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Tuvalu : plus de 80% des habitants cherchent à obtenir un visa climatique en Australie
Tuvalu : plus de 80% des habitants cherchent à obtenir un visa climatique en Australie

Le Figaro

time2 hours ago

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Tuvalu : plus de 80% des habitants cherchent à obtenir un visa climatique en Australie

Plus de 80% des habitants des Tuvalu, archipel du Pacifique menacé par la montée du niveau des océans, cherchent à obtenir un visa pour l'Australie dans le cadre d'un traité signé en 2024, selon des chiffres officiels obtenus par l'AFP. Au total, 8.750 Tuvaluans se sont inscrits pour le premier lot de visas, a déclaré le haut-commissariat australien, soit 82% des 10.643 habitants recensés dans l'archipel.

États-Unis : des « frais d'intégrité de visa » pourront être facturés 250 dollars
États-Unis : des « frais d'intégrité de visa » pourront être facturés 250 dollars

Le Parisien

timea day ago

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États-Unis : des « frais d'intégrité de visa » pourront être facturés 250 dollars

Se rendre aux États-Unis va devenir de plus en plus cher. Une disposition de la loi One Big Beautiful Bill Act, signée en grande pompe par Donald Trump le 4 juillet dernier, prévoit que des frais peuvent s'appliquer à tous les visiteurs ayant besoin d'un visa de non-immigration pour se rendre aux États-Unis. La section 100007 du texte de loi instaure des « Frais d'intégrité du visa » et permet au secrétaire à la Sécurité intérieure - notre ministère de l'Intérieur - d'exiger le versement « par tout étranger auquel un visa de non-immigrant est délivré » d'au moins 250 dollars (214 euros au cours actuel) ou tout montant supérieur que le secrétaire fixera par voie réglementaire. En principe, la plupart des citoyens français n'auront pas à verser cette somme car ils bénéficient du programme d'exemption de visa (VWP) qui permet aux ressortissants français d'accéder au territoire américain sans visa, et réciproquement pour les ressortissants américains venant en France. Les Français doivent simplement obtenir une autorisation électronique de voyage (ESTA, valable deux ans, et facturée 21 dollars, soit 18 euros environ), soit en transit, soit pour un séjour touristique ou d'affaires de trois mois maximum. En revanche un séjour plus long - pour une année scolaire ou universitaire par exemple - nécessite un visa, et possiblement ces frais. De même, les personnes qui arrivent aux États-Unis par avion ou bateau privés, même pour moins de 90 jours, seront tenues de l'obtenir. La mesure, qui n'est pas encore entrée en vigueur, était passée inaperçue jusqu'à ce que l'US Travel association s'inquiète « des défis importants et des questions sans réponse concernant la mise en œuvre » de ces « frais d'intégrité du visa ». La question de leur perception est assez simple : c'est le Département d'État qui encaissera la somme. Mais la question se pose de savoir qui remboursera les voyageurs, et comment. Car si les frais d'intégrité du visa « ne peuvent faire l'objet d'aucune exonération ou réduction », ils pourront être partiellement remboursés, à condition d'en faire la demande, de prouver qu'on n'a pas occupé un emploi non autorisé et qu'on n'a pas cherché à prolonger son séjour au-delà de la période autorisée par le visa. En théorie. En pratique, le remboursement sera très compliqué. C'est en tout cas l'avis qu'a émis le Congressional Budget Office américain , une agence fédérale non partisane qui donne son avis sur le coût des lois votées au Congrès : « le Département d'État aura besoin de plusieurs années pour mettre en place un processus de remboursement. Sur cette base, le CBO estime que l'adoption de cette disposition augmenterait les recettes et réduirait le déficit de 28,9 milliards de dollars sur la période 2025-2034 » , au cours de laquelle « environ 120 millions de visas de non-immigrant » seront demandés. Sollicité par les médias américains, un porte-parole du Département d'État a déclaré que cette importante taxe avait été établie « pour soutenir les priorités de l'administration visant à renforcer l'application des lois sur l'immigration, à dissuader les dépassements de visa et à financer la sécurité des frontières ». L'an dernier, les États-Unis ont délivré près de 11 millions de visas de non-immigrant, selon les chiffres du Département d'État.

Procès Bolsonaro: Washington révoque le visa du juge brésilien chargé du dossier
Procès Bolsonaro: Washington révoque le visa du juge brésilien chargé du dossier

Le Figaro

time4 days ago

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Procès Bolsonaro: Washington révoque le visa du juge brésilien chargé du dossier

Les États-Unis ont révoqué le visa du juge brésilien qui conduit le procès de Jair Bolsonaro, après sa décision de faire porter à l'ex-président brésilien d'extrême droite un bracelet électronique, a annoncé le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, vendredi 18 juillet. «La chasse aux sorcières politique du juge de la Cour suprême brésilienne Alexandre de Moraes contre Jair Bolsonaro a créé une persécution et une censure telles qu'elles ne violent pas seulement les droits fondamentaux des Brésiliens, mais s'étendent au-delà des côtes brésiliennes pour atteindre les Américains», a estimé le secrétaire d'État américain dans un communiqué.

Privé de visa par la République tchèque, le Mali doit renoncer à la Coupe du monde féminine U19
Privé de visa par la République tchèque, le Mali doit renoncer à la Coupe du monde féminine U19

L'Équipe

time13-07-2025

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Privé de visa par la République tchèque, le Mali doit renoncer à la Coupe du monde féminine U19

Les Maliennes, qui devaient affronter la France ce dimanche dans le cadre de la Coupe du monde féminine de basket des moins de 19 ans, ont dû renoncer à la compétition. Le pays hôte, la République tchèque, a refusé de leur accorder un visa. Les basketteuses de l'équipe nationale malienne de moins de 19 ans devaient participer à la Coupe du monde de leur catégorie d'âge, du 12 au 20 juillet dans la ville de Brno, dans le sud-est de la République tchèque. Un match face à l'équipe de France devait d'ailleurs avoir lieu en phase de groupes, ce dimanche, mais faute de visa accordé par le pays hôte, les jeunes maliennes ont dû renoncer au tournoi. « Ce refus des autorités tchèques constitue une manoeuvre inédite de perfidie consistant à exclure le Mali de la compétition », a vivement dénoncé dans un communiqué le ministère des Sports malien, qui a ajouté avoir saisi la Fédération internationale de basketball (FIBA). La République tchèque a fermé son ambassade à Bamako en 2022, en raison de « la dégradation de la situation au Mali et de l'éloignement de ce pays de l'Europe » et de son rapprochement avec la Russie et les paramilitaires russes de Wagner. Faute d'ambassade tchèque dans sa capitale, le ministère malien des Sports avait « entrepris à temps les démarches administratives de délivrance des visas, aussi bien auprès de l'ambassade de la République tchèque à Dakar que de l'ambassade d'Espagne à Bamako, agissant en tant que relais de visas Schengen, précise-t-il dans le communiqué. Malgré ces dispositions prises, les autorités de la République tchèque (...) ont refusé d'accorder les visas aux basketteuses maliennes, championnes d'Afrique. » Le Mali avait terminé 4e de la Coupe du monde féminine U19 en 2021, et 5e en 2023. Dirigé par une junte militaire souverainiste arrivée au pouvoir à la suite de deux coups d'État successifs en 2020 et 2021, le pays a par la suite tourné le dos à la France et plusieurs de ses partenaires européens pour se tourner vers la Russie et sa société de sécurité privée Wagner, devenue Africa Corps en mai.

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