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TV QLED : passez à la 4K avec ce modèle à 229,99 euros qui risque la rupture de stock
TV QLED : passez à la 4K avec ce modèle à 229,99 euros qui risque la rupture de stock

Le Parisien

timea day ago

  • Le Parisien

TV QLED : passez à la 4K avec ce modèle à 229,99 euros qui risque la rupture de stock

Quand arrive l'adolescence, les enfants ressentent un besoin d'émancipation et ce désir se matérialise sous la forme de moments solitaires au cœur de leur chambre. Ils aiment aussi passer des moments entre amis, parfois autour d'un bon jeu vidéo ou d'un film. Ainsi, à l'heure du numérique, bon nombre de parents seront confrontés à l'achat d'un smartphone, d'un ordinateur ou d'une télévision. Dans les années 2000, il n'était pas rare que les soirées entre potes s'éternisent devant American Pie, Scary Movie ou Scream. Aujourd'hui, ces moments existent encore, mais les DVD et Blu-Ray ont été remplacés par les services de VOD et les jeux vidéo. Cela tombe bien, cette TV Continental Edison QLED 4K de 43 pouces répond à tous ces besoins et elle est au prix exceptionnel de 229,99 euros au lieu de 249,99 euros sur Cdiscount. Pour moins de 230 euros, cette superbe TV Continental Edison est d'une efficacité redoutable. Outre sa dalle de 43 pouces (109 centimètres) idéale pour une chambre ou un salon, cet appareil est entièrement compatible Smart Google TV. Concrètement, cela signifie que son interface, une fois connectée au réseau Wi-Fi ou câblé de la maison (l'ado peut aussi partager la connexion de son smartphone s'il a un gros forfait de datas Internet), donne accès aux services de VOD et aux applications. En un clin d'œil, on retrouve Netflix, Amazon Prime Video, YouTube, Disney +, et bien d'autres. Pour les jeux vidéo, elle offre une connectique complète avec 4 ports HDMI ainsi que 2 ports USB et supporte une résolution QLED 4K pour une immersion optimale. Nul doute qu'avec cette TV Continental Edison, vos enfants vont vous adorer ! Cliquez ici pour retrouver l'offre de Cdiscount sur la TV Continental Edison QLED 4K 43 pouces Pour une livraison express et gratuite, testez ici gratuitement Cdiscount à volonté Les meilleures offres disponibles chez Cdiscount : Offre à durée limitée et dans la limite des stocks disponibles. Voir conditions sur le site Cdiscount

13 juillet 1965 : cette date qui entérine l'émancipation des Françaises
13 juillet 1965 : cette date qui entérine l'émancipation des Françaises

