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Saint-Maur : six hommes écroués après le home-jacking d'une joaillière de la place Vendôme
Saint-Maur : six hommes écroués après le home-jacking d'une joaillière de la place Vendôme

Le Parisien

time13 hours ago

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Saint-Maur : six hommes écroués après le home-jacking d'une joaillière de la place Vendôme

Un violent home-jacking sous les yeux de trois enfants. En janvier, une joaillière de la place Vendôme à Paris (Ie) et sa famille ont été attaquées à leur domicile de Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne). Après six mois d'enquête, les policiers de la Brigade de répression du banditisme (BRB) de Paris viennent de démanteler l'équipe « parfaitement structurée » qui serait derrière ce coup d'un préjudice de plus d'un million d'euros, d'après les victimes. Placés en garde entre lundi et mercredi, six jeunes hommes ont tous été mis en examen pour vol et séquestration en bande organisée et association de malfaiteurs criminelle. Le parquet de Créteil, sollicité, indique avoir pris des « réquisitions de placement en détention provisoire ». Un seul a finalement échappé à la prison et a été placé sous contrôle judiciaire. Il est environ 5 heures du matin, ce 7 janvier 2025, lorsque plusieurs hommes encagoulés, gantés et armés, de couteau et tournevis, s'introduisent dans le pavillon cossu de la joaillière, situé sur les bords de Marne, à Saint-Maur-des-Fossés. La femme est menacée et frappée, son conjoint roué de coups de poing au visage. La maison est entièrement fouillée. Les agresseurs prennent la fuite avec des bijoux, des effets de luxe et des espèces. Ils s'emparent aussi d'une luxueuse berline. Les victimes ont estimé le préjudice à plus d'un million d'euros. Mais l'un des home-jackers a commis une erreur. Son ADN a été retrouvé sur une valise et sur l'un des boutons de réglage d'un siège du véhicule volé, retrouvé peu de temps après les faits. Younesse M., 22 ans, serait le logisticien de l'équipe. « Oiseau de nuit », au train de vie décorrélé de ses ressources officielles, inexistantes, il multipliait les allers-retours à Dubaï. Devant les policiers, il a gardé le silence. Son avocat, contacté, n'a pas donné suite. Après un impressionnant travail sur la téléphonie, les enquêteurs sont parvenus à identifier son chef présumé. Voyou aguerri et prudent, Boubacar D., 28 ans, pourrait être, d'après les limiers de la BRB, l'organisateur du casse, ou un intermédiaire du commanditaire. Il aurait replongé quelques semaines seulement après sa sortie de prison. Lui, conteste son implication. Ses avocats, Mes Émilie Bérengier et Ugo Valls, n'ont pas souhaité faire de déclaration. Les quatre autres suspects, simples « soldats » du projet criminel, sont de jeunes majeurs originaires de Meaux (Seine-et-Marne). Trois d'entre eux auraient participé à un aller-retour d'une nuit en Belgique juste après les faits. En vue d'écouler le butin ? Leurs avocats, Mes Antoine Ory, Ann Kennedy, Hemza El Moujaddid et Thierry Benkemoun n'ont pas souhaité faire de déclaration. Les investigations se poursuivent.

« Je suis un voleur, je ne donne pas d'instruction » : pickpockets oui, mais en bande désorganisée
« Je suis un voleur, je ne donne pas d'instruction » : pickpockets oui, mais en bande désorganisée

Le Parisien

time17 hours ago

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« Je suis un voleur, je ne donne pas d'instruction » : pickpockets oui, mais en bande désorganisée

« Je suis un simple voleur. » Lamine K., 35 ans, jean bleu clair et tee-shirt blanc, le martèle au tribunal correctionnel de Paris. Comme ses sept co-prévenus, depuis l'ouverture du procès, le mercredi 2 juillet. Les silhouettes défilent et débitent la même ligne de défense : « Je volais seul ou parfois à plusieurs mais il n'y a pas d'organisation, ni de hiérarchie. » Tous sont soupçonnés d'être les maillons d'un réseau de pickpockets qui sévissait dans les transports en commun parisiens , démantelé en juin 2024. Et tous ont bien compris que si l'escroquerie en bande organisée, pour laquelle ils sont renvoyés, est retenue, leur avenir sera beaucoup plus sombre que si le tribunal les condamne seulement pour vol. En jeu : le quantum de la peine et leur présence, pour la plupart, sur le territoire français. Tous sont originaires de la Côte d'Ivoire et certains sont en situation irrégulière.

