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En Syrie, le gouvernement de transition interdit l'aide du FMI et de la Banque mondiale
En Syrie, le gouvernement de transition interdit l'aide du FMI et de la Banque mondiale

Le Figaro

time2 days ago

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En Syrie, le gouvernement de transition interdit l'aide du FMI et de la Banque mondiale

Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Appels d'offres, traçabilité des fonds… Ces deux institutions imposent des exigences de transparence. Un contrôle que le gouvernement syrien semble vouloir éviter. En Syrie, plus de sept mois après la chute de Bachar al-Assad, le gouvernement de transition dirigé par le président Ahmed al-Charaa s'efforce de redonner souffle à une économie ruinée. Après quatorze années de calvaire, au cours desquelles le PIB a chuté de plus de 50 % entre 2010 et 2024, le défi est titanesque. Le pays dépend fortement de l'aide humanitaire, des transferts de la diaspora (8 milliards de dollars en 2023) et, jusqu'à récemment, de revenus illicites liés au Captagon, relève la Banque mondiale dans un rapport publié en juin. Le 14 mai, le président américain Donald Trump a créé la surprise en annonçant la levée totale des sanctions contre Damas, invoquant sa volonté de « donner une chance de grandeur » aux nouvelles autorités. Pour la population, asphyxiée par ces mesures depuis des années, la nouvelle a suscité des scènes de liesse. La Syrie a ainsi retrouvé l'accès au système financier international dont elle était exclue et peut, en théorie, attirer de nouveau les…

Célia, éliminée de «Secret Story» : «Je ne m'attendais pas à sortir»
Célia, éliminée de «Secret Story» : «Je ne m'attendais pas à sortir»

Le Figaro

time2 days ago

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Célia, éliminée de «Secret Story» : «Je ne m'attendais pas à sortir»

