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Podcast « Crunch » - Comment les Lions sont-ils devenus si mythiques ?

Podcast « Crunch » - Comment les Lions sont-ils devenus si mythiques ?

L'Équipe19 hours ago
Avant que les Lions britanniques et irlandais entament leur série de test-matches contre l'Australie (19 juillet, 26 juillet et 2 août, sur la chaîne L'Équipe), « Crunch » retrace l'histoire de cette sélection unique, considérée comme le graal outre-Manche. Comment ces tournées sont-elles devenues mythiques et que faut-il attendre des trois matches face aux Wallabies ?
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time3 hours ago

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Ligue des nations de Volley : à quelle heure et sur quelle chaîne suivre l'équipe de France ?

Les quatre derniers matches de la France au tour préliminaire sont à suivre sur la chaîne L'Équipe. Retrouvez toutes les informations et horaires des rencontres. En Pologne, à Gdansk, l'équipe de France s'apprête à disputer ses quatre dernières rencontres de la Ligue des nations 2025, où elle remet son titre en jeu. Déjà victorieuse de cinq de ses huit premiers matches, elle poursuit son parcours et occupe actuellement la 5e place. L'objectif : rester dans le top 7 (la Chine, qualifiée d'office en tant que pays hôte des phases finales, n'est pas comptabilisée) pour accéder aux quarts de finale. En ligne de mire, un titre à défendre avant le Championnat du monde 2025, prévu aux Philippines en septembre.

Nick Kyrgios utilise son classement protégé pour intégrer le tableau principal de l'US Open
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time6 hours ago

  • L'Équipe

Nick Kyrgios utilise son classement protégé pour intégrer le tableau principal de l'US Open

L'Australien Nick Kyrgios (30 ans) a activé son classement protégé pour intégrer le tableau principal de l'US Open (du 24 août au 7 septembre). Avant le Grand Chelem, il devrait disputer l'ATP 500 de Washington. Cette fois, pas de grande annonce. Alors qu'il a récemment clamé sa volonté d'organiser une nouvelle « bataille des sexes », Nick Kyrgios (30 ans) n'a encore rien dévoilé concernant sa participation à l'US Open (du 24 août au 7 septembre), mais une petite ligne dans un communiqué du Grand Chelem signale sa participation : « Neuf joueurs au total utilisent des classements spéciaux ou protégés, dont Petra Kvitova (n° 14), Nick Kyrgios (n° 21) et Sorana Cirstea (n° 37). » Gêné par des blessures, au genou et au poignet en particulier, Nick Kyrgios n'est plus apparu en compétition depuis le mois de mars à Miami. Avant de renoncer consécutivement à Roland-Garros et Wimbledon, il avait été éliminé au premier tour de l'Open d'Australie pour sa première participation à un tournoi du Grand Chelem depuis 2022 et son quart de finale à l'US Open. Avant Flushing Meadows, Nick Kyrgios sera associé à Gaël Monfils (38 ans) en double à l'ATP 500 de Washington (du 29 juillet au 4 août), où l'Australien a également activé son classement protégé pour intégrer le tableau en simple. Faut-il encore que le corps suive.

Rory McIlroy avant The Open : « Quand j'ai regardé le calendrier 2025, c'est le tournoi que j'ai coché »
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time10 hours ago

  • L'Équipe

Rory McIlroy avant The Open : « Quand j'ai regardé le calendrier 2025, c'est le tournoi que j'ai coché »

