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«C'est la moins mauvaise solution» : dans les partis, l'éternel retour des primaires présidentielles
«C'est la moins mauvaise solution» : dans les partis, l'éternel retour des primaires présidentielles

Le Figaro

time21 hours ago

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«C'est la moins mauvaise solution» : dans les partis, l'éternel retour des primaires présidentielles

Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - À deux ans de l'élection présidentielle, la liste de potentiels candidats s'allonge dans le « bloc central » comme à gauche, sans que les modalités de leurs départages n'aient pour l'instant été tranchées. Les derniers échecs avaient fini de convaincre les plus sceptiques. Loin du tremplin rêvé, les primaires mettraient des bâtons dans les roues des prétendants à la présidentielle. D'un parti à l'autre, les vainqueurs des scrutins internes n'ont jamais décroché par la suite l'Élysée - à l'exception de François Hollande en 2012. Comme si une malédiction condamnait ces compétitions. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro Politique avec Yves Thréard Mais voilà qu'à deux ans de l'élection présidentielle, la procédure mal-aimée reprend timidement des couleurs. À chaque intervention, David Lisnard en profite même pour ressortir l'idée du placard, lui qui rêve d'une grande primaire ouverte à « ceux qui veulent, même Zemmour ». L'édile LR de Cannes, dont les ambitions débordent des frontières de sa mairie, a déjà prévu de prendre des initiatives pour convaincre ses pairs. Mais le patron de Nouvelle Énergie prêche pour l'instant dans le désert. À lire aussi Guillaume Tabard : «Des imprévus des législatives 2024 aux inconnues de la présidentielle 2027» Petits pas vers l'élection présidentielle Les ténors ne voient pas vraiment d'un bon œil le retour d'une grande compétition, d'autant plus élargie aux formations…

«Le principe de responsabilité veut de ne pas changer de gouvernement tous les quinze jours», juge Dominique de Villepin
«Le principe de responsabilité veut de ne pas changer de gouvernement tous les quinze jours», juge Dominique de Villepin

Le Figaro

timea day ago

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«Le principe de responsabilité veut de ne pas changer de gouvernement tous les quinze jours», juge Dominique de Villepin

L'ancien premier ministre, potentiel candidat à l'élection présidentielle de 2027, s'est dit défavorable à une censure du gouvernement de François Bayrou. S'il avait été député, Dominique de Villepin n'aurait pas voté la motion de censure socialiste – qui s'est soldée par un nouvel échec. «Le principe de responsabilité veut de ne pas changer de gouvernement tous les quinze jours. La France souffre de cette instabilité politique», a estimé l'ancien premier ministre, invité sur France 2. «Elle souffre de ce manque de prévisibilité politique et c'est pour cela que le pays est à l'arrêt», a poursuivi le prétendant à l'élection présidentielle, qui vient de créer son parti politique, «La France humaniste», en vue de cette échéance. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro Politique avec Yves Thréard Regrettant «combien nous rognons notre identité française» et que «des principes aussi simples que la justice sociale passent à la trappe», l'ancien locataire de Matignon a enjoint de «mesurer la nécessité d'être fidèle à ce que nous sommes». «Il y a une sorte de sauve-qui-peut, de chacun pour soi très dommageable», s'est lamenté Dominique de Villepin, qui ambitionne de «redonner une perspective à la France, une fierté et surtout, une humanité», en écho au nom de sa nouvelle écurie. À lire aussi À deux ans de la présidentielle, Dominique de Villepin goûte à une popularité retrouvée et entretient le mystère Publicité Même s'il affirme ne pas avoir «d'ambition personnelle», l'ancien ministre des Affaires étrangères compte «participer» à l'élection présidentielle de 2027 et s'organise en conséquence, «dans une tradition française d'exigence, de défense des principes». Face aux interrogations sur son âge avancé – 71 ans –, Dominique de Villepin a mis en avant son «expérience» dans l'exercice du pouvoir, qu'il juge être une «nécessité absolue» : «On ne peut pas faire de la présidence de la République un stage accéléré de la formation au métier de président ! » Quand sortira-t-il du bois ? «Le moment viendra», a évacué l'ancien premier ministre, assurant qu'il précisera ses plans «dans la phase de l'élection présidentielle».

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