ENTRETIEN - La Belge de 20 ans a quitté la maison des secrets ce jeudi 10 juillet en direct sur TFX. Au lendemain, elle se confie sur ses quatre semaines d'aventure. Bienveillance. Le substantif est ressorti une dizaine de fois durant de notre entretien avec Célia, éliminée lors du prime de «Secret Story» de ce jeudi 10 juillet. Visiblement bien préparée à l'interview, la jeune Belge de 20 ans a pu s'expliquer sur son jeu et les polémiques de harcèlement dans l'émission, sur les réseaux sociaux notamment. «Nous sommes les gardiens de la transparence». La Belge qui habite à Miami depuis deux ans partageait ce secret avec Aïmed, tous deux découverts la semaine précédente par les autres candidats. Leur rôle : les deux joueurs devaient décider de diffuser ou non des vidéos de leurs camarades à l'ensemble de la maison. Ce secret intervient lors de cette «saison de la transparence» voulue par la production, où finalement la seule transparence a été de montrer des membres de la production derrière leurs écrans. Publicité Alors que les polémiques de harcèlement font rage à l'extérieur de la maison, Endemol a décidé d'hospitaliser la candidate éliminée la semaine précédente, Marianne. Accusée de racisme dans le programme, la Vosgienne de 32 ans a reçu des messages de haine et de menaces en masse depuis sa sortie de la maison des secrets. Interviewée par Jeremstar ce jeudi 10 juillet, elle a notamment confié penser au suicide, raison pour laquelle la production a choisi de la placer en maison de repos. Christophe Beaugrand a également réagi. Le présentateur a mis en garde les téléspectateurs contre le cyberharcèlement vécu par Marianne, ce jeudi soir en toute fin de soirée. Interrogée à ce propos et sur son jeu, Célia s'est confiée à nous. À lire aussi «Faites preuve d'humanité !» : le coup de gueule de Christophe Beaugrand dans «Secret Story» LE FIGARO. - Comment expliquez-vous votre nomination cette semaine ?Célia. - J'ai été nommée, à mon avis, parce que personne n'avait conscience de mon secret. J'avais un peu les fesses entre deux chaises. Parce que j'étais évidemment avec Aïmed mais personne ne le savait. Et j'avais conscience de l'autre côté que je ne voulais pas trahir. Donc je me suis un peu positionnée au milieu. Ce qui a pu déranger à certaines personnes parce que je leur faisais peur. Parce que je représentais l'instabilité. Je pouvais changer les votes rien qu'avec ma décision. Vous attendiez-vous à sortir ? Je m'attendais à être nommée, mais à sortir, non. Je me suis dit que j'avais quand même 3 chances sur 4 de rentrer. Et pour moi, j'avais assez de confiance en moi pour pouvoir rentrer. Après, c'est le jeu. Je n'ai aucun regret dans cette aventure. Comment avez-vous vécu l'enfermement ? J'ai très bien vécu l'enfermement. On était très bien entourés. On était 14 candidats très bienveillants et on avait toujours beaucoup de choses à dire. On s'amusait énormément. Moi, personnellement, je me tapais des barres du matin au soir. Je n'avais même pas le temps de m'ennuyer ou de penser à ce qui se passait dehors. Publicité Comment avez-vous vécu le rappel à l'ordre, pendant l'aventure, de la production concernant les problèmes de harcèlement ? On a pris ça très au sérieux parce que ce n'est pas du tout l'optique dans laquelle on veut être dans cette maison. On était tous extrêmement bienveillants les uns envers les autres. Et on a pris ce message au sérieux et on a essayé de regarder chacun dans nos comportements pour voir ce qui aurait pu être une erreur. On n'a été ni surpris ni préparés. Êtes-vous au courant de l'état de Marianne, bientôt hospitalisée ?Personnellement, à ma sortie, je n'ai pas pu observer beaucoup de choses à ce sujet-là. J'ai entendu vaguement à ma sortie, qui est très récente. J'envoie beaucoup de soutien à Marianne et j'espère qu'elle prend soin d'elle. Je prends tout ça en compte et j'écoute ce que les gens ont à dire parce que c'est important d'écouter ce que les autres sentent. Comment envisagez-vous la suite ? Je compte me mettre sur les réseaux sociaux et faire de la création de contenu. Ce qui a été très emblématique, c'était mon sourire. Je pense que c'est ce qu'on a le plus remarqué dans cette maison. Donc si je peux partager ce sourire et cette joie de vivre à d'autres gens en partageant mon quotidien et ma vie de tous les jours, je pense que ça pourrait être très chouette.

Ce que révèle le tout premier rapport de la police des polices à Genève
Ce que révèle le tout premier rapport de la police des polices à Genève

24 Heures

time2 days ago

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Ce que révèle le tout premier rapport de la police des polices à Genève

