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L'université Columbia, sous pression de Trump, annonce un accord financier avec le gouvernement

L'université Columbia, sous pression de Trump, annonce un accord financier avec le gouvernement

Le Figaro7 days ago
L'université américaine Columbia a annoncé mercredi 23 juillet un accord de 221 millions de dollars «pour mettre fin aux enquêtes menées» par l'administration de Donald Trump, en guerre contre plusieurs établissements accusés de «wokisme» et d'avoir toléré les manifestations contre la guerre menée par Israël à Gaza. En vertu de l'accord, «la grande majorité des subventions fédérales qui ont été supprimées ou suspendues en mars 2025 seront rétablies», a précisé la prestigieuse université, dont les compromis avec le président américain ont été vivement critiqués par des professeurs et étudiants.
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Affaire Epstein : les démocrates maintiennent la pression sur Trump en réclamant l'accès à des documents classifiés
Affaire Epstein : les démocrates maintiennent la pression sur Trump en réclamant l'accès à des documents classifiés

Le Parisien

time2 hours ago

  • Le Parisien

Affaire Epstein : les démocrates maintiennent la pression sur Trump en réclamant l'accès à des documents classifiés

Le chef d'État ciblé de toutes parts. Les démocrates américains maintiennent mercredi la pression sur Donald Trump dans l'affaire du délinquant sexuel Jeffrey Epstein, en invoquant une obscure procédure pour forcer le gouvernement à publier les documents d'enquête associés à ce dossier sulfureux pour le président. Donald Trump ne parvient pas à se dépêtrer de cette affaire qui est revenue au cœur du débat public depuis que son ministère de la Justice a annoncé début juillet n'avoir découvert aucun élément nouveau qui justifierait la publication de documents supplémentaires sur Epstein, mort en prison en 2019 avant son procès pour crimes sexuels. Cela a provoqué la colère d'une partie de la base trumpiste, qui reproche au président de ne pas faire toute la lumière sur sa mort, que beaucoup pensent suspecte, et sur le carnet d'adresses de cette ancienne figure de la jet-set new-yorkaise, avec laquelle lui-même entretenait une relation amicale. Depuis, l'opposition démocrate s'efforce d'utiliser cette indignation à son avantage, en appelant publiquement à la publication des documents du dossier . « Aujourd'hui, les démocrates au Sénat prennent des mesures supplémentaires pour tenter de dévoiler la vérité sur les documents Epstein », a déclaré mercredi dans l'hémicycle le chef de la minorité démocrate au Sénat, Chuck Schumer. Le sénateur new-yorkais a annoncé qu'ils invoqueraient une procédure rarement utilisée, « la règle de cinq », afin de « forcer le ministère de la Justice à publier les documents Epstein dans leur entièreté ». Cette règle prévoit que lorsque cinq sénateurs d'une certaine commission appellent l'exécutif à publier des documents d'enquête, celui-ci « doit se plier à cette demande », selon Chuck Schumer. « Nous nous attendons à ce que l'administration Trump fournisse ces documents d'ici au 15 août », a-t-il déclaré. Le ténor démocrate a ensuite affirmé lors d'un point presse au Capitole que le public américain avait le droit de savoir qui « a permis, a eu connaissance, ou a participé à l'une des opérations de trafic sexuel les plus abominables de l'Histoire ». « Donald Trump a fait campagne sur la publication du dossier Epstein. Il a rompu cette promesse », a-t-il ajouté. La semaine dernière, les élus démocrates d'une commission de la Chambre des représentants avaient approuvé, avec l'appui de membres de la majorité républicaine, l'envoi au ministère de la Justice d'une assignation à comparaître pour que leur soient transmis ces documents. Cette assignation doit encore être envoyée. Le chef républicain de la Chambre des représentants, Mike Johnson, tente pour le moment de jouer la montre sur ces différentes procédures, à la demande de la Maison Blanche. La semaine dernière, il a ainsi envoyé les élus en vacances pour tout le mois d'août avec un jour d'avance. Plusieurs élus essaient également d'obtenir une audition de la complice et ex-compagne de Jeffrey Epstein, Ghislaine Maxwell , actuellement détenue dans une prison de Floride après sa condamnation à 20 ans de réclusion pour son rôle dans le réseau de trafic sexuel du financier. L'avocat de cette ancienne mondaine new-yorkaise a déclaré que sa cliente accepterait de collaborer et de répondre à une commission parlementaire si une immunité lui était octroyée en échange. Un porte-parole de la commission a déclaré qu'une réponse serait bientôt apportée à l'avocat de Ghislaine Maxwell, mais que la commission « n'envisage pas d'accorder une immunité parlementaire pour son témoignage ». Mardi, Donald Trump avait relancé les débats sur la nature de sa relation avec Jeffrey Epstein en fournissant une nouvelle version de leur rupture dans les années 2000. À bord de l'avion présidentiel Air Force One, le milliardaire républicain a affirmé que le litige portait sur des employées de son club Mar-a-Lago, en Floride, que Jeffrey Epstein aurait « prises ». La Maison Blanche assurait jusqu'à présent que Donald Trump avait chassé le financier de son club il y a une vingtaine d'années, après en avoir été très proche, pour s'être « comporté comme un tordu ». Les médias américains évoquent pour leur part une rivalité sur l'acquisition d'une propriété immobilière en Floride.

