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Trêve à Gaza : les modifications demandées par le Hamas sont « inacceptables » pour Israël, qui envoie des émissaires au Qatar
Trêve à Gaza : les modifications demandées par le Hamas sont « inacceptables » pour Israël, qui envoie des émissaires au Qatar

Le Parisien

time11 hours ago

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Trêve à Gaza : les modifications demandées par le Hamas sont « inacceptables » pour Israël, qui envoie des émissaires au Qatar

L'accord pourrait-il être conclu dès « la semaine prochaine », comme l'affirme Donald Trump ? Rien n'est moins sûr. Une équipe de négociateurs israéliens se rendra bien dimanche au Qatar pour des pourparlers indirects en vue d'un accord de trêve et de libération d'otages à Gaza, a annoncé samedi soir le Premier ministre Benyamin Netanyahou , tout en qualifiant d'« inacceptables » les dernières demandes du Hamas. « Les changements que le Hamas cherche à apporter à la proposition qatarienne nous ont été communiqués la nuit dernière et sont inacceptables pour Israël », indique un communiqué du bureau de Netanyahou. Néanmoins, « après une évaluation de la situation », Netanyahou « a donné l'instruction de répondre à l'invitation pour des pourparlers indirects et de poursuivre les efforts en vue de récupérer nos otages sur la base de la proposition qatarienne qu'Israël a acceptée », ajoute le texte, précisant que « l'équipe de négociation se rendra demain ( dimanche ) pour des discussions au Qatar ». Le Hamas a affirmé vendredi soir qu'il était disposé à « engager immédiatement » des négociations sur une proposition de trêve parrainée par les États-Unis et transmise par la médiation du Qatar et de l'Égypte. Deux sources palestiniennes proches des discussions ont indiqué que cette proposition comprenait une trêve de 60 jours, pendant laquelle le mouvement islamiste relâcherait dix otages encore en vie, ainsi qu'un certain nombre de corps , en échange de la libération de Palestiniens détenus par Israël. Sur les 251 personnes enlevées au premier jour de la guerre déclenchée le 7 octobre 2023 par l'attaque du Hamas sur le sol israélien, 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l'armée israélienne. Selon les deux sources palestiniennes, le Hamas exige des conditions sur le retrait des troupes israéliennes de la bande de Gaza, des garanties sur la poursuite de l'arrêt des combats après les 60 jours et une reprise en main de la distribution de l'aide humanitaire par l'ONU et des organisations internationales reconnues. Le président américain Donald Trump, qui doit accueillir lundi à Washington le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, a estimé qu'un accord pourrait être conclu « la semaine prochaine » . L'attaque du 7-Octobre a fait 1 219 morts du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles. Au moins 57 338 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne de représailles israéliennes à Gaza, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l'ONU.

Des négociateurs se rendront au Qatar dimanche
Des négociateurs se rendront au Qatar dimanche

La Presse

time12 hours ago

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Des négociateurs se rendront au Qatar dimanche

