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Volley - Ligue des Nations : Les Bleues si proches de l'exploit
Volley - Ligue des Nations : Les Bleues si proches de l'exploit

L'Équipe

time4 days ago

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Volley - Ligue des Nations : Les Bleues si proches de l'exploit

Pour leur deuxième match en moins de 24 heures au Japon, l'équipe de France de volley affrontait l'ogre brésilien, médaillé de bronze olympique à Paris. Les coéquipières d'une Héléna Cazaute exceptionnelle en attaque ont mené 2 sets à 1, étaient devant dans le 4ème set, avant que l'expérience de la Seleçao ne fasse la différence jusqu'au tie-break. Les Bleues continuent d'apprendre mais se rapproche du très haut niveau mondial. À voir sur L'Équipe Le replay de France - Bulgarie Le replay de France - Cuba Les Bleus s'imposent face à Cuba Le replay de France - Cuba (set 4) Le replay de France - Cuba (set 3) Le replay de France - Cuba (set 2) Le replay de France - Cuba (set 1) Le replay de France - Bulgarie (Set 4) Le replay de France - Bulgarie (Set 3) Le replay de France - Bulgarie (Set 2) Le replay de France - Bulgarie (Set 1) Full Replay de France - Brésil Full Replay de France - Brésil Le replay de France - Brésil (Set 5) Le replay de France - Brésil (Set 4)

Andrea Giani, la légende dorée du sélectionneur des Bleus
Andrea Giani, la légende dorée du sélectionneur des Bleus

L'Équipe

time5 days ago

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Andrea Giani, la légende dorée du sélectionneur des Bleus

