Dernières actualités avec #visa

Le Soir
2 days ago
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Voici le passeport le plus puissant au monde
Comme chaque année, la société Henley & Partners dresse sa liste des passeports les plus puissants de la planète. Cet indice est repose sur des données exclusives de l'Association du transport aérien international (IATA), la base de données d'informations de voyage la plus vaste et la plus précise, et enrichi par l'équipe de recherche de Henley & Partners. Ce sont au total 199 passeports qui ont été passés au crible. Chaque destination ne nécessitant pas de visa permet au pays de gagner un point. On retrouve à la première place une destination asiatique : Singapour. Découvrez en vidéo les conseils voyage d'une globe-trotteuse pour cet été : Singapour encore leader Ce n'est pas la première fois que Singapour s'adjuge la première place du classement. Le palmarès révèle que les détenteurs d'un passeport singapourien ont accès à 193 pays sans visa. C'est certes deux de moins que l'année dernière, mais cela reste suffisant pour décrocher la première position. Les pays asiatiques sont décidément bien représentés puisqu'on retrouve à égalité à la deuxième place la Corée du Sud et le Japon. Les deux nations décrochent toutes les deux 190 points. Quid de l'Europe ? Le continent classe sept pays à la troisième position : l'Allemagne, le Danemark, la Finlande, la France, l'Irlande, l'Italie et l'Espagne. Dans tous ces pays, les citoyens peuvent visiter 189 pays sans visa. Quant à la Belgique, elle se trouve en quatrième position, aux côtés du Luxembourg, des Pays-Bas, de la Norvège, du Portugal et la Suède avec 188 points. Le top 5 est complété par la Grèce, la Nouvelle-Zélande et la Suisse (187 points). Notons que les États-Unis se retrouvent à la dixième place. Il s'agit de leur plus mauvaise position depuis la création de ce classement. Quels sont les passeports les moins puissants ? L'Afghanistan est le pays avec le passeport le moins puissant. Ses citoyens peuvent accéder à 25 pays sans visa. C'est trois de moins par rapport à janvier 2024. Il est devancé par la Syrie (27 points), l'Irak (30 points), le Yémen, la Somalie et le Pakistan (32 points).


Le Figaro
4 days ago
- Politics
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Quel pays détient le passeport le plus «puissant» du monde pour voyager en 2025 ? La France n'est plus en tête
Le cabinet Henley & Partners vient de dévoiler le palmarès 2025 des passeports offrant le plus large accès sans visa : la France n'est plus numéro un, mais se maintient sur le podium. Traverser les frontières du globe n'est pas donné à tous de la même manière: tout dépend du passeport que l'on détient. Comme chaque semestre, le cabinet Henley & Partners dévoile son indice mondial de puissance de ces précieux documents de voyage, établi à partir des données de l'Association internationale du transport aérien (IATA). Celui-ci évalue la liberté de circulation de chaque nationalité selon le nombre de destinations accessibles sans visa, avec visa à l'arrivée ou via une autorisation électronique. Voici les résultats du dernier classement, publié ce mardi 22 juillet. Publicité L'Asie en tête de liste Pour la deuxième année consécutive, Singapour domine le classement, avec 193 destinations accessibles sans visa pour ses citoyens. Le Japon et la Corée du Sud suivent de près, avec un accès facilité à 190 pays. La France, qui avait brièvement retrouvé la première place en janvier 2024, reste bien positionnée : elle partage désormais la 3e marche du podium avec six pays européens - le Danemark, la Finlande, l'Allemagne, l'Irlande, l'Italie et l'Espagne - permettant tous un accès sans visa à 189 destinations. Une position tout de même positive pour la France, sachant qu'elle n'occupait que le 6e rang en 2023. Comme l'année dernière, l'Europe domine le top 10, avec 28 pays figurants de la 1re à 10e place. l'Une progression notable, sachant que la France n'occupait que la 6e place en 2023. Top 10 des passeports les plus puissants au monde en 2025 Rang Pays Nombre de destinations sans visa 1 Singapour 193 2 Japon, Corée du Sud 190 3 France, Danemark, Finlande, Allemagne, Irlande, Italie et Espagne 189 4 Autriche, Belgique, Luxembourg, Pays-Bas, Norvège, Portugal et Suède 188 5 Nouvelle-Zélande, Grèce et Suisse 187 6 Royaume-Uni 186 7 République tchèque, Australie, Pologne, Malte, Hongrie 185 8 Canada, Estonie, Émirats arabes unis 184 9 Croatie, Lettonie, Slovaquie, Slovénie 183 10 États-Unis, Lituanie, Islande 182 Autre tendance marquante : le recul du Royaume-Uni et des États-Unis. Depuis janvier, chacun a perdu une place dans le classement, poursuivant une descente amorcée il y a dix ans. Autrefois en tête, ils occupent désormais les 6e et 10e rangs, avec un accès sans visa à respectivement 186 et 182 destinations. Les États-Unis frôlent même la sortie du top 10, une première depuis la création de l'indice en 2006. «Tandis que les économies émergentes libéralisent leurs politiques de visas et renforcent leur influence diplomatique, les anciennes puissances de la mobilité adoptent des approches plus restrictives» analyse Henley & Partners dans un communiqué, attribuant ce recul à un durcissement des politiques migratoires dans les deux pays. Le Venezuela enregistre toutefois la chute la plus marquée : il passe de la 30e à la 45e place en seulement six mois. À l'inverse, certains pays progressent nettement. L'Inde gagne huit places, atteignant la 77e, malgré seulement deux nouvelles destinations (59 au total). La Chine suit une trajectoire similaire, passant de la 94e à la 60e position depuis 2015 - un bond important, d'autant plus qu'elle ne bénéficie toujours pas d'exemption de visa pour l'espace Schengen. En bas de tableau, l'Irak, la Syrie et surtout l'Afghanistan ferment la marche. Les ressortissants afghans ne peuvent voyager sans visa que vers 25 pays, créant un écart impressionnant de 168 destinations avec les passeports les plus puissants. Publicité En vidéo - Découvrez pourquoi vous ne pouvez pas garder votre passeport arrivé à expiration.