Un garçon inspecte les dégâts dans une école de l'UNRWA abritant des personnes déplacées qui a été touchée par une frappe israélienne nocturne, dans la ville de Gaza, le 5 juillet 2025. (Jérusalem) Une équipe de négociateurs israéliens se rendra au Qatar dimanche pour des pourparlers indirects en vue d'un accord de trêve et de libération d'otages à Gaza, a annoncé samedi soir le premier ministre Benyamin Nétanyahou, tout en qualifiant d'« inacceptables » les dernières demandes du Hamas. Sébastien DUVAL Agence France-Presse « Les changements que le Hamas cherche à apporter à la proposition qatarie nous ont été communiqués la nuit dernière et sont inacceptables pour Israël », indique un communiqué du bureau de M. Nétanyahou. Néanmoins, « après une évaluation de la situation », M. Nétanyahou « a donné l'instruction de répondre à l'invitation pour des pourparlers indirects et de poursuivre les efforts en vue de récupérer nos otages sur la base de la proposition qatarie qu'Israël a acceptée », ajoute le texte, précisant que « l'équipe de négociation se rendra demain [dimanche] pour des discussions au Qatar ». Le Hamas a affirmé vendredi soir qu'il était disposé à « engager immédiatement » des négociations sur une proposition de trêve parrainée par les États-Unis et transmise par la médiation du Qatar et de l'Égypte. Deux sources palestiniennes proches des discussions ont indiqué à l'AFP que cette proposition comprenait une trêve de 60 jours, pendant laquelle le mouvement islamiste relâcherait dix otages encore en vie, ainsi qu'un certain nombre de corps, en échange de la libération de Palestiniens détenus par Israël. Sur les 251 personnes enlevées au premier jour de la guerre déclenchée le 7 octobre 2023 par l'attaque du Hamas sur le sol israélien, 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l'armée israélienne. PHOTO DAWOUD ABU ALKAS, REUTERS Des Palestiniens inspectent les dégâts causés à une école de l'UNRWA abritant des personnes déplacées, touchée par une frappe israélienne nocturne, à Gaza, le 5 juillet 2025. Selon les deux sources palestiniennes, le Hamas exige des conditions sur le retrait des troupes israéliennes de la bande de Gaza, des garanties sur la poursuite de l'arrêt des combats après les 60 jours et une reprise en main de la distribution de l'aide humanitaire par l'ONU et des organisations internationales reconnues. Le président américain, Donald Trump, qui doit accueillir lundi à Washington le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a estimé qu'un accord pourrait être conclu « la semaine prochaine ». Le chef de la diplomatie égyptienne, Badr Abdelatty, a, selon son ministère, discuté au téléphone avec l'émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, des « préparatifs en vue de la tenue de réunions indirectes entre les deux parties concernées ». Deux humanitaires américains blessés À l'occasion d'un rassemblement hebdomadaire à Tel-Aviv, le Forum des familles d'otages a de nouveau appelé les dirigeants israéliens à un « accord global » qui permettrait la libération de l'ensemble d'entre eux d'un coup. « Il est temps de conclure un accord qui sauve tout le monde […], sans sélection », a déclaré à la tribune Macabit Mayer, la tante de deux otages, Gali et Ziv Berman. « Quel dieu peut composer une telle liste ? Et qu'est-ce que ça veut dire pour nous : qu'un seul est sauvé et que l'autre reste captif ? » Sur le terrain, l'armée israélienne étend son offensive militaire dans la bande de Gaza, plongée dans une situation humanitaire critique près de 21 mois après le début des hostilités. PHOTO DAWOUD ABU ALKAS, REUTERS Un garçon passe une école de l'UNRWA qui a été touchée par une frappe israélienne nocturne, le 5 juillet 2025 dans la ville de Gaza. Selon Mahmoud Bassal, porte-parole de la Défense civile gazouie, une organisation de premiers secours, 35 personnes y ont été tuées samedi. Contactée par l'AFP, l'armée israélienne a déclaré ne pas être en mesure de faire de commentaires sur des frappes en particulier en l'absence de coordonnées géographiques précises. Elle a par ailleurs indiqué avoir intercepté au-dessus du sol israélien deux « projectiles » en provenance du sud de Gaza. La Fondation humanitaire de Gaza (GHF), organisation soutenue par les États-Unis et Israël, a elle annoncé que deux de ses employés américains avaient été blessés dans un « attentat », à la grenade, contre un de ses centres de distribution d'aide, sans que leur pronostic vital ne soit engagé. Compte tenu des restrictions imposées aux médias et des difficultés d'accès à Gaza, il est extrêmement difficile pour l'AFP de vérifier de manière indépendante les affirmations des différentes parties. L'attaque du 7-Octobre a fait 1219 morts du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles. Au moins 57 338 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne de représailles israéliennes à Gaza, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l'ONU.

Guerre à Gaza : Donald Trump estime qu'il « pourrait y avoir un accord » dès « la semaine prochaine »
Guerre à Gaza : Donald Trump estime qu'il « pourrait y avoir un accord » dès « la semaine prochaine »

Le Parisien

timea day ago

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Guerre à Gaza : Donald Trump estime qu'il « pourrait y avoir un accord » dès « la semaine prochaine »

Espoir et méfiance. Vendredi, Donald Trump a déclaré qu'il « pourrait y avoir un accord sur Gaza la semaine prochaine », alors qu'une visite à la Maison-Blanche du Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, est prévue lundi. À la question d'un journaliste à bord d'Air Force One lui demandant s'il était optimiste quant à un accord de cessez-le-feu dans la bande de Gaza , le président américain a répondu « très ». Il a toutefois ajouté : « cela change de jour en jour ». De son côté, le Hamas a annoncé, vendredi soir, être « prêt à engager immédiatement et sérieusement un cycle de négociations sur le mécanisme de mise en œuvre » d'une proposition de trêve à Gaza, parrainée par Washington et transmise par la médiation du Qatar et de l'Égypte. « C'est bien. Ils ne m'en ont pas informé », a déclaré Donald Trump interrogé sur le sujet, ajoutant : « Nous devons en finir avec cela. Nous devons faire quelque chose pour Gaza ». Donald Trump avait assuré, mardi, qu'Israël avait accepté de finaliser les termes d'un cessez-le-fe u. Selon une source palestinienne proche des discussions, la proposition « comprend une trêve de 60 jours » pendant laquelle le Hamas relâcherait la moitié des otages israéliens encore en vie en échange de la libération de prisonniers palestiniens détenus par Israël. Le djihad islamique, principal mouvement palestinien allié du Hamas, a soutenu le principe des négociations. Dans un communiqué, il a dit vouloir « aller vers un accord » tout en demandant des « garanties supplémentaires » permettant d'assurer qu'Israël « ne reprendra pas son agression » une fois les otages libérés.