L'Inspection générale des services (IGS) rend public son rapport d'activité. Le nombre d'enquêtes a augmenté de 11% en 2024. Publié aujourd'hui à 11h39 Les plaintes adressées à l'IGS portent majoritairement sur des allégations d'usage abusif de la force ou d'un moyen de contrainte. © archive tdg En bref: Face aux demandes d'associations de défense des droits de l'homme et des médias, l'Inspection générale des services (IGS) – ou police des polices – joue désormais la carte de la transparence. Pour la première fois en quinze ans d'existence, l'organe chargé des enquêtes pénales visant tous les membres du corps de police rend public son rapport d'activité . Jusqu'alors, seuls l'état-major de la police cantonal et le procureur général recevaient le document contenant, notamment, les données relatives aux violences policières et pénitentiaires. Unique en Suisse Avant d'examiner les chiffres, une mise en contexte s'impose. Car l'IGS est une exception genevoise calquée sur une pratique française. Les autres cantons helvétiques ne disposent pas d'une telle structure. L'IGS tire son origine d'une pétition de détenus de Champ-Dollon dénonçant en 2006 des violences policières. Dans la foulée, le Comité européen pour la prévention de la torture et des peines ou traitements inhumains ou dégradants (CPT) suggérait au Canton de mettre sur pied un organe indépendant de contrôle avant que le conseiller d'État Laurent Moutinot ne lance la structure en 2009. De trois inspecteurs à ses débuts, l'IGS est désormais doté de quinze personnes chargées d'enquêter sur les allégations de violences policières ou pénitentiaires, mais également sur les infractions commises par les membres des corps de police dans le cadre privé. Usage abusif de la force Qu'en est-il des chiffres? L'IGS a ouvert 143 dossiers en 2024, soit 11,6% de plus que l'année précédente. Raison principale invoquée: l'usage abusif de la force ou d'un moyen de contrainte. L'an dernier, 52 cas entraient dans cette catégorie, visant en premier lieu des membres de la police cantonale (42), puis l'Office de la détention (10), mais aucun policier municipal ou membre d'un autre service. Dans ce champ, les dénonciations viennent le plus souvent de personnes interpellées, lesquelles ont indiqué avoir subi des violences dans le cadre de leur arrestation. L'utilisation des menottes, du spray au poivre, de clés de bras ou de «frappes de déstabilisation» sont à l'origine des plaintes. Source: rapport d'activité de l'Inspection générale des services 2024. LDI Corruption derrière les barreaux À noter que ces enquêtes pour usage abusif de la force peuvent être ouvertes à la suite de dénonciations directement enregistrées par l'IGS, mais également sur signalement du Ministère public. Quant aux deux décès survenus en 2024 dans les violons du vieil Hôtel de police du boulevard Carl-Vogt, ils ont donné lieu à l'ouverture d'enquêtes menées par l'IGS puis remises au Ministère public. Parmi les données de ce rapport, la plus surprenante concerne les faits de corruption. Ils sont «en forte hausse», indique l'IGS. Au vrai, sur les dix enquêtes ouvertes en 2024 (contre deux en 2022 et deux en 2023), neuf concernent des agents de l'Office cantonal de la détention suspectés d'avoir introduit de la drogue ou des téléphones portables en prison. Une de ces enquêtes est d'ailleurs à l'origine de l' arrestation d'un agent de détention , confirme le document rendu public. Peu de condamnations Enfin, l'exercice de transparence éclaire sur l'issue des procédures pénales transmises au Parquet à la suite d'une enquête de l'IGS. Il apparaît en effet que le nombre de condamnations est très faible. Pour saisir le phénomène, il s'agit d'examiner les données des années 2021 et 2022 (il est trop tôt pour examiner la question pour les cas datant de 2024) pour apprendre que 77% des procédures sont classées par la justice (ordonnance de non-entrée en matière ou classement). Dans son compte rendu, l'IGS fournit une explication: «Dans des enquêtes de ce type, il est parfois difficile de recueillir des éléments objectifs qui établissent avec certitude les faits. Hormis les cas où les faits sont filmés, notamment par les caméras équipant les postes de police ou par les caméras et les bodycams équipant les lieux de détention, il faut donc se contenter de versions contradictoires sur lesquelles la justice devra se baser pour rendre une décision, étant rappelé que le doute doit profiter à l'accusé.» Reste que 48 procédures ont conduit à des condamnations pénales durant ces années 2021 et 2022: 25 concernent des infractions commises dans le cadre privé par des policiers, des assistants de sécurité publique (ASP), des agents de détention et un fonctionnaire externe. Newsletter «La semaine genevoise» Découvrez l'essentiel de l'actualité du canton de Genève, chaque semaine dans votre boîte mail. Autres newsletters Luca Di Stefano est journaliste à la rubrique genevoise depuis 2013. Diplômé de l'Académie du journalisme et des médias (AJM), il couvre en particulier l'actualité judiciaire. Plus d'infos @LucaDiStefano10 Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Prixtel affiche un forfait mobile à moins de 8 euros par mois mais pour combien de temps
Prixtel affiche un forfait mobile à moins de 8 euros par mois mais pour combien de temps

Le Parisien

time3 days ago

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Prixtel affiche un forfait mobile à moins de 8 euros par mois mais pour combien de temps

