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L'Université Columbia accepte de payer 221 millions
L'Université Columbia accepte de payer 221 millions

La Presse

time6 days ago

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L'Université Columbia accepte de payer 221 millions

(New York) L'université américaine Columbia a annoncé mercredi un accord de 221 millions de dollars « pour mettre fin aux enquêtes menées » par l'administration de Donald Trump, en guerre contre plusieurs établissements accusés de wokisme et d'avoir toléré les manifestations pour la fin du conflit à Gaza. Agence France-Presse Depuis son retour au pouvoir en janvier, le président américain n'a cessé d'accentuer les pressions sur les universités, en gelant, dans le cas de Columbia, des centaines de millions de dollars de subventions versées par l'État fédéral pour la recherche. « Columbia versera à l'État fédéral 200 millions de dollars sur trois ans », a fait savoir l'université dans un communiqué, ajoutant qu'elle payera également 21 millions de dollars à un organisme consacré à l'égalité des chances. « En vertu de l'accord conclu aujourd'hui, la grande majorité des subventions fédérales qui ont été supprimées ou suspendues en mars 2025 seront rétablies », a précisé le prestigieux établissement. « Il est important de noter que l'accord préserve l'autonomie et l'autorité de Columbia en ce qui concerne le recrutement des enseignants, les admissions et les décisions académiques », a ajouté l'université, dont les compromis avec le président ont été vivement critiqués. Fin mai, la présidente de Columbia, qui a notamment sanctionné des participants aux manifestations pour Gaza, avait été huée, lors d'une cérémonie de remise de diplômes, par des étudiants qui lui reprochent d'avoir cédé aux pressions du gouvernement. À l'opposé, Harvard s'est illustrée dans un bras de fer contre Donald Trump, contestant en justice le retrait d'un peu plus de 2,6 milliards de dollars de subventions fédérales et la révocation de sa certification SEVIS, principal système par lequel les étudiants étrangers sont autorisés à étudier aux États-Unis. Lundi, un tribunal a demandé à l'administration Trump de justifier le gel de ces subventions.

L'université Columbia, sous pression de Trump, annonce un accord financier avec le gouvernement
L'université Columbia, sous pression de Trump, annonce un accord financier avec le gouvernement

Le Figaro

time6 days ago

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L'université Columbia, sous pression de Trump, annonce un accord financier avec le gouvernement

L'université américaine Columbia a annoncé mercredi 23 juillet un accord de 221 millions de dollars «pour mettre fin aux enquêtes menées» par l'administration de Donald Trump, en guerre contre plusieurs établissements accusés de «wokisme» et d'avoir toléré les manifestations contre la guerre menée par Israël à Gaza. En vertu de l'accord, «la grande majorité des subventions fédérales qui ont été supprimées ou suspendues en mars 2025 seront rétablies», a précisé la prestigieuse université, dont les compromis avec le président américain ont été vivement critiqués par des professeurs et étudiants.

Pourquoi le nouveau « Superman » indigne les trumpistes, et cet ancien Clark Kent
Pourquoi le nouveau « Superman » indigne les trumpistes, et cet ancien Clark Kent

Le HuffPost France

time10-07-2025

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Pourquoi le nouveau « Superman » indigne les trumpistes, et cet ancien Clark Kent

CINÉMA - Il est l'un des super-héros préférés des Américains, mais pour encore combien de temps ? Comme une partie des trumpistes de son pays, l'acteur Dean Cain, connu pour avoir interprété Superman dans une série des années 1990, accuse le nouveau film réalisé par James Gunn d'être trop progressiste dans une interview pour TMZ publiée mercredi 9 juillet. « Jusqu'où le wokisme de l'industrie de Hollywood va-t-il pousser pour transformer ce personnage ? À quel point Disney va-t-il modifier sa Blanche-Neige ? Pourquoi veulent-ils changer ces personnages qui survivent à notre époque ? », lance le fidèle soutien de Donald Trump, au micro du média spécialisé dans les célébrités. À l'affiche de la série Loïs et Clark (diffusée sur M6 jusqu'en 1997), Dean Cain, aujourd'hui âgé de 58 ans, insiste : « On sait que Superman est un immigré, c'est un putain d'alien. » Ces propos ne sortent pas de nulle part, ils ont été prononcés en réponse à des explications sur le nouveau volet des aventures du super-héros données par son réalisateur au Times. Un « immigré venu d'ailleurs » « Superman, c'est l'histoire de l'Amérique », a déclaré James Gunn. Avant d'ajouter : C'est « un immigré venu d'ailleurs et qui a habité le pays. Mais pour moi, c'est surtout une histoire qui dit que la bonté humaine est une valeur de base. C'est quelque chose que nous avons perdu. » Si l'identité même des créateurs du Kryptonien au slip rouge dans les années 1930 (deux immigrés juifs des noms de Joe Shuster et Jerry Siegel) pouvait confirmer cette théorie, Dean Cain, lui, la réfute chez TMZ. « Il faut des limites, parce qu'on ne peut pas accueillir tout le monde aux États-Unis, estime-t-il. Nous ne pouvons pas avoir tout le monde, sinon la société va échouer. » Un point de vue partagé par la sphère MAGA (de Make America Great Again, le slogan trumpiste) et notamment sur la chaîne ultra-conservatrice Fox News, où l'un de ses présentateurs, le journaliste Jess Waters, a ironisé sur les nouveaux combats de Superman : « la vérité, la justice et les pronoms ». À quoi s'est aussi ajoutée une soi-disant blague sur les origines ougandaises du superhéros et une scène de sexe avec Batman et Robin. James Gunn clarifie De son côté, l'ancienne conseillère du président des États-Unis Kellyanne Conway, aussi connue pour avoir répandu une flopée de fake news, a déclaré que les gens n'allaient pas au cinéma « pour se faire sermonner et pour qu'on nous assène une idéologie ». Et de se demander si le film « sera un succès » au box-office. Si son réalisateur dit ne pas trop s'inquiéter de ce sujet dans une interview pour QG, ce dernier a par ailleurs tenu à calmer les critiques de ses détracteurs de la sphère MAGA. Interrogé par Variety lors d'une avant-première, James Gunn a rappelé que le film était fait « pour tout le monde », qu'il n'avait rien de plus à répondre à ceux qui propagent la haine. La campagne contre son film intervient alors qu'aux États-Unis, l'administration de Donald Trump mène une politique intérieure offensive en matière d'immigration, notamment. Tandis qu'un durcissement des conditions d'octroi de visas pour de nombreux pays africains a été opéré, le locataire de la Maison blanche a entre autres ordonné des descentes dans les communautés d'immigrés pour respecter un quota d'au moins 3 000 arrestations chaque jour.

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