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David Beckham et sa mère, Cate Blanchett, Russell Crowe... En photos, des stars de haute volée dans les gradins de Wimbledon
David Beckham et sa mère, Cate Blanchett, Russell Crowe... En photos, des stars de haute volée dans les gradins de Wimbledon

Le Figaro

time4 hours ago

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David Beckham et sa mère, Cate Blanchett, Russell Crowe... En photos, des stars de haute volée dans les gradins de Wimbledon

Depuis le lancement du tournoi, les tribunes de Wimbledon ne cessent d'attirer des célébrités du monde entier. Entre deux échanges sur le court, les regards se tournent aussi vers les gradins. Les visages connus se bousculent dans les gradins de Wimbledon depuis le coup d'envoi du tournoi. Le 30 juin a marqué le début de la 138e édition de la compétition mythique, disputée chaque année à l'Aorangi Park, dans le sud-ouest de Londres. L'ancien footballeur David Beckham, grand amateur de tennis, a ainsi été aperçu en compagnie de sa mère, Sandra Beckham. D'autres célébrités tout aussi en vue ont également pris place dans les tribunes : Cate Blanchett, Rebel Wilson, Russell Crowe, le musicien Dave Grohl ou encore Nick Jonas et son épouse Priyanka Chopra. À lire aussi Très émouvante standing ovation à l'arrivée de Kate Middleton dans les tribunes de Wimbledon, sous les yeux émerveillés de sa fille Charlotte Si les regards étaient tournés vers les performances des grands favoris comme Carlos Alcaraz, Jannik Sinner ou encore Iga Swiatek, l'attention s'est aussi ainsi portée sur l'effervescence qui régnait dans les gradins. Véritable institution du calendrier sportif britannique, Wimbledon reste un rendez-vous prisé des stars, à l'instar de Roland-Garros.

Un tirage relevé pour les Bleus au Grand Smash des États-Unis
Un tirage relevé pour les Bleus au Grand Smash des États-Unis

L'Équipe

time15 hours ago

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Un tirage relevé pour les Bleus au Grand Smash des États-Unis

Le tirage au sort du Grand Smash des États-Unis (3-13 juillet), dont les tableaux principaux débutent dimanche, a été effectué ce vendredi à Las Vegas et n'a pas été tendre avec les Français. Un Grand Smash, plus haut niveau de tournoi sur le circuit international du tennis de table, n'offre jamais un parcours facile. Mais le tirage au sort de la première édition disputée aux États-Unis, effectué ce vendredi à Las Vegas par les Chinois Lin Shidong et Sun Yingsha, n°1 mondiaux et les Américains Kanak Jha et Lily Zhang, aurait pu être plus clément pour les représentants tricolores. Le plus gros défi sera pour Thibault Poret, 34e mondial, qui devra faire face à Lin Shidong au premier tour. Dans ce premier quart de tableau, Alexis Lebrun, 11e mondial, a hérité du Polonais Milosz Redzimski (43e) au premier tour, et pourrait trouver sur sa route le Suédois Truls Moregard, 6e mondial. Félix Lebrun, tête de série n°6 après le forfait du Brésilien Hugo Calderano, privé d'entrée aux États-Unis, a hérité du Japonais Shunsuke Togami (25e), champion du monde en double, mais qu'il n'a encore jamais rencontré en simple. Gauzy et Duda en ligne de mire pour Félix Lebrun La tête de série la plus proche du n°1 français est Benedikt Duda (12e), l'Allemand qui s'est déjà imposé trois fois face au cadet des Lebrun, en cinq rencontres. Au deuxième tour, il pourrait en outre affronter Simon Gauzy, d'abord opposé à l'Australien Aditya Sareen (45e mondial), dans cette partie de tableau où se trouve le Chinois Liang Jingkun. Dans le tableau féminin, Jia Nan Yuan (25e) sera opposée à la Roumaine Bernadette Szocs, 13e mondiale et n°1 européenne, et Prithika Pavade, 31e mondiale, à l'Égyptienne Mariam Al-Hodaby, 58e. Les tableaux de double ne sont pas encore connus. Audrey Zarif a en revanche été éliminée dès le premier tour des qualifications, contrairement à Charlotte Lutz, qualifiée pour le 2e tour (sur 3). Camille Lutz, Lilian Bardet et Florian Bourrassaud entrent en lice ce vendredi. Flavien Coton avait dû déclarer forfait, touché par un virus.