« Mon engagement ne passera pas par un mandat  » : Kamala Harris ne sera pas candidate au poste de gouverneur de Californie en 2026
« Mon engagement ne passera pas par un mandat  » : Kamala Harris ne sera pas candidate au poste de gouverneur de Californie en 2026

Le Parisien

time3 hours ago

  • Le Parisien

« Mon engagement ne passera pas par un mandat » : Kamala Harris ne sera pas candidate au poste de gouverneur de Californie en 2026

Elle évoque une période de « crise » en cours, qui doit pousser son camp à réfléchir. Kamala Harris , candidate démocrate malheureuse à la présidentielle américaine fin 2024, ne sera pas candidate au poste de gouverneur de Californie en 2026, a-t-elle annoncé dans un communiqué mercredi. « Au cours des six derniers mois, j'ai pris le temps de réfléchir (…) au meilleur moyen pour moi de continuer à me battre pour le peuple américain et de défendre les valeurs et les idées qui me sont chères », écrit-elle. « Ces derniers mois, j'ai sérieusement réfléchi à demander au peuple californien le privilège de me représenter comme gouverneure. J'aime cet État, sa population, et ses promesses. C'est ma maison. Mais après mûre réflexion, j'ai décidé de ne pas être candidate au poste de gouverneur pour cette élection », fait savoir l'ex-vice-présidente de Joe Biden, propulsée en catastrophe dans la course à la Maison Blanche il y a un an après que le président sortant a fini par jeter l'éponge. « Pour le moment, mon leadership et mon engagement public ne passeront pas par un mandat d'élue », poursuit Kamala Harris, avant d'évoquer son intention de « partager plus de détails dans les mois à venir sur mes projets ». Une nouvelle candidature à la Maison Blanche en 2028 n'est pas exclue, selon la presse américaine. Kamala Harris a quasi complètement disparu du débat public après sa défaite face à son rival républicain Donald Trump en novembre dernier. L'ex-sénatrice et procureure générale de Californie profite de sa prise de parole pour qualifier la période actuelle de « moment de crise » et appelle à « des méthodes et une approche nouvelles » pour « conduire le changement » à l'avenir. « Fidèles à nos valeurs et à nos principes, mais sans être enchaînés au même logiciel », insiste-t-elle.

Les États-Unis sanctionnent une flotte commerciale liée aux dirigeants iraniens
Les États-Unis sanctionnent une flotte commerciale liée aux dirigeants iraniens

Le Figaro

time4 hours ago

  • Le Figaro

Les États-Unis sanctionnent une flotte commerciale liée aux dirigeants iraniens

Le gouvernement américain a annoncé mercredi une nouvelle série de sanctions contre l'Iran, visant plus de 50 personnes et entités ainsi que plus de 50 navires présumés appartenir à la flotte commerciale du fils d'un important responsable de la République islamique. Le Bureau de contrôle des avoirs étrangers (Ofac) du Trésor américain affirme dans un communiqué qu'il s'agit de ses «plus importantes sanctions liées à l'Iran depuis 2018». Elles visent une flotte de navires pétroliers et de porte-conteneurs contrôlée selon lui par Mohammad Hossein Shamkhani, fils d'Ali Shamkhani, un proche conseiller du guide suprême iranien Ali Khamenei.

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