L'Équipe
4 days ago
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- L'Équipe
« Avec la présidence Trump, c'est devenu beaucoup plus dur » : le problème de visa qui a coûté une place en NFL au Français Wilfried Pené
Le défenseur français Wilfried Pené, recruté par les New England Patriots en mai dernier, n'a pas pu rejoindre ses coéquipiers à cause d'un problème de visa. Le souci administratif est réglé, mais sa franchise a recruté un autre joueur entre-temps, plongeant le Tourangeau de 24 ans dans l'attente. Un rêve brisé par des formalités administratives. Recruté en mai dernier en tant que rookie non drafté par les New England Patriots, le Français Wilfried Pené (1,90 m, 114 kg) pensait enfin avoir touché le graal. Mais à la fin du mois de juin, le défenseur de 24 ans a dû rentrer chez lui, en Touraine, au beau milieu de la préparation de la saison de NFL, à cause d'un problème de visa. « J'étais à l'entraînement quand je l'ai appris, ça m'a fait l'effet d'un coup de massue », a-t-il confié à la chaîne YouTube québécoise Le Sac du Quart. Une vraie dégringolade pour ce joueur de football américain venu étudier aux États-Unis en 2020, dans l'université de Virginia Tech, pour entretenir son rêve de NFL. À l'origine de cette bisbille, une simple incompréhension avec cette fac. « J'avais fini mon cursus scolaire à Virginia Tech, et sur mon visa étudiant, il me restait le semestre de printemps 2025 à faire, a-t-il retracé. En renouvelant ce visa étudiant, j'ai demandé s'il était possible de préparer la draft et ne pas aller en cours. Ils m'avaient dit oui donc je ne suis pas allé en cours, sauf que, entre-temps, mon visa a été annulé par Virginia Tech. » L'oubli aurait pu rester anecdotique, mais elle a empêché la transformation du visa étudiant en un visa de sportif professionnel, le P-1A. « Il préparait la draft, mais pendant cette période, il aurait dû rentrer en France d'un point de vue légal, explique Clément Denis, média manager du joueur. Et avec la présidence Trump, c'est devenu beaucoup plus dur d'avoir un visa de travail. Ils n'ont même pas pris le temps de regarder la situation et ont refusé net, malgré la puissance de la NFL et l'aide des Patriots dans les démarches. » Pendant ce temps-là, les Patriots ont recruté un autre joueur De retour dans l'Hexagone, le Français reste plusieurs semaines sur le carreau. Résignés face à cette situation complexe, les Patriots le relâchent et engagent, à sa place, un 91e joueur - David Olajiga, en provenance des Rams de Los Angeles. Pendant ce temps-là, Pené continue de s'entraîner et conserve le moral, comme il l'a affirmé la semaine dernière sur son compte Instagram. « Ce n'est pas la fin de mon histoire mais le début d'un nouveau chapitre. Je bosse, je m'entraîne tous les jours et je ne veux pas vous laisser tomber », a-t-il juré en s'adressant à ses fans. Avec une lumière au bout du tunnel : entre-temps, l'imbroglio administratif a été réglé, assure-t-on dans son entourage, et Pené a été accompagné par l'ambassade des États-Unis en France. « Ce qu'il manque concrètement, c'est qu'un club l'appelle, poursuit son média manager. Dès qu'on lui proposera un contrat de travail, le visa sera validé. » Une publication partagée par Wilfried Pene (@wil.2337) Il n'empêche, le retard lui coûte cher dans l'immédiat. Les camps d'entraînements, sorte de pépinière pour élaborer la liste de 53 joueurs retenus pour la saison régulière, viennent de débuter pour les 32 franchises de NFL. L'horizon est bouché chez les Patriots et demeure incertain ailleurs, malgré des contacts avec plusieurs écuries. Le chemin pour devenir le deuxième joueur français de l'histoire en saison régulière de la prestigieuse ligue nord-américaine, 33 ans après Richard Tardits, est escarpé, mais le joueur continue d'y croire. Comment Wilfried Pené se prépare à la draft NFL