Gaza : le Hamas répond positivement à la proposition de cessez-le-feu des médiateurs
Gaza : le Hamas répond positivement à la proposition de cessez-le-feu des médiateurs

Le Parisien

time2 days ago

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Gaza : le Hamas répond positivement à la proposition de cessez-le-feu des médiateurs

Une trêve, enfin ? Le Hamas a répondu positivement à la proposition de cessez-le-feu avec Israël transmise par les médiateurs, rapporte plusieurs médias au Proche-Orient, dont le journal israélien Haaretz . Le mouvement islamiste palestinien s'est dit prêt à « engager immédiatement » des négociations sur la mise en oeuvre de la proposition. Le Hamas « a achevé ses consultations internes et avec (d'autres forces) palestiniennes concernant la dernière proposition des médiateurs en vue de l'arrêt de l'agression contre notre peuple à Gaza. Le mouvement a remis sa réponse aux médiateurs (... et celle-ci est) positive, et le mouvement est prêt à engager immédiatement et sérieusement un cycle de négociations sur le mécanisme de mise en œuvre de ce cadre », indique un communiqué du mouvements islamiste palestinien. L'annonce du Hamas intervient avant un déplacement lundi à Washington du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou pour rencontrer le président Donald Trump , lequel fait pression pour un cessez-le-feu à Gaza, dévastée par près de 21 mois de guerre. Selon une source palestinienne, la proposition « comprend une trêve de 60 jours » pendant laquelle le Hamas relâcherait la moitié des otages israéliens encore en vie en échange de la libération de prisonniers palestiniens détenus par Israël. Haaretz précise que 10 otages israéliens en vie devraient être libérés, ainsi que les corps de 18 détenus décédés. Dans le même temps, l'armée israélienne a poursuivi son offensive dans la bande de Gaza assiégée et affamée, la Défense civile faisant état de 52 Palestiniens tués dans les raids aériens, bombardements et tirs, dont 11 près de sites d'aide humanitaire. À l'hôpital Nasser de Khan Younès, où ont été transportés des corps de Palestiniens enveloppés dans des linceuls en plastique, des hommes récitent la prière des morts. À côté, des femmes en pleurs entourent le corps d'un proche. « Mon fils est allé chercher de la farine ! Ils nous disent Venez chercher les aides , nous y allons et ils nous tirent dessus », se lamente Nidaa al-Farra, qui a perdu son fils de 19 ans près d'un site de distribution d'aide. La distribution de l'aide est gérée depuis fin mai par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF) , une entreprise au financement opaque soutenue par Israël et les États-Unis. L'ONU a affirmé que plus de 500 personnes avaient été tuées depuis fin mai près des sites de la GHF. La fondation nie tout incident « à proximité » de ses sites. Cette semaine, Benjamin Netanyahou a redit vouloir éliminer « jusqu'à la racine » le Hamas, l'un des buts affichés de la guerre, avec le retour des otages et le contrôle de Gaza. Il a aussi promis de ramener « tous » les otages, « sans exception ». Sur les 251 personnes enlevées durant l'attaque du 7 octobre , 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l'armée israélienne. Cette attaque sans précédent a fait 1.219 morts côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de données officielles. Au moins 57 268 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués à Gaza dans l'offensive de représailles israélienne, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.

Le Hamas étudie une offre de trêve, 52 morts selon la Défense civile
Le Hamas étudie une offre de trêve, 52 morts selon la Défense civile

La Presse

time2 days ago

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Le Hamas étudie une offre de trêve, 52 morts selon la Défense civile

