Dernières actualités avec #vente

Le Soir
2 days ago
- Entertainment
- Le Soir
La guerre entre Brad Pitt et Angelina Jolie se poursuit
Le couple, en procédure de divorce, se déchire encore autour de leur château de Miraval. Elle souhaite vendre ses parts mais il n'accepte pas le profil du nouvel acquéreur. Brad Pitt et Angelina Jolie ont fait rêver Hollywood pendant plusieurs années. Mais désormais, le couple est en procédure de divorce. L'un des dossiers brûlants de cette séparation est leur domaine de Miraval. Situé dans le sud de la France, le château de Miraval a été acheté par le couple américain en 2012. Elle détient 40 % contre 60 % pour lui. À l'époque, ils s'étaient mis d'accord : aucun ne vendra ses parts sans l'accord de l'autre. Lorsqu'Angelina Jolie décide de vendre ses parts en 2021 à Tenute del Mundi, filiale du groupe Stoli, détenue par un millionnaire russe, Brad Pitt voit rouge. Cette vente aurait eu lieu dans le plus grand secret, selon l'acteur. L'avocat d'Angelina Jolie a alors fait savoir à CNN : « Brad Pitt a refusé de conclure la vente de Miraval avec Angelina Jolie à moins qu'elle n'accepte d'être réduite au silence à propos de son agression. » L'affaire se poursuit, selon People. L'acteur aurait réclamé la consultation de messages privés avec Alexey Oliynik, homme d'affaires du groupe Stoli, avec son ex-épouse. Il affirme que l'homme aurait eu « une connaissance directe de la vente » du domaine. L'équipe juridique de Brad Pitt a déposé des documents à la Cour supérieure de Californie pour faire cette demande. Il ajoute que l'homme d'affaires a refusé de « remettre des documents pertinents » en lien avec la vente et qu'il ne s'était pas présenté pour faire une déposition.


Le Parisien
2 days ago
- Business
- Le Parisien
« On a peur pour nos familles » : les salariés de Sanofi mobilisés contre la vente du site de Maisons-Alfort
Au milieu d'une foule vêtue de rouge syndical, devant le site Sanofi de Maisons-Alfort , ce jeudi 10 juillet, un homme et une femme se tiennent un peu à l'écart. En couple depuis sept ans, ils se sont rencontrés ici, sur leur lieu de travail. Aujourd'hui, ils font grève contre la vente du site de Maisons-Alfort à l'allemand Adragos , annoncée début juillet à l'issue d'un comité social et économique (CSE) et qui doit intervenir au premier trimestre 2026. « On nous promet de garder nos postes temporairement, mais après, c'est quoi la suite ? » tempête l'homme barbu, la trentaine. Sa compagne a la mine grave : « On avait des projets ensemble, si on perd nos deux emplois, tout est enterré… »

Le Soir
3 days ago
- Business
- Le Soir
Pourquoi l'agent immobilier est toujours plus incontournable en cas de vente
Au moment de mettre un bien en vente, la majorité des Belges a le réflexe de faire appel à un professionnel. Une récente enquête réalisée par Immoweb révèle en effet que 53 % des vendeurs se tournent directement vers un agent immobilier ou un notaire. Les autres préfèrent se charger eux-mêmes des démarches… avant, parfois, de se raviser. De sorte qu'au total, près de deux Belges sur trois (61 %) passent, soit par un agent immobilier (96 % des cas), soit par un notaire (4 %) pour la vente de leur bien. Cette proportion a significativement augmenté au cours des dix dernières années car, en 2013, la même enquête révélait que seulement 46 % des vendeurs belges avaient recours à un professionnel. « Il est agréablement surprenant d'observer que de plus en plus de particuliers font appel à un professionnel pour la vente de leur bien – une action qui est quand même très importante dans une vie », réagit Charlotte De Thaye, directrice générale de Federia, la fédération des agents immobiliers francophones.


Le Parisien
4 days ago
- Politics
- Le Parisien
Le parti Renaissance vend son siège pour 31 millions d'euros
Une affaire rondement menée pour les caisses du parti Renaissance . Moins de six mois après avoir exprimé sa volonté de vendre le siège du parti, situé à l'angle des rues du Rocher et d'Édimbourg à Paris (VIIIe), Gabriel Attal a, selon nos informations, annoncé ce mardi soir devant les membres du bureau exécutif (Burex) qu'une offre d'achat avait été reçue de la part d'un fonds d'investissement. Prix de la vente : 31,4 millions d'euros. Le Burex a validé cette offre, le compromis sera signé dans les tout prochains jours. Une page qui se tourne alors que ce bâtiment pharaonique de 2 800 m2 sur sept étages avait été acquis en 2019 pour incarner le macronisme triomphant de l'époque. Sauf que trois ans et demi plus tard, deux défaites aux législatives entre-temps, et un nombre d'adhérents en chute libre (même pas 10 000 fin 2024), il a depuis des allures de vaisseau fantôme. Trop grand, pas assez fonctionnel, Attal a donc jugé bon de s'en séparer. L'Élysée a été informé ce lundi de cette offre d'achat. Renaissance va cependant enregistrer une moins-value avec cette vente puisque l'immeuble avait été acheté 35 millions d'euros en 2019. « L'époque correspondait au pic du marché de l'immobilier. Mais depuis, l'immobilier de bureau a chuté et a donc beaucoup de mal à se vendre en ce moment », explique une source proche du dossier, avec le sentiment de néanmoins « limiter la casse ». Financièrement, l'affaire reste tout de même juteuse pour les caisses du parti puisque avec 10 millions d'emprunts à rembourser encore, il va récupérer à l'issue de cette cession plus de 20 millions d'euros net pour sa trésorerie. « On s'était posé la question d'attendre encore un peu, pour voir si le marché allait repartir à la hausse, mais c'était un peu risqué. Et en plaçant ces 20 millions, c'est plusieurs centaines de milliers d'euros d'intérêts que nous allons pouvoir récupérer chaque année », jure un cadre de Renaissance. Le parti a déjà jeté son dévolu sur de nouveaux locaux, au 11, avenue Robert-Schuman (VIIe), près de l'Assemblée nationale. Plus petits (tout de même 2 000 m2 de locaux) et répartis sur seulement trois étages. Mais en location cette fois-ci, avec une économie d'un million d'euros sur les charges et frais d'entretien par rapport au siège actuel. Le déménagement aura lieu aux mois de septembre et octobre. L'immeuble des rues du Rocher-Édimbourg sera quant à lui définitivement vidé à la fin de l'année. Tournant encore un peu plus la page des années Macron … Et ça n'est peut-être pas fini puisque Gabriel Attal pourrait s'atteler dans les prochaines semaines à un autre chantier : celui du changement de nom. Samedi, les Jeunes avec Macron (JAM) avaient acté en congrès leur nouvelle identité : les Jeunes en marche (JEM). « Vous avez changé de nom. Moi, ça m'inspire », leur avait alors glissé le secrétaire général de Renaissance à la tribune. Un propos tout sauf dénué d'arrière-pensées laissent entendre certains de ses proches. Ce mardi soir, en toute fin de bureau exécutif, Attal a d'ailleurs « ouvert le débat » sur le sujet, rapporte un participant, recueillant un avis plutôt « bienveillant » de l'assistance. Le chantier est ouvert. Mais la nouvelle risque d'être accueillie fraîchement du côté de l'Élysée…