Braquage avec arme, coup de crosse... À Nantes, la nuit cauchemardesque de deux automobilistes agressés par un étrange duo
Braquage avec arme, coup de crosse... À Nantes, la nuit cauchemardesque de deux automobilistes agressés par un étrange duo

Le Figaro

timea day ago

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Braquage avec arme, coup de crosse... À Nantes, la nuit cauchemardesque de deux automobilistes agressés par un étrange duo

Dans la nuit de dimanche à lundi, à quelques heures d'intervalle, ils ont été victimes d'un duo très violent. Le plus jeune s'est fait voler sa voiture. Les agresseurs ont été retrouvés le lendemain par la police. Un apprenti cuisinier de 18 ans et un coiffeur de 20 ans ont été arrêtés par la police à Nantes, après avoir fait vivre un calvaire à deux conducteurs dans la nuit de dimanche à lundi. L'enquête a été résolue par la brigade d'atteintes aux biens. Grâce à la vidéosurveillance et aux témoignages, les enquêteurs ont pu interpeller les jeunes malfrats en milieu de semaine. La première victime est un mineur de 17 ans, rentrant d'une promenade sur les bords de l'Erdre. En pleine nuit, ce jeune conducteur d'une Peugeot 208, accompagné de deux amis à bord, sent qu'il est suivi mais ne s'inquiète pas particulièrement. Après avoir déposé ces derniers, la DS3 qui le colle depuis une vingtaine de minutes le percute rue du Port des Charrettes, quartier Saint-Joseph-de-Porterie. L'automobiliste sort de la voiture. «Le conducteur de la DS3 lui assène des coups de pied et des coups de poing. Un passager sort à son tour et le braque avec une arme de poing», confie au Figaro une source policière. Pendant que l'adolescent, en état de choc, tente de se mettre à l'abri, les agresseurs lui volent son véhicule. Publicité Arrêtés après une séance de sport Quelques heures plus tard, à 3h30, le duo fait de nouveau rage. Alors qu'un chauffeur VTC de 45 ans s'apprête à ranger des affaires dans le coffre de sa Toyota, place de la petite Hollande, dans le centre-ville, il reçoit brutalement des coups de crosse derrière la tête et des coups de poing de personnes au visage dissimulé. Recroquevillé, il tente de se défendre et parvient à conserver la clé de sa voiture. Alertée, la police commence une enquête et fait rapidement le lien entre les deux agressions. La Peugeot 208 est repérée sur les caméras de surveillance, près du lieu de l'agression du chauffeur VTC. Ce véhicule est donc placé sous surveillance. Mardi soir, lorsqu'elle se déplace, un équipage se rend sur place pour suivre les individus. Les intéressés sont interpellés à la sortie de leur séance de sport, quartier de la Beaujoire. Lors des auditions, le jeune homme d'une vingtaine d'années a nié toute responsabilité, tandis que celui de 18 ans, un Tunisien ancien mineur isolé, «a fini par reconnaître les faits», indique un proche de l'enquête. Les mis en cause ont été conduits en garde à vue puis placés sous contrôle judiciaire, en attendant leur comparution immédiate prévue ce vendredi après-midi devant le tribunal correctionnel de Nantes. L'un était connu des autorités pour un défaut d'assurance, l'autre pour une histoire de rixe. Lors des perquisitions à domicile, les enquêteurs sont tombés sur un fusil à pompe. L'arme utilisée lors de ces deux agressions s'est toutefois révélée factice. Les deux victimes, choquées, ont reçu cinq et 10 jours d'ITT.

Lauren Sánchez, l'épouse de Jeff Bezos, s'est fait voler l'une de ses 27 robes à Venise
Lauren Sánchez, l'épouse de Jeff Bezos, s'est fait voler l'une de ses 27 robes à Venise

Le Figaro

timea day ago

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Lauren Sánchez, l'épouse de Jeff Bezos, s'est fait voler l'une de ses 27 robes à Venise

Selon le Corriere della Sera, une mystérieuse invitée a réussi à dérober l'une des nombreuses tenues de Lauren Sánchez lors de son mariage à Venise. Elle portait une tenue élégante, conforme aux standards de la soirée. Peut-être trop conforme ? Une femme non identifiée a franchi sans encombre les détecteurs de métaux et la double garde du mariage le plus surveillé de l'année, vendredi 27 juin sur l'île de San Giorgio Maggiore à Venise. Son butin ? L'une des 27 robes que Lauren Sánchez devait porter lors des festivités prévues pour son union avec Jeff Bezos, le cofondateur d'Amazon. D'après le Corriere della Sera, la mystérieuse voleuse «semblait très élégante» et «est passée inaperçue» parmi les 200 invités triés sur le volet. Ce n'est qu'après la disparition de la robe que les soupçons se sont portés sur elle. «On s'est souvenu d'elle lorsque l'une des 27 robes que Lauren Sánchez Bezos devait porter a disparu. Volée», rapporte le quotidien italien. «Aucune plainte déposée» L'intruse a finalement été interceptée et contrôlée par les forces de l'ordre. Problème : elle n'avait rien sur elle. Les autorités l'ont donc relâchée. «Aucune plainte n'a été déposée, aucun document écrit n'existe, on ignore qui elle est», précise encore le Corriere della Sera. Pour le moment, la police italienne n'a pas confirmé ni démenti l'incident. Sans plainte officielle, aucune enquête ne sera ouverte. Cet incident a eu lieu malgré un dispositif de sécurité digne d'un sommet international. D'anciens Marines américains et de nombreux agents du Secret Service veillaient sur les festivités. Publicité Ce vol n'est pas le seul accroc du mariage des Bezos. Le Corriere della Sera révèle qu'une robe historique Dolce & Gabbana «a été déchirée et a pris feu» lors d'une des fêtes. Le modèle était porté soit par Ivanka Trump, soit par la mariée elle-même. Mais avec 26 autres robes en réserve, la nouvelle Madame Bezos avait de quoi faire face à l'imprévu.

Coup de feu à l'extérieur de la Maison Simons sur la rue Sainte-Catherine
Coup de feu à l'extérieur de la Maison Simons sur la rue Sainte-Catherine

La Presse

time2 days ago

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Coup de feu à l'extérieur de la Maison Simons sur la rue Sainte-Catherine

Le magasin Maison Simons sur la rue Sainte-Catherine, à Montréal Coup de feu à l'extérieur de la Maison Simons sur la rue Sainte-Catherine Un homme a ouvert le feu jeudi avant-midi à l'extérieur du magasin Maison Simons, sur la rue Sainte-Catherine à Montréal. Personne n'a été blessé. Aurelie Lachapelle La Presse Les policiers du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) ont reçu un appel à 11 h 45 concernant un coup de feu. Selon leurs informations, un conflit aurait éclaté entre un homme soupçonné de vol dans le magasin et un employé du commerce. L'homme aurait ensuite sorti une arme, tiré une fois et fuit à pied. L'évènement s'est produit près de la porte du magasin donnant sur la rue Metcalfe, selon des employés du magasin qui se sont adressés à La Presse sous le couvert de l'anonymat, n'étant pas autorisés à commenter l'évènement. D'autres employés ignoraient totalement que des coups de feu avaient été tirés près de leur lieu de travail, en après-midi. Au moins une douille a été trouvée par terre. Le suspect n'a pas été arrêté pour l'instant. Un périmètre a été installé autour de la scène en début d'après-midi. Vers 15 h, les policiers avaient quitté les lieux.

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