de Bayonne. À découvrir Voyages sur mesure : découvrez les offres de nos partenaires Cette auberge de jeunesse a noué des partenariats avec Nannybag, Stasher et Bounce, trois start-up proposant ce service qui a quasiment disparu des gares depuis le plan Vigipirate. Si l'on peut encore laisser ses bagages dans des casiers ou au guichet dans une petite quinzaine d'entre elles, sur un total de 3000, la SNCF noue désormais elle-même des partenariats avec ces nouveaux acteurs, locaux ou internationaux. Publicité Acteurs internationaux, locaux... Le principe est simple : il suffit de localiser une consigne, comme un relais pour récupérer un colis, parmi les bars, bureaux de tabac, hôtels, supermarchés et boutiques partenaires, qui reçoivent une commission en échange. Chez Nannybag, créé en 2016 par le Français Matthieu Ballester, on compte plus de 10 000 points en France, mais aussi dans les grandes villes européennes et même sur d'autres continents. L'américain Bounce, qui a implanté son siège européen à Lisbonne, propose même 20 000 lieux et en prévoit 10 000 de plus d'ici fin 2026. Il existe, par ailleurs, de nombreux acteurs locaux ou régionaux, comme City Locker, qui fonctionne, lui, avec des casiers, près des gares et monuments parisiens. Même chose pour Bagmobile, qui exploite des consignes, gardées et automatiques, dans la région marseillaise et niçoise et a ouvert à la gare de Bordeaux Saint-Jean, où elle propose aussi d'autres services, tels que le retrait de clés pour des locations, la location de chaises auto ou encore la livraison de bagages. Citons encore Edmond Voyage, qui se développe depuis Pau ou Bagages du Monde, présent au sein des aéroports parisiens Orly et Charles-de-Gaulle. 3 à 15 euros par jour Une fois le lieu trouvé, il faut définir la taille de son bagage et le créneau de dépôt, qui peut être très tôt le matin ou tard le soir. Faire garder une valise, sac, juste un manteau ou casque voire, au contraire, une planche de surf ou une paire de skis vous coûtera entre 3 et 15 euros par jour selon la taille et l'endroit. Pour avoir le cœur léger, sachez que l'on vous demandera de montrer la confirmation de la réservation, préalablement payée, en déposant le bagage dans les lieux gardés. Publicité En cas de perte, vol ou de casse, les bagages sont indemnisés, mais le montant est très variable. Ainsi, Bounce et Nannybag promettent jusqu'à 10 000 euros par bagage, mais chez le britannique Stasher l'indemnisation est limitée à mille livres, soit environ 1160 euros. Sachez enfin que certains hôtels qui proposaient auparavant de garder gratuitement les bagages de leurs propres clients ont commencé à facturer ce service via ces nouvelles applications. « C'est comme pour le petit-déjeuner. C'est devenu normal que les clients achètent ce service en plus. Nous faisons la même chose pour les bagages », a récemment expliqué Cody Candee, le fondateur de Bounce.
Le Figaro
08-07-2025
- Sport
- Le Figaro
Wimbledon : «Je me sens plus à l'aise au service», se réjouit Alcaraz
Radieux après sa démonstration de force contre Cameron Norrie, le double tenant du titre s'est notamment félicité de sa montée en puissance au service. Vite fait, bien fait. Le numéro 2 au classement ATP n'a pas traîné ce mardi, en quarts de finale de Wimbledon, contre le Britannique Cameron Norrie qu'il a balayé en trois sets (6-2 6-3 6-3) et 1h39 de jeu. Plus souriant que jamais le double tenant du titre a pu rayonner en conférence de presse : «Aujourd'hui, c'était un grand match de ma part. Je pense que c'est mon meilleur depuis le début du tournoi. Je suis vraiment heureux de continuer à progresser, de m'améliorer chaque jour. Je vais essayer de tirer le meilleur parti des deux prochains jours pour être en bonne forme avant une autre demi-finale ici. J'ai juste profité de chaque seconde sur le terrain. Jouer un quart de finale à Wimbledon est un cadeau. J'ai juste essayé de profiter au maximum de mon temps sur le Centre Court. L'atmosphère y est tellement bonne.». Le double tenant du titre se montrant particulièrement satisfait de son service (89% de points gagnés derrière ses premières, 13 aces). «J'ai commencé à me sentir à l'aise au service dans le match face à Rublev (en 8e de finale), raconte-t-il. Le pourcentage a augmenté. Le nombre de points gagnants sur le premier service était également plus élevé. Une fois que vous avez trouvé le bon rythme au service, il faut juste essayer de le maintenir. Sur gazon, quand vous servez bien, vous pouvez jouer plus relâché de la ligne de fond et joué les jeux de retour avec plus de confiance. Me sentir bien au service m'a apporté beaucoup de sérénité pour développer mon jeu de fond de court. J'ai commencé à mieux lancer la balle au service. Je pense que cela m'a beaucoup aidé. J'ai juste essayé de servir comme lors du match de Rublev. J'espère donc continuer sur cette lancée et continuer à me sentir bien.» Si je joue comme aujourd'hui, j'aurai une chance, c'est certain. Carlos Alcaraz Publicité Après avoir cédé quatre manches en première semaine, le nouveau patron de Centre Court a impressionné. Taylor Fritz, son adversaire en demi-finales, vendredi, devra sortir un grand match. «Sa saison sur gazon cette année a été très réussie jusqu'à présent (2 titres), convient Alcaraz. Il joue très et son jeu est très adapté au gazon. Il joue à plat et est agressif avec un gros service. J'essaierai d'être concentré au maximum pour montrer mon meilleur tennis. Je ne veux pas m'arrêter là. Je vais essayer de jouer au même niveau ou même mieux qu'aujourd'hui. Si je joue comme aujourd'hui, j'aurai une chance, c'est certain. Je vais essayer de jouer de manière agressive. Je ne le laisserai pas dominer le match.» Cinquième joueur mondial, Taylor Fritz est prévenu...