Le Figaro
7 days ago
- Politics
- Le Figaro
Tuvalu : plus de 80% des habitants cherchent à obtenir un visa climatique en Australie
Plus de 80% des habitants des Tuvalu, archipel du Pacifique menacé par la montée du niveau des océans, cherchent à obtenir un visa pour l'Australie dans le cadre d'un traité signé en 2024, selon des chiffres officiels obtenus par l'AFP. Au total, 8.750 Tuvaluans se sont inscrits pour le premier lot de visas, a déclaré le haut-commissariat australien, soit 82% des 10.643 habitants recensés dans l'archipel.


Le Parisien
22-07-2025
- Politics
- Le Parisien
États-Unis : des « frais d'intégrité de visa » pourront être facturés 250 dollars
Se rendre aux États-Unis va devenir de plus en plus cher. Une disposition de la loi One Big Beautiful Bill Act, signée en grande pompe par Donald Trump le 4 juillet dernier, prévoit que des frais peuvent s'appliquer à tous les visiteurs ayant besoin d'un visa de non-immigration pour se rendre aux États-Unis. La section 100007 du texte de loi instaure des « Frais d'intégrité du visa » et permet au secrétaire à la Sécurité intérieure - notre ministère de l'Intérieur - d'exiger le versement « par tout étranger auquel un visa de non-immigrant est délivré » d'au moins 250 dollars (214 euros au cours actuel) ou tout montant supérieur que le secrétaire fixera par voie réglementaire. En principe, la plupart des citoyens français n'auront pas à verser cette somme car ils bénéficient du programme d'exemption de visa (VWP) qui permet aux ressortissants français d'accéder au territoire américain sans visa, et réciproquement pour les ressortissants américains venant en France. Les Français doivent simplement obtenir une autorisation électronique de voyage (ESTA, valable deux ans, et facturée 21 dollars, soit 18 euros environ), soit en transit, soit pour un séjour touristique ou d'affaires de trois mois maximum. En revanche un séjour plus long - pour une année scolaire ou universitaire par exemple - nécessite un visa, et possiblement ces frais. De même, les personnes qui arrivent aux États-Unis par avion ou bateau privés, même pour moins de 90 jours, seront tenues de l'obtenir. La mesure, qui n'est pas encore entrée en vigueur, était passée inaperçue jusqu'à ce que l'US Travel association s'inquiète « des défis importants et des questions sans réponse concernant la mise en œuvre » de ces « frais d'intégrité du visa ». La question de leur perception est assez simple : c'est le Département d'État qui encaissera la somme. Mais la question se pose de savoir qui remboursera les voyageurs, et comment. Car si les frais d'intégrité du visa « ne peuvent faire l'objet d'aucune exonération ou réduction », ils pourront être partiellement remboursés, à condition d'en faire la demande, de prouver qu'on n'a pas occupé un emploi non autorisé et qu'on n'a pas cherché à prolonger son séjour au-delà de la période autorisée par le visa. En théorie. En pratique, le remboursement sera très compliqué. C'est en tout cas l'avis qu'a émis le Congressional Budget Office américain , une agence fédérale non partisane qui donne son avis sur le coût des lois votées au Congrès : « le Département d'État aura besoin de plusieurs années pour mettre en place un processus de remboursement. Sur cette base, le CBO estime que l'adoption de cette disposition augmenterait les recettes et réduirait le déficit de 28,9 milliards de dollars sur la période 2025-2034 » , au cours de laquelle « environ 120 millions de visas de non-immigrant » seront demandés. Sollicité par les médias américains, un porte-parole du Département d'État a déclaré que cette importante taxe avait été établie « pour soutenir les priorités de l'administration visant à renforcer l'application des lois sur l'immigration, à dissuader les dépassements de visa et à financer la sécurité des frontières ». L'an dernier, les États-Unis ont délivré près de 11 millions de visas de non-immigrant, selon les chiffres du Département d'État.