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Des rugbymen seraient prêts à se mettre en grève face au contrôle élargi du salary-cap
Des rugbymen seraient prêts à se mettre en grève face au contrôle élargi du salary-cap

L'Équipe

time4 days ago

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Des rugbymen seraient prêts à se mettre en grève face au contrôle élargi du salary-cap

À la suite de l'affaire Toulouse-Jaminet, des sanctions sportives ont été mises en place pour les futurs fraudeurs au salary-cap. Les pouvoirs de contrôle de la LNR sur les sources de revenus des joueurs ont également été élargis, ce qui créerait quelques crispations parmi ces derniers. Ce mercredi matin se tenait l'assemblée générale de la Ligue nationale du rugby (LNR), durant laquelle différentes mesures ont été adoptées. Parmi elles, la mise en place, dès la saison prochaine, de sanctions sportives - allant du retrait de points à une relégation - en cas de dépassement du salary-cap ou de manquement à l'obligation de transparence et de coopération. Une décision actée en comité directeur de la Ligue le 20 juin et adoptée en réaction à l'affaire du transfert de Melvyn Jaminet, dans laquelle le Stade Toulousain, après une médiation avec la LNR, avait accepté de payer fin mars une amende d'1,3 millions d'euros pour avoir cherché à contourner le salary-cap au moment de débaucher l'arrière international à Perpignan en 2022. Depuis, de nombreux dirigeants appellent à plus de transparence et la LNR a également décidé, dans cette optique d'un contrôle plus rigoureux des masses salariales des clubs, d'élargir dans ses textes le pouvoir du salary-cap manager pour mieux contrôler les sources de revenus des joueurs. Ce qui ne plairait pas à ces derniers, des menaces de grèves en début de saison ayant même été relayées par nos confrères de Rugbyrama. On en est encore loin mais Provale, le principal syndicat de joueurs, va, selon nos informations, transmettre ce jeudi un courrier à la LNR et son président Yann Roubert pour partager quelques inquiétudes. Du côté des joueurs, qui ont désormais une plateforme à leur disposition pour déclarer directement leurs revenus, on craindrait une atteinte à la vie privée. « La LNR ouvre un spectre qui permet au salary-cap manager d'aller dans la vie privée des joueurs en touchant tout ce qui concerne son revenu, nous a-t-on expliqué sous couvert d'anonymat. Il va pouvoir fouiller dans les comptes des joueurs, tout savoir de leurs dépenses, de leurs investissements, de leurs placements, etc. Donc des joueurs montent dans les tours. Il faut trouver une limite à ce qu'on peut déclarer. » « On ne va pas leur demander leurs relevés bancaires ou leurs feuilles d'imposition. On a essayé de trouver une solution équilibrée, pour éviter les salaires déguisés, mais on se concentre uniquement sur les revenus sportifs. » La Ligue nationale du rugby Contactée, la LNR, sans vouloir s'exprimer officiellement, a tenu à calmer le jeu, évoquant un « malentendu ». « On ne va pas du tout dans la vie privée, on ne parle que des revenus qui sont liés à l'activité sportive. Cela concerne donc les salaires et les droits à l'image. Avant, les joueurs ne déclaraient que les droits à l'image ''directs'', c'est-à-dire liés à des partenaires de leur club. La seule chose qui change, c'est qu'ils devront déclarer aussi les droits ''indirects'', ce qui permettra au salary-cap manager de vérifier s'il n'y a pas un lien, même très lointain, avec le club. Mais on ne va pas du tout sur la situation patrimoniale, les revenus tirés de placements. On ne va pas leur demander leurs relevés bancaires ou leurs feuilles d'imposition. On a essayé de trouver une solution équilibrée, pour éviter les salaires déguisés, mais on se concentre uniquement sur les revenus sportifs. » Reste à voir si les prochains jours permettront d'éclaircir un sujet qui a visiblement l'air complexe et sensible.

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