Un Palestinien regarde le site de la frappe israélienne de jeudi qui a endommagé et détruit des bâtiments résidentiels, dans le camp de réfugiés de Shati, dans la ville de Gaza, le 4 juillet 2025. Le Hamas étudie une offre de trêve, 52 morts selon la Défense civile (Gaza) Le Hamas a annoncé vendredi mener des discussions avec d'autres mouvements palestiniens sur une proposition de trêve avec Israël dans la bande de Gaza, où la Défense civile a fait état de 52 morts dans l'offensive israélienne. Équipe de l'AFP avec Roland LLOYD PARRY à Jérusalem Agence France-Presse L'annonce du Hamas intervient avant un déplacement lundi à Washington du premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou pour rencontrer le président Donald Trump, lequel fait pression pour un cessez-le-feu à Gaza, dévastée par près de 21 mois de guerre. « Nous menons des consultations avec les chefs des factions palestiniennes au sujet de la proposition envoyée par les médiateurs », a dit dans un communiqué le mouvement islamiste Hamas, dont l'attaque sans précédent le 7 octobre 2023 contre Israël a déclenché la guerre. Selon une source palestinienne, la proposition « comprend une trêve de 60 jours » pendant laquelle le Hamas relâcherait la moitié des otages israéliens encore en vie en échange de la libération de prisonniers palestiniens détenus par Israël. PHOTO ODED BALILTY, ASSOCIATED PRESS Des personnes sont assises sur des bancs, décorés de drapeaux jaunes symbolisant les otages détenus par le Hamas dans la bande de Gaza, à Tel-Aviv, en Israël. Dans le même temps, l'armée israélienne a poursuivi son offensive dans la bande de Gaza assiégée et affamée, la Défense civile faisant état de 52 Palestiniens tués dans les raids aériens, bombardements et tirs, dont 11 près de sites d'aide humanitaire. À l'hôpital Nasser de Khan Younès (Sud), où ont été transportés des corps de Palestiniens enveloppés dans des linceuls en plastique, des hommes récitent la prière des morts. À côté, des femmes en pleurs entourent le corps d'un proche. « Mon fils est allé chercher de la farine ! Ils nous disent ' venez chercher les aides ', nous y allons et ils nous tirent dessus », se lamente Nidaa al-Farra, qui a perdu son fils de 19 ans près d'un site de distribution d'aide. « Jusqu'à la racine » La distribution de l'aide est gérée depuis fin mai par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), une entreprise au financement opaque soutenue par Israël et les États-Unis. L'ONU a affirmé que plus de 500 personnes avaient été tuées depuis fin mai près des sites de la GHF. La fondation nie tout incident « à proximité » de ses sites. Interrogée sur les bombardements rapportés par la Défense civile, l'armée israélienne a déclaré « mener des opérations pour démanteler les capacités militaires du Hamas ». Elle a fait état de « la mort au combat » d'un soldat à Gaza. PHOTO AGENCE FRANCE-PRESSE Une fillette est réconfortée par une proche alors qu'elle pleure un être cher lors des funérailles des Palestiniens tués dans les frappes israéliennes sur le sud de la bande de Gaza la veille, devant l'hôpital Nasser de Khan Younès, le 4 juillet 2025. L'ONG Médecins sans frontières a affirmé de son côté qu'un de ses anciens collaborateurs, Abdallah Hammad, figurait parmi les Palestiniens tués jeudi alors qu'ils attendaient des camions d'aide près de Khan Younès. « Nous sommes révoltés et attristés par sa mort », a dénoncé MSF. Compte tenu des restrictions imposées par Israël aux médias et des difficultés d'accès sur le terrain, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les affirmations de la Défense civile à Gaza. Cette semaine, M. Nétanyahou a redit vouloir éliminer « jusqu'à la racine » le Hamas, l'un des buts affichés de la guerre, avec le retour des otages et le contrôle de Gaza. Il a aussi promis de ramener « tous » les otages, « sans exception ». Sur les 251 personnes enlevées durant l'attaque du 7-Octobre, 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l'armée israélienne. PHOTO MAHMOUD ISSA, REUTERS Vue du site de la frappe israélienne du 4 juillet qui a endommagé et détruit des bâtiments résidentiels, dans le camp de réfugiés de Shati, dans la ville de Gaza. « Un grand et bel accord » À Tel-Aviv, les familles des otages ont manifesté devant une annexe de l'ambassade des États-Unis pour réclamer un « grand et bel accord pour les otages » et un cessez-le-feu, en allusion à la « grande et belle » loi budgétaire de Donald Trump. M. Trump a assuré mardi que Israël avait accepté de finaliser les termes d'un cessez-le-feu et exhorté le Hamas à l'accepter, évoquant un accord proche. Le Hamas, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007, réclame publiquement un cessez-le-feu « permanent » et un retrait israélien de Gaza. Une première trêve d'une semaine en novembre 2023 puis une seconde de deux mois début 2025 à Gaza, négociées via le Qatar, les États-Unis et l'Égypte, ont permis le retour de nombreux otages israéliens et la libération de prisonniers palestiniens. Faute d'accord sur la suite du cessez-le-feu, Israël a repris le 18 mars son offensive contre Gaza, où les quelque deux millions de Palestiniens vivent dans des conditions terribles selon l'ONU et des ONG.

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