Le Figaro

timea day ago

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  • Le Figaro

13 juillet 1965 : cette date qui entérine l'émancipation des Françaises

La veille du 14 juillet 1965, une autre révolution éclate : une loi autorise les Françaises à exercer une profession et à ouvrir un compte en banque sans l'accord de leur mari. Flash-back. En 1965, les femmes votent depuis vingt ans et elles ont massivement investi le monde du travail. Le Planning familial a été créé, les revendications féministes se multiplient. À la fin de l'année, les Français éliront pour la première fois le président de la République au suffrage universel direct. Le vote des femmes va compter, un droit que de Gaulle leur a accordé en 1944. Il sera bientôt candidat… Émanciper les femmes, moderniser la société s'impose. Le ministre de la Justice présente alors un projet de loi considéré comme « révolutionnaire», qui introduit l'égalité entre hommes et femmes au sein du foyer. Votée au Parlement, la loi du 13 juillet 1965 autorise les femmes mariées à exercer une profession, à ouvrir un compte bancaire et à signer des chèques sans l'autorisation de leur mari, ainsi qu'à disposer de leurs biens de manière autonome. Tout cela leur était formellement interdit par le Code civil Napoléon, en vigueur depuis 1804. Émancipation capitale L'historienne Sylvie Gautier, auteure de Les femmes, les banques et l'argent (1960-2000) (Éd. de l'Harmattan, 2024) l'assure : «Quand les épouses ouvrent leur premier compte bancaire, leur sentiment de liberté est immense.» Il se traduit en chiffres. Deux ans après la loi de 1965, les femmes représentent déjà 25 % de la clientèle, d'après les archives du Crédit Lyonnais. Cette part va encore grossir avec l'accès des Français au système bancaire : «En 1980, 77 % des Françaises détiennent un compte. La dynamique au sein des couples s'en trouve bouleversée : les femmes sont désormais parties prenantes dans les décisions financières», ajoute l'historienne. À l'origine de la loi de 2021, visant à accélérer l'égalité économique et professionnelle, la députée Marie-Pierre Rixain révèle la portée de cette loi historique : «C'est l'un des piliers du triptyque des droits des femmes, avec le droit de vote et le droit à l'IVG. Les droits économiques sont en fait le début de l'histoire, car lorsque vous n'avez pas d'autonomie professionnelle ni bancaire, vous ne pouvez pas vivre, comme l'écrivait Simone de Beauvoir, 'l'aventure d'être soi'.» Publicité Processus inachevé En 2025… beaucoup reste à faire : 23 % des Françaises ne disposent toujours pas d'un compte bancaire et 32 % n'ont pas d'autre revenu que celui de leur conjoint, dévoile un sondage Ifop 2024. Les violences économiques conjugales toucheraient 41 % des femmes (Ifop 2023). Le sujet commence à mobiliser les banques. Isabelle Loc, directrice de la banque commerciale en France BNP Paribas, témoigne : «On a sensibilisé nos conseillers bancaires et réalisé un guide pour leur permettre de déceler les signes de violences économiques, et accompagner les femmes quand c'est le cas.» Si les femmes prennent davantage en main leur éducation financière, elles sont encore trop peu nombreuses à investir : «Seules 14 % de nos clientes détiennent une assurance-vie, et 12 % un PEA, c'est deux fois moins que les hommes», souligne Isabelle Loc. Pour l'anniversaire de la loi du 13 juillet 1965, la banque propose donc à ses clientes deux offres préférentielles pour les inciter à ouvrir un compte bancaire personnel et une assurance-vie. Il reste d'autres étapes. «La priorité aujourd'hui, c'est l'individualisation de l'impôt, insiste Marie-Pierre Rixain. Quand les femmes seront des sujets fiscaux à part entière, les allocations sociales, par exemple, seront individualisées. Les employeurs, les opérateurs bancaires ne regarderont plus les femmes comme la moitié d'un couple.» C'est certain : «l'aventure d'être soi» ne fait que débuter.

Le 13 juillet 1965, les femmes mariées s'émancipaient
Le 13 juillet 1965, les femmes mariées s'émancipaient