Après l'amère expérience de son cut raté à Portrush en 2019, Rory McIlroy est de retour chez lui, armé d'un état d'esprit positif et conquérant. Au lieu de s'isoler de l'adulation dont il est l'objet, le vainqueur du Masters a décidé d'embrasser ce 153e Open britannique en interagissant avec ses fans. L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt et Rory McIlroy en fait partie depuis son arrivée à Portrush, station balnéaire balayée par les rafales pluvieuses, accrochée sur les côtes nord-irlandaises, là-haut tout au nord. Celui qui a grandi à 1h30 de route d'ici, à Holywood (avec un seul L), dans la proche banlieue de Belfast, effectue ses « recos » comme on désigne les trous d'entraînement avant un tournoi de golf, dès potron-minet. À 7 heures pétantes, il est le premier à planter son tee. Seul avec son caddy Harry Diamond lundi. En compagnie le lendemain de deux de ses compatriotes, le « Liver » de 22 ans originaire du même club que lui, Tom McKibbin, et l'illustre Darren Clarke, 56 ans, venu en voisin, lui qui possède une maison aux abords du parcours. Des parties matinales histoire d'échapper à la foule de ses fans qui accompagnent chacun de ses pas à chaque retour au pays. « Je veux embrasser tout ce qui va venir à moi cette semaine et ne pas m'échapper » Rory McIlroy Pourtant, le vainqueur du dernier Masters n'a pas l'intention cette année de reproduire le schéma d'isolement qu'il s'était imposé en 2019. Il y a six ans, pour le retour de The Open sur ses terres, après un premier passage en 1951, le local hero était passé à côté de l'événement. Dès le tee n°1, il avait flingué sa carte d'un quadruple bogey (8) en envoyant une balle hors-limite au départ. Le début d'un calvaire le jeudi conclu par un 79 (+ 8) de celui qui détient le record du parcours depuis l'âge de 16 ans avec une carte de 61 (-10) ! Et malgré une chevauchée pleine de bravoure le vendredi (65), pour essayer d'arracher une qualification pour le week-end, il avait échoué à un coup du cut. « En 2019, j'ai probablement essayé de m'isoler, au lieu d'accepter cette sorte d'adulation, même si j'ai du mal avec ça parfois, reconnaissait-il dès lundi, histoire de se débarrasser de ses obligations médiatiques pour mieux plonger dans son jeu de golf. Mais pour la personne qui vous voit pour la première fois depuis quelques années, c'est mieux qu'il y ait une interaction, mieux de ne pas essayer de se cacher. Je veux embrasser tout ce qui va venir à moi cette semaine et ne pas m'échapper. » Depuis sa conquête de la veste verte, McIlroy a semblé perdu, en mal de nouvel Everest à gravir, notamment lors des deux Majeurs qui ont suivi (47e du PGA Championship, 19e de l'US Open). Mais sa deuxième place à l'Open d'Écosse dimanche dernier semble l'avoir remis sur les rails où il glissait allègrement après un premier trimestre d'élève modèle (victoires à Pebble Beach et au Players). Le retour au bercail y est pour beaucoup. « C'est bizarre, je n'ai pas l'impression que six années se soient écoulées depuis 2019, souligne-t-il. C'est incroyable que Portrush ait cette opportunité d'accueillir à nouveau The Open, si peu de temps après le dernier. Je ne passe plus beaucoup de temps dans cette région, à cause des voyages, de la vie à l'étranger et de tout le reste. Être ici, voir tous ces visages familiers, ces gens que j'ai croisés au fil des années, c'est très agréable. » Si bien que même s'il ne lui manquait plus qu'un succès à Augusta pour boucler son Grand Chelem en carrière, c'est bel et bien le 153e Open, chez lui, qu'il avait mis en tête de ses priorités avant le début de saison. « Quand j'ai regardé le calendrier 2025, c'est le tournoi que j'ai coché, même plus que le Masters, pour différentes raisons, poursuit-il. C'est très sympa de revenir ici en ayant gagné un Majeur avec tout ce qui s'y rattache. Je suis ravi de voir où en est mon jeu. J'ai eu l'impression de montrer de très bons signes la semaine dernière. Ça a été une semaine de préparation pure qui m'a mis dans une bonne position avant d'attaquer ce tournoi. » Il y a dans cette démarche comme une envie de laver l'affront de 2019, une forme de rédemption auprès de ses admirateurs de la première heure, ceux qui l'ont connu joufflu, boutonneux et frisé comme un mouton, avant la coupe de cheveux quasi militaire qu'il s'est faite, pensant atténuer la grisaille de ses tempes, en vain. « Je me souviens de l'ovation que j'ai reçue sur le premier tee le jeudi et que je ne m'y étais pas préparé, ou que je ne l'étais pas à ce que j'allais ressentir, convient-il. Ensuite, ce qui s'est passé le jeudi me semble un peu flou. J'essaie d'oublier. Mais je me souviens de la remontée du vendredi pour tenter de passer le cut. Sur mon deuxième coup du 14, un coup de fer 6, je n'ai pas oublié le rugissement de la foule et la marche jusqu'au green en étant ovationné. C'était vraiment spécial. » On a hâte de revivre ça jeudi, dès 16h10. Lowry : «McIlroy ? J'ai beaucoup appris de son éthique de travail»

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