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XV de France : les huit joueurs qui n'ont pas encore défié les All Blacks ont-ils une carte à jouer ?
XV de France : les huit joueurs qui n'ont pas encore défié les All Blacks ont-ils une carte à jouer ?

Le Figaro

time3 days ago

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XV de France : les huit joueurs qui n'ont pas encore défié les All Blacks ont-ils une carte à jouer ?

Dans le groupe tricolore retenu pour défier les All Blacks, huit joueurs n'ont pas participé aux deux premiers test-matches. Ont-ils une chance pour le dernier match à Hamilton ? Lors des deux premiers test-matches disputés face aux All Blacks, 39 joueurs ont déjà été alignés par Fabien Galthié et ses adjoints : 22 à Dunedin et 17 autres à Wellington, sachant que cinq joueurs ont disputé les deux matches. Il en reste toutefois huit qui n'ont pas encore eu leur chance. Avant d'être lancés samedi prochain à Hamilton ? Les avants Il est l'un des joueurs expérimentés du pack avec ses 28 sélections mais il n'a pas encore aligné. Le pilier Demba Bamba (Racing 92), de retour de blessure en mars avec le club francilien et auteur de prestations remarquées, avait été aligné face à l'équipe d'Angleterre remaniée. Il pourrait avoir sa chance lors du 3e test, George-Henri Colombe ayant plus que déçu. Le talonneur Guillaume Marchand (Lyon) a également été aligné avec France A mais il reste néophyte au niveau international. Il sera dur, pour le frère de Julien Marchand, de déloger les «talons» en place : Gaëtan Barlot (capitaine samedi) et Pierre Bourgarit. Ce sera dur également pour le deuxième-ligne Théo William (Lyon) : Hugo Auradou devrait faire son retour dans la cage, Brennan et Halagahu n'ont pas forcément déçu lors du deuxième test. Publicité Ouvreur et centres Est-ce que les cartes vont être rebattues à l'ouverture ? Joris Segonds, brillant au premier test, a déçu lors du deuxième. Reste à savoir si Léo Berdeu (Lyon), régulièrement convoqué à Marcoussis mais jamais sélectionné, aura sa chance. Antoine Hastoy pouvant démarrer à Hamilton. Au poste de trois-quarts centre, les places sont chères. Gaël Fickou devrait faire son retour comme capitaine, Pierre-Louis Barassi et Nicolas Depoortère ont fait leur retour face aux All Blacks lors du deuxième test. Émilien Gailleton a lui débuté les deux premiers matches. L'expérience est de leur côté, au contraire de Léon Darricarrère (Clermont), qui avait joué l'an dernier contre l'Uruguay en semaine, et Théo Millet (Lyon). Triangle arrière Alivereti Duguivalu (Perpignan), l'ailier d'origine fidjienne, avait été titularisé avec France A lors du succès arraché à Twickenham. Pour lui aussi, la concurrence est féroce avec le retour aux affaires de Gabin Villière mais aussi Théo Attissogbe, qui a joué les deux premiers matches. Avant de souffler ? Par ailleurs, le prometteur arrière Marius Domon (Toulon) a été appelé à la rescousse après le forfait sur blessure de Cheikh Tiberghien (Bayonne). Le joueur du RCT découvre le groupe France, il est en phase d'apprentissage et il est en concurrence directe avec Léo Barré, apprécié du staff tricolore.

Après trois ans d'absence, James O'Connor signe son retour avec l'Australie contre les Lions britanniques et irlandais
Après trois ans d'absence, James O'Connor signe son retour avec l'Australie contre les Lions britanniques et irlandais

L'Équipe

time5 days ago

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Après trois ans d'absence, James O'Connor signe son retour avec l'Australie contre les Lions britanniques et irlandais

À 35 ans, le demi d'ouverture James O'Connor figure de nouveau dans le groupe des Wallabies, qui défie les Lions britanniques et irlandais lors de trois test-matches dès le 19 juillet. L'Australien n'a plus joué pour sa sélection depuis trois ans. L'ouvreur australien James O'Connor, qui n'a plus joué pour l'Australie depuis trois ans, a été retenu vendredi pour apporter de l'expérience aux Wallabies qui reçoivent les Lions britanniques et irlandais avec le premier de leurs trois test-matches le 19 juillet à Brisbane. Aujourd'hui âgé de 35 ans, O'Connor était le demi d'ouverture titulaire lors des trois tests de la dernière tournée des Lions en Australie, en 2013. Avec le pilier James Slipper, ils sont les deux seuls joueurs du groupe de 36 retenus à avoir déjà affronté cette équipe composée de joueurs anglais, écossais, gallois et irlandais. O'Connor doit sa sélection au forfait de Noah Lolesio qui s'est blessé lors du match contre les Fidji en début de mois et qui doit être opéré du cou. Les Australiens avaient évité de justesse la défaite en s'imposant 21-18.