L'équipe de France revient au Futuroscope de Poitiers ce vendredi soir pour affronter Cuba en amical (20h30), là où avait débuté son sélectionneur Andrea Giani il y a un peu plus de trois ans. Avec l'or olympique, la légende du volley italien a acquis une dimension internationale en tant que technicien. Le 27 mai 2022, Andrea Giani dirigeait son premier match avec les Bleus, tout frais champions olympiques, à l'Arena du Futuroscope de Poitiers (victoire 3-0 face aux Pays-Bas en amical). Trois ans et quarante-cinq jours plus tard, le sélectionneur italien s'apprête, au même endroit, à mener l'équipe de France pour la 80e fois, ce vendredi soir face à Cuba, un match amical entre les deuxième et troisième étapes de Ligue des nations (VNL). Entretemps, Giangio, son surnom en Italie, a complété un palmarès déjà bien garni, avec deux victoires en VNL (2022 et 2024), et surtout l'or olympique, l'été dernier à Paris. Le seul titre manquant à l'ancien central des Fenomeni, génération dorée des années 1990, devenu ce 10 août 2024 le volleyeur italien le plus titré, carrières de joueur et d'entraîneur confondues. Au moment de conter la finale entre la France et la Pologne, et les larmes du sélectionneur des Bleus, les médias italiens n'ont pas manqué de rappeler la blessure des Jeux Olympiques d'Atlanta en 1996, et cette cruelle défaite en finale 15-17 au 5e set (les sets se jouaient alors en 15 points) face aux Pays-Bas, laissant Giani et ses partenaires inconsolables. « Il nous a dit après la finale qu'il était le premier Italien champion olympique dans le monde du volley, ça lui tenait à coeur », se souvient Benjamin Toniutti, le capitaine des Bleus. « C'est incroyable le respect que les gens ont pour lui » Paolo Perrone, statisticien de Milan et des Bleus Peu importe si les Italiennes ont pris l'or le lendemain, une première également, et si quelques grincheux, en Italie, ont reproché à Giani d'avoir battu son pays en demi-finale du tournoi olympique. Ou si Modène, le club qui l'avait mis à la porte un an auparavant, ne félicitait sur ses réseaux sociaux que Roberto Ciamarra, son adjoint. Giangio reste une légende. « J'ai revu la finale sur la télévision italienne avec les commentaires de l'ancien central Paolo Cozzi, qui avait disputé la finale des JO en 2004 avec lui, raconte Paolo Perrone, statisticien des Bleus. Il disait qu'il était super content pour lui, ça lui faisait plaisir pour tout ce qu'il a fait pour le volley italien. Ses résultats, son attitude... Il mérite cette médaille. » Au terme de sa carrière de joueur, le central aux 474 sélections (un record), qui a également joué réceptionneur-attaquant et pointu, comptait deux médailles d'argent olympiques (1996 et 2004), trois titres de champion du monde consécutifs (1990, 1994, 1998), autant en Europe (1993, 1995, 1999, 2003), et tout ce que l'on peut compter de victoires en club. L'entraîneur a notamment ajouté deux Coupes de la CEV (C2), avec Modène (2008) et Vérone (2016), le sélectionneur deux médailles d'argent européennes, avec la Slovénie en 2015 (défaite en finale face à la France), puis avec l'Allemagne (2017), échouant sur le fil à qualifier les Allemands pour les JO de Tokyo en janvier 2020... face à Earvin Ngapeth et ses coéquipiers. Suffisant pour que l'ancien central, connu du grand public italien pour ses spots publicitaires pour des cônes glacés dans les années 1990, reste vénéré dans son pays. « J'ai fait deux saisons avec lui à Milan (2017-2019), c'est incroyable le respect que les gens ont pour lui, raconte Paolo Perrone, statisticien de l'Allianz Milano depuis neuf ans. Quand on s'arrêtait à l'Autogrill, ou on allait au supermarché ensemble, on lui demandait toujours des photos... Là je ne sais pas s'il touche plus de monde en Italie, parce qu'il est parti en Pologne (à Kedzierzyn-Kozle). » Le titre olympique aura finalement assis la notoriété internationale d'Andrea Giani. « Il est maintenant un top coach au niveau mondial, le titre olympique c'est la consécration en tant qu'entraîneur, juge Alessandro Orefice, l'entraîneur italien des doubles championnes de France de Levallois-Paris. Il a laissé un très bon souvenir en Slovénie (Orefice est également le sélectionneur de l'équipe féminine slovène), il connaît très bien le volley, et c'est un bon manager, qui essaie toujours de trouver des solutions même quand les conditions de travail ne sont pas optimales. » Même son de cloche du côté de la Pologne, l'autre pays du volley en Europe. « Je parle avec beaucoup de joueurs, c'est une personne charismatique, très appréciée dans son club, où il a fait du bon travail (5e du Championnat) », confirme Toniutti, passeur de Jastrzebski. Rappelant malicieusement qu'il manque un titre de champion du monde à Giani le sélectionneur. Comme ses troupes, qui chasseront aussi la consécration au Mondial philippin en fin d'été (12-28 septembre).

France - Cuba : à quelle heure et sur quelle chaîne TV voir le match de volley amical des Bleus à Poitiers ?
France - Cuba : à quelle heure et sur quelle chaîne TV voir le match de volley amical des Bleus à Poitiers ?

Le Parisien

time5 days ago

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France - Cuba : à quelle heure et sur quelle chaîne TV voir le match de volley amical des Bleus à Poitiers ?

Ils ont remisé leurs costumes, rangé leurs distinctions, et ont remis le bleu de chauffe ! Après avoir été décorés lundi à l'Élysée par le président Emmanuel Macron pour le titre olympique aux Jeux de Paris , la quasi-totalité des champions olympiques de volley seront présents, ce vendredi 11 juillet dans Arena Futuroscope près de Poitiers, pour affronter Cuba lors d'un match amical. L'occasion pour les héros des Jeux de retrouver la ferveur du public français. Des médaillés d'or de l'été dernier, seuls Trévor Clévenot et Théo Faure avaient participé à la rencontre contre la République tchèque le 28 mai à Tours (3-0), qui lançait la saison internationale de l'équipe de France avec la Ligue des nations (VNL) puis le Mondial (du 12 au 28 septembre). La Fédération française a d'ailleurs prévu une animation à destination du public de l'Arena Futuroscope, dont Antoine Brizard , natif de Poitiers, a « hâte » de « sentir la ferveur » de nouveau. Earvin Ngapeth (genou, forfait pour l'ensemble de la VNL), Quentin Jouffroy, tous les deux en rééducation à Capbreton (Landes), de Kévin Tillie, sont les seuls absents de la soirée. Le coup d'envoi du match amical France-Cuba est prévu à 20h30 ce vendredi 11 juillet. La rencontre sera à suivre en direct à la télévision sur Sport en France et le live 1 de L'Équipe.