Le Figaro

time2 days ago

  • Politics
  • Le Figaro

Le 13 juillet 1965, les femmes mariées s'émancipaient

LES ARCHIVES DU FIGARO - Il y a 60 ans, la loi réformant les régimes matrimoniaux donnait aux femmes le droit de travailler et d'ouvrir un compte en banque sans l'autorisation de leur mari. «Je ne vois pas ce que les femmes pourraient encore réclamer, sinon d'être gendarmes ou chefs d'armée», s'exclame auprès du Figaro la journaliste Ménie Grégoire. Si elle juge encore incongrue une femme gendarme, l'animatrice de radio, qui recueille la parole des femmes dans son émission «Allo Ménie», salue avec vigueur au printemps 1965 le vote par le Sénat du projet de loi réformant les régimes matrimoniaux. Adopté à l'unanimité par les députés le 27 juin, le texte sera publié le 13 juillet 1965 et entrera en vigueur en janvier de l'année suivante. «Une victoire du féminisme» pour les uns La nouvelle loi promulguée quelques mois avant l'élection du général de Gaulle au suffrage universel est en effet un pas de géant dans le chemin de l'émancipation des femmes. Elle desserre un peu plus le carcan du Code civil de 1804 qui faisait de l'épouse une mineure vis-à-vis de son conjoint. Car, si la loi du 18 février 1938 avait levé l'incapacité juridique de la femme mariée, cette dernière devait toujours demander l'autorisation de son mari pour ouvrir un compte bancaire à son nom et pour travailler. Et ce n'est pas tout. «Dans le régime légal actuel, le mari dispose de tout ce qui appartenait à sa femme avant son mariage: ses meubles, son trousseau, ses économies!... Nous sommes, en ce domaine, les femmes les plus arriérées d'Europe», précise à l'époque au Figaro Simone Majorelle, secrétaire générale du Conseil national des Femmes françaises. L'archaïsme de la situation est d'autant plus criant que les femmes célibataires, veuves ou divorcées sont libres d'administrer leurs biens à leur guise. Janine Frossard dans Le Figaro du 7 mai 1965 interroge les femmes sur le projet de loi de réforme des régimes matrimoniaux. Le Figaro Publicité La loi répare ce déséquilibre. Par un texte antérieur de 1907, les épouses avaient en réalité le droit de disposer librement de leur salaire et des biens acquis grâce à lui mais les banques, soucieuses d'éviter des recours des maris, n'appliquaient que très rarement la loi, rappelle Sabine Effosse, professeure d'histoire contemporaine à l'université Paris Nanterre dans la revue Cahiers français. «Ignorantes, le plus souvent, de leurs droits, les femmes acceptaient cet état de choses», analyse en 1965 une avocate interrogée par la journaliste Janine Frossard dans Le Figaro. Mais trois ans avant le chambardement des mœurs de mai 68, la société est mûre pour accueillir ce projet de loi porté par le garde des Sceaux du gouvernement Pompidou, Jean Foyer. Une «victoire du féminisme», s'enorgueillit le ministre. Une «réformette» pour les autres La femme mariée, désormais dotée d'un compte bancaire, peut signer des chèques, disposer de son salaire, fruit d'un travail qu'elle exerce librement sans l'autorisation de son mari. Pour les couples qui s'unissent sans contrat de mariage, ce qui représente à l'époque 75% des unions, le régime de la communauté réduite aux acquêts devient le régime légal. L'épouse gagne ainsi la gestion exclusive de ses biens propres et la cogestion des biens acquis après le mariage. «Il est important de souligner que le mari, désireux de divorcer, ne pourra plus vendre seul l'appartement qu'il habitait avec sa femme, ni mettre les meubles 'à l'ombre'», souligne dans Le Figaro une avocate. Le mari toutefois reste l'administrateur des biens communs. La réforme des régimes matrimoniaux adoptée à l'Assemblée nationale le 27 juin 1965. Le Figaro Avancée majeure pour les uns, le texte est plutôt «une réformette» pour celle qui est à l'époque députée de Seine-et-Oise, Jacqueline Thome-Patenôtre. La maire de Rambouillet a vu son amendement ainsi rédigé: «La direction de la famille est assurée d'un commun accord par les deux époux», rejeté par 328 voix contre 132. Pourtant, «seule l'abrogation du concept napoléonien du mari chef de famille est susceptible d'instaurer la véritable cogestion», note-t-elle et de regretter: «Rien n'est changé dans le domaine de l'autorité familiale: le choix de la résidence, l'éducation des enfants demeurent réservés au père...» Il faudra attendre le mois de juin 1970 pour que la loi supprime le statut de «chef de famille» du Code civil et lui substitue la notion d'autorité parentale commune au père et à la mère. Et quinze ans encore pour que soit instaurée l'égalité parfaite dans la gestion des biens communs par la loi du 23 décembre 1985.

« Carmen Curlers », la révolution bigoudis
« Carmen Curlers », la révolution bigoudis

Le Figaro

time5 days ago

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« Carmen Curlers », la révolution bigoudis

Ce récit pop et vintage d'une double émancipation pendant les Trente Glorieuses est une des belles surprises sérielles de l'été. Tirée par les cheveux ? Bien au contraire. Série danoise en deux saisons de huit et sept épisodes disponibles sur Carmen Curlers (en français, « les bigoudis de Carmen ») s'inspire d'une histoire vraie. Celle d'Arne Bybjerg Pedersen (ici renommé Axel Byvang), entrepreneur ambitieux, dont l'invention va révolutionner le quotidien de millions de femmes. L'action se déroule au Danemark au début des années 1960. Petite ville de province. Petite bourgeoisie. Petit milieu où tout le monde se connaît et où tout se sait. Des hommes campés sur leurs ergots de mâles dominants, peu importe leurs vices et leurs défaillances. Des