All Blacks-France : continuer à dérégler la magie noire
All Blacks-France : continuer à dérégler la magie noire

Le Figaro

time5 days ago

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All Blacks-France : continuer à dérégler la magie noire

Après avoir tenu tête aux All Blacks à Dunedin (31-27), les Bleus, encore remaniés, devront redoubler de vigilance à Wellington pour le deuxième des trois test-matches de la tournée. La semaine dernière, beaucoup d'observateurs néo-zélandais s'étaient moqués. Se moquant de ces Français, inconnus, envoyés chez eux en tournée et raillant cette équipe de France privée de ses meilleurs éléments. Orgueil mal placé. Vu le faible écart entre les deux équipes lors du premier test à Dunedin (31-27), ils ont appris à se méfier et sont restés bien plus discrets cette semaine, tant leurs chers All Blacks ont frôlé la correctionnelle. Pour ce deuxième des trois test-matches de l'été austral (9h05 sur Canal +), leur curiosité a encore été piquée avec une équipe encore plus inexpérimentée : dix changements dans le XV de départ, seulement 4,3 sélections en moyenne par joueur et un Nolann Le Garrec et ses 11 capes comme Tricolore le plus madré. À l'heure où tout est décortiqué et scruté de près, les analystes vidéo ont dû se tirer les cheveux pour trouver des informations - ces fameuses data - sur la bande à Galthié. Le sélectionneur des Bleus fait avec les moyens du bord et il le fait plutôt bien. Ses petits nouveaux sont rapidement mis dans le grand bain, grâce notamment aux entraînements à haute intensité. «L'entraînement, c'est la préparation au chaos, a souligné Fabien Galthié en conférence de presse. Il doit être plus rapide, plus intense que le match. Il faut se préparer à vivre des émotions très fortes à l'entraînement pour être prêts à les vivre en match. On ne peut pas préparer un match face aux All Blacks en se faisant des bisous ou des câlins.» Je pense qu'il n'y aura plus d'effet de surprise vis-à-vis du groupe. Ils doutaient un peu de notre niveau Esteban Abadie Publicité Peu d'équipes, sur la scène internationale, auraient rivalisé ainsi contre les All Blacks (qui plus est sur leurs terres) avec leur équipe C. «C'est une rotation pour l'émulation, la concurrence. On a amené les joueurs au bout du monde, il faut qu'ils jouent», avance Fabien Galthié, qui a négocié et obtenu le renfort de cinq joueurs finalistes du Top 14. Les Bordelais Nicolas Depoortère et Pierre Bochaton ainsi que les Toulousains Pierre-Louis Barassi et Joshua Brennan débuteront donc à Wellington, Bastien Vergnes-Taillefer (UBB) sera lui sur le solide banc des remplaçants. «On voulait absolument les lancer, le plus rapidement possible. Ils ont eu neuf jours d'acclimatation. Il était cohérent de les faire jouer tout de suite», insiste le sélectionneur des Bleus. Seulement cinq joueurs ont été reconduits pour cette «revanche» dans la capitale néo-zélandaise : le talonneur Gaëtan Barlot - qui deviendra le 100e capitaine de l'histoire des Bleus en l'absence de Gaël Fickou -, Nolann Le Garrec et Joris Segonds associés à la charnière, ainsi qu'Émilien Gailleton et Théo Attissogbe qui glissent sur les ailes. Cette fois, les All Blacks sont prévenus. Ont-ils pris cette bleusaille à la légère la semaine dernière ? «Je pense qu'il n'y aura plus d'effet de surprise vis-à-vis du groupe. Ils doutaient un peu de notre niveau, en tout cas, c'est ce qui était ressorti dans la presse», a rappelé le Toulonnais Esteban Abadie, qui débutera au poste de numéro 8. Nous ne sommes pas venus ici simplement pour progresser, nous sommes venus pour essayer de gagner Shaun Edwards, entraîneur de la défense française En face, Scott Robertson ne change (presque) pas une équipe qui gagne (de peu). Le sélectionneur kiwi a effectué deux changements à cause de blessures dans son XV de départ. Le vétéran Patrick Tuipulotu (32 ans, 51 sélections) a été titularisé en deuxième ligne à la place du capitaine Scott Barrett, forfait pour le reste de la série en raison d'une déchirure au mollet. Sevu Reece (commotion) devait initialement être remplacé à l'aile par Caleb Clarke mais ce dernier s'est blessé à la cheville et sera remplacé par Emoni Narawa, deux petites sélections au compteur. Et le sélectionneur des Blacks de marteler son credo : «Tu joues vite, tu réfléchis vite, tu t'adaptes vite, nous avons les qualités techniques pour le faire. Donc nous allons continuer à créer, et si le vent du sud arrive depuis le détroit de Cook (qui sépare les deux îles de la Nouvelle-Zélande, NDLR), nous nous adapterons et jouerons dans le vent et la pluie aussi. Mais notre intention est d'utiliser nos qualités autant que possible.» Attention à la marée noire. Mais ces Bleus à qui on promettait à l'enfer ne sont pas venus en classe découverte à l'autre bout du globe. «On doit mieux comprendre leur animation offensive. Sur la partie possession, on peut être plus ambitieux. On est fan des All Blacks mais quand on joue contre eux, c'est la possibilité de se mesurer et d'être ambitieux. Il ne faut pas se sous-estimer et parfois, samedi dernier, il y a eu un complexe, regrette Fabien Galthié. Il faut l'évacuer et se dire qu'on est aussi capables. On a des armes, nous aussi.» «Le discours a un peu changé autour de l'équipe qu'ils ont amenée» Et son adjoint Shaun Edwards, en charge de la défense pour endiguer les vagues noires, de prévenir : «Les supporters savent maintenant que nous ne sommes pas venus ici simplement pour progresser, nous sommes venus pour essayer de gagner.» Tout simplement. Scott Robertson, qui avait déjà appelé à la prudence la semaine dernière, reste sur la même longueur d'onde. «Ils sont très, très réguliers, et je pense que le discours a un peu changé autour de l'équipe qu'ils ont amenée, avance le technicien kiwi. Ils ont aligné une équipe avec suffisamment de qualité pour faire la différence le jour J. Ce sera un vrai test-match ce week-end.» En une semaine, beaucoup ont appris à se méfier de ce XV de France new look.

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