« Content de la façon dont j'ai géré l'affaire »  : Ben Shelton après la reprise de son match pour seulement 70 secondes
« Content de la façon dont j'ai géré l'affaire »  : Ben Shelton après la reprise de son match pour seulement 70 secondes

L'Équipe

time21 hours ago

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« Content de la façon dont j'ai géré l'affaire » : Ben Shelton après la reprise de son match pour seulement 70 secondes

Ben Shelton a été contraint de revenir vendredi pour servir pour le match lors du deuxième tour de Wimbledon face à Rinky Hijikata après l'interruption à la tombée du jour hier. L'Américain a expédié cela en 70 secondes, avec une sérénité retrouvée après le trouble de la veille au soir. Ben Shelton, vainqueur de Rinky Hijikata, (6-2, 7-5, 6-4) : « C'est la troisième ou quatrième fois que je joue sur deux jours à Wimbledon. C'est quelque chose de normal, auquel on est habitué quand on participe à un tournoi où il faut s'arrêter quand le soleil se couche ou qu'il pleut. Mais s'arrêter alors que vous servez pour le match, ce n'est pas idéal. Je pense que nous aurions pu nous arrêter plus tôt. Mon adversaire se plaignait depuis la fin du deuxième set. J'ai le sentiment qu'il y avait des moments plus opportuns pour arrêter le jeu avant d'en arriver là. Le superviseur nous a dit qu'il ne restait que cinq minutes avant que le Hawk-Eye ne s'éteigne. En incluant le changement de côté, il a estimé qu'il n'y aurait pas assez de temps pour terminer le match. Je lui ai dit que je n'avais besoin que de 60 secondes (sourire). C'était un peu mon objectif quand je suis revenu sur le terrain aujourd'hui. Je comprends que le tournoi doive prendre les décisions qui s'imposent. Nous les joueurs, nous devons nous y plier. Cela fait partie du tennis. Je suis content de la façon dont j'ai géré l'affaire aujourd'hui. Ce n'est pas idéal mentalement de devoir se réveiller le lendemain et de se dire que c'est un jour de match. Je m'étais préparé à jouer deux sets et demi. »

Les 68 meilleures joueuses au monde seront toutes là
Les 68 meilleures joueuses au monde seront toutes là

La Presse

time2 days ago

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Les 68 meilleures joueuses au monde seront toutes là