Maintien déjà assuré en Ligue des nations, défaite serrée contre le grand Brésil et Mondial en approche : jusqu'où peuvent grimper les Bleues ?
Maintien déjà assuré en Ligue des nations, défaite serrée contre le grand Brésil et Mondial en approche : jusqu'où peuvent grimper les Bleues ?

L'Équipe

time6 days ago

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Maintien déjà assuré en Ligue des nations, défaite serrée contre le grand Brésil et Mondial en approche : jusqu'où peuvent grimper les Bleues ?

En chutant face au grand Brésil au tie-break, jeudi en Ligue des nations (3-2), les Bleues ont confirmé leur progression dans la hiérarchie mondiale et assuré leur maintien parmi le gotha. De quoi afficher des ambitions avant le Mondial (22 août - 7 septembre). Le modèle est français. Et masculin. Double championne olympique en 2021 et 2024 après une décennie d'ascension dans la hiérarchie mondiale, la génération Ngapeth-Grebennikov-Toniutti sert aujourd'hui de miroir à l'équipe de France femmes. Enfant négligé des sports collectifs tricolores, dans les bas-fonds des classements en 2018, elle a sorti la tête de l'eau entre 2020 et 2022 en exploitant la dynamique des Jeux de Paris 2024 et s'est installée cet été dans le gratin, un peu à l'exemple des hommes au début des années 2010. « Ce que la France a fait depuis dix ans avec les hommes est la voie à suivre pour les femmes, d'autant plus qu'elles étaient l'équipe la plus jeune des JO (trois défaites, 3-0 face à la Serbie, la Chine et les USA) », soutenait le nouveau sélectionneur, l'Espagnol Cesar Hernandez Gonzales, en mai lors de sa prise de fonctions à la place du Belge Emile Rousseaux, artisan de la qualification en Ligue des nations (VNL) l'an dernier, la première du volley féminin français. Après une année 2024 d'apprentissage - deux succès pour dix défaites, la plupart très sèches -, les Bleues ne baissent plus le regard cette année et jouent désormais à armes presque égales avec les gros bras du circuit international. Après des succès face aux Pays-Bas (3-0, le 20 juin) et la Serbie chez elle (3-2, le 21), l'équipe de France a poussé deux médaillées olympiques et pensionnaires des podiums mondiaux, les États-Unis le 22 juin à Belgrade et, jeudi à Chiba (Japon), le grand Brésil aux cinq sets. « Qui aurait pensé que nous pousserions le Brésil au tie-break ? Je suis fière de mon équipe qui a combattu jusqu'au bout » Héléna Cazaute, capitaine des Bleues De vraies performances, même sans la cerise de la victoire, qui maintiennent les Bleues en Ligue des nations, une compétition annuelle indispensable pour progresser au contact des meilleures. Le point pris jeudi lors d'un marathon de 2h38 face aux Brésiliennes au grand complet, couplé à la défaite (3-0) de la Corée du Sud face au Japon, assure aux Françaises un nouveau bail en VNL. « Qui aurait pensé que nous pousserions le Brésil au tie-break ? Je suis fière de mon équipe qui a combattu jusqu'au bout », souriait la capitaine Héléna Cazaute, éblouissante de leadership et d'abattage jeudi, vingt-quatre heures après un match sans face au Japon (3-0), avec 30 points après quatre sets (33 au total) et une série de sept services d'affilée (pour deux aces) qui ont permis de décrocher « la Seleçao », double championne olympique (2008, 2012), dans le troisième set (25-17). Des graines pour le Mondial cet été « On loupe cinq minutes sur 2h30, en début de tie-break, on laisse trois points qu'on traîne tout du long », regrettait l'assistant-coach Félix André après coup. Dans le set décisif, la star Gabi et ses partenaires ont élevé leur niveau, pas les Françaises. « On souffre encore de ce manque d'habitudes du très haut niveau. Mais on apprend vite et on mesure les progrès, même si on aimerait aller encore plus vite. » Alors que les espoirs de qualification au Final 8 de la VNL restaient minces, jeudi, les Bleues ont semé de belles graines pour le Mondial, du 22 août au 7 septembre - le premier de la sélection féminine depuis... 1974, déjà en Thaïlande -, où elles auront pour objectif de sortir du premier tour, dans une poule composée de Porto Rico, de la Grèce et... du Brésil. « On espère que le match de Chiba laissera une trace dans leurs têtes », glisse André.

Les Bleues s'inclinent face au Japon en Ligue des nations
Les Bleues s'inclinent face au Japon en Ligue des nations

L'Équipe

time7 days ago

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Les Bleues s'inclinent face au Japon en Ligue des nations

L'équipe de France a cédé en trois sets face aux Japonaises, chez elles à Chiba, ce mercredi en Ligue des nations, après avoir notamment largement mené le premier. Pas de grosse performance pour les Bleues, battues 3-0 (23-25, 16-25, 19-25) par le Japon devant plus de 6000 spectateurs à Chiba, dans la baie de Tokyo, ce mercredi en Ligue des nations. Face à la nation 5e mondiale, l'équipe de France a longuement mené le premier set, avant de céder sur les derniers points. La phase finale s'éloigne mais est encore à la portée des partenaires d'Iman Ndiaye et Fatoumata Fanguedou (4 blocks), meilleures marqueuses des Bleues avec 11 points. Les Françaises, 11es au classement de la compétition à l'entame de cette dernière étape avant le Final 8 (23-27 juillet à Lodz, en Pologne), sont parfaitement entrées dans leur match, tandis que les joueuses du Turc Ferhat Akbas, 5es, semblaient timorées par leur entrée en matière à domicile. Les Bleues menaient 5-0, puis sont parvenues à contenir le retour des partenaires de Yoshino Sato (19 points), sur une série de service de Yukiko Wada (9), pour poursuivre la course en tête. Deux challenges opportunément demandés par Cesar Hernandez leur ont permis de rétablir le score pour mener 20-16. Les Japonaises ont égalisé sur une attaque d'Iman Ndiaye qui a frôlé la mire (21-21), puis a conclu en emportant les deux derniers points, grâce à une attaque touchant la bande du filet, et un contre sur une attaque de la capitaine Héléna Cazaute (4 points en attaque). « On a commencé fort, on a eu des opportunités, et gagner le premier set aurait tout changé. On va utiliser cette frustration sur les matches à venir » Iman Ndiaye Touchée, l'équipe de France s'est trouvée dominée dans le deuxième set, les Japonaises trouvant parfaitement les mains des blockeuses à l'attaque, leur contre lisant aussi bien les attaques bleues. Entrée à la place de Cazaute, Amélie Rotar (5 points) a apporté un peu de hauteur à l'attaque, disputant l'intégralité du troisième acte en compagnie de Nina Stojiljkovic, qui remplaçait Enora Danard-Selosse à la passe. Amandine Giardino, habituelle libéro, a fait quelques apparitions en réception, et Lucille Gicquel (2 points) a secondé Ndiaye en toute fin de rencontre. Sans pouvoir inverser la tendance, malgré une belle résistance jusqu'aux deux-tiers du troisième set (15-16, 16-21). « On a commencé fort, on a eu des opportunités, et gagner le premier set aurait tout changé, a admis Ndiaye au micro de Volleyballworld. On va utiliser cette frustration sur les matches à venir. » Les Françaises ont désormais rendez-vous avec le Brésil, co-leader du classement avec la Pologne et L'Italie, dès jeudi (8h30 heure française, en direct sur L'Équipe live), avant d'affronter la Bulgarie vendredi (8h30), et la Corée du Sud dimanche (4 heures). Avec trois victoires et désormais 6 défaites, elles devront assurer face aux équipes à leur portée (Bulgarie et Corée) pour espérer se qualifier pour le Final 8.

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