C'est le début d'une « ère redéfinie » pour l'Omnium Banque Nationale, qui présentera cette année le tableau « le plus relevé » de son histoire. Les 68 meilleures joueuses au monde, sans exception, seront toutes de la partie. « Pour ceux qui cherchent encore qui ne sera pas là… Personne », lâche Valérie Tétreault, directrice de l'évènement montréalais. Tennis Canada a dévoilé jeudi, lors d'une conférence de presse au Stade IGA, la liste des joueuses qui seront de l'édition 2025, la première du nouveau format de 12 jours. Elles seront 96 au total, soit 40 de plus que dans le passé, à se disputer les grands honneurs. « Si je peux résumer notre liste 2025 à un mot, je dirais exceptionnelle », a d'entrée de jeu laissé tomber Mme Tétreault, qui parle de cette édition comme d'une « importante page de l'histoire » du tournoi. « Avec ce nouveau format, avec cette expansion, notre tournoi se rapproche plus que jamais du format que l'on retrouve dans les tournois du Grand Chelem. » Comme le top 68 mondial dans sa totalité, en plus de quatre joueuses exerçant leur classement protégé, y sera, les amateurs de tennis montréalais pourront voir à l'œuvre les vedettes actuelles du circuit telles Aryna Sabalenka (1re), Coco Gauff (2e), la double championne en titre de l'OBN Jessica Pegula (3e) et Iga Swiatek (4e). Chez les Canadiennes, seule la Québécoise Leylah Annie Fernandez a fait sa place dans le tableau principal en vertu de son 40e rang mondial. Elle ne sera toutefois pas la seule représentante de l'unifolié, car Tennis Canada a annoncé jeudi avoir accordé un laissez-passer à Bianca Andreescu (148e) et Victoria Mboko (97e). PHOTO KIN CHEUNG, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Seule la Québécoise Leylah Annie Fernandez a fait sa place dans le tableau principal en vertu de son 40e rang mondial. Andreescu n'a plus besoin de présentation ; elle a été la première Canadienne à remporter un simple en Grand Chelem. Dans le cas de Victoria Mboko, étoile montante du tennis à 18 ans, il s'agira de sa première fois au sein du tableau principal de l'OBN. La jeune femme connait une saison du tonnerre ; elle a remporté 22 matchs d'affilée en début de campagne – un record canadien – et a atteint le troisième tour à Roland-Garros. « Si notre tournoi était quelques semaines plus tard, elle n'aurait selon moi pas eu besoin d'un laissez-passer. Elle aurait mérité sa place grâce à son classement », estime Mme Tétreault. Tennis Canada doit encore accorder cinq laissez-passer. Selon Mme Tétreault, les chances « sont assez fortes » que ceux-ci soient remis exclusivement à des Canadiennes. Elle-même une ancienne joueuse professionnelle, la directrice de l'OBN est en position de comprendre « à quel point c'est important d'avoir des occasions comme celle-là ». « Il n'y a rien comme avoir ces opportunités-là chez soi. Dans ce contexte-là, souvent, on est capables de causer quelques surprises, d'aller chercher de gros points qui nous font progresser au classement et qui peuvent avoir carrément un impact sur le reste de la carrière. » Des finales le jeudi Ce premier OBN de l'« ère redéfinie » commencera le 26 juillet avec une journée de qualifications, alors que le tableau principal s'entamera le 27 juillet. Comme les 32 premières têtes de série bénéficient d'une exemption au premier tour, elles n'entreront en scène que le 29 ou le 30 juillet. Fait intéressant : tous les matchs qui seront disputés dans la deuxième semaine, du 4 au 7 août, seront présentés en soirée. Les quarts de finale se dérouleront sur deux jours. Le lendemain, soit le mercredi, suivront les demi-finales. Étonnamment, les finales auront donc lieu le jeudi soir. Pour expliquer cette décision, qui diverge de ce que l'on voit dans les tournois à travers le monde, Mme Tétreault a expliqué que les épreuves de Toronto, Montréal et Cincinnati devaient être organisés sur trois semaines au maximum. « Il a fallu être créatifs », de dire la directrice. Elle a du même coup noté que l'engouement pour les séances de soir était notable ; autrement dit, les billets partent comme des petits pains chauds. « C'est sûr qu'en soirée, on le voit, il y a comme une autre énergie. Je pense que ça vient rehausser notre finale. Après ça, je regarde un peu les habitudes des gens de Montréal ; on est habitués d'aller voir le Canadien de Montréal jouer un jeudi soir à 19 h. Donc ce n'est pas un problème. » Des défis et des bonnes nouvelles Comme l'OBN se prépare à accueillir pratiquement le double du nombre de joueuses qu'il accueillait par le passé, les défis logistiques ont été nombreux. Il manquait notamment deux terrains afin de répondre aux standards de la WTA ; l'OBN a commencé en janvier une étude de faisabilité afin d'évaluer ses options à ce chapitre. En attendant que celle-ci soit complétée d'ici un an, il s'est entendu avec le centre sportif Claude-Robillard, qui fera office de « site secondaire », où les joueuses pourront s'entraîner. Valérie Tétreault et son équipe ont aussi dû trouver davantage de bénévoles qu'à l'habitude ; il en manque encore un certain nombres pour atteindre le chiffre visé de 1600 bénévoles-un record. PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE Valérie Tétreault Le nouveau format apporte également son lot de bonnes nouvelles. Par exemple, les joueuses bénéficieront d'une journée de congé pour récupérer entre leurs matchs. « C'était un peu l'intention du modèle 12 jours poussé par l'ATP et la WTA, note Mme Tétreault. C'était que ce soit plus sain pour les joueurs et les joueuses pour que, lorsqu'on arrive à la fin d'une saison, il y ait moins de bobos. » Plus de matchs et plus de jours veut aussi dire plus d'activités. L'OBN s'est assurée de mettre sur pied une programmation « rehaussée » pour les amateurs : week-end de la famille IGA, match de hockey-balle avec des joueuses de la Victoire de Montréal, match de soccer avec des joueuses des Roses de Montréal, journées thématiques… Les amateurs, par ailleurs, s'annoncent nombreux. L'organisation a déjà vendu plus de 40 000 billets de plus qu'en 2023, dernière fois où les joueuses étaient en ville. « Ce qui est intéressant, c'est que 50 % des personnes qui ont acheté des billets jusqu'à présent ne sont jamais venus à l'OBN. Il faut croire que la bonne nouvelle se répand. » Jeudi, un peu moins d'un mois avant le début de l'évènement, Valérie Tétreault trépignait déjà d'impatience à l'idée de lancer cette « nouvelle ère » du tennis à Montréal. « Plus de matchs, plus de joueuses, mais surtout plus de plaisir ; je pense que c'est ça qui nous attend. » Et le toit ? On en est où ? Tennis Canada a obtenu l'aide de Tourisme Montréal afin de lancer, en janvier, une étude de faisabilité pour la mise à niveau du stade IGA, ce qui inclut la possibilité d'installer un toit rétractable. L'étude, a fait savoir Valérie Tétreault, devrait durer environ un an, ce qui nous amène à 2026. Par la suite, la fédération pourra « avoir un projet à présenter » et commencer à « parler réellement du financement » avec les représentants du gouvernement. PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE La pluie a fait des siennes au Stade IGA au cours des dernières années. Encore récemment, un match de basket de l'Alliance de Montréal a dû être interrompu. « Juste être capable de garantir aux gens qui achètent un billet pour le court central que le match va avoir lieu… C'est sûr que si on vient d'un peu plus loin et qu'on veut se déplacer jusqu'à Montréal pour voir du tennis, ça nous prend un peu cette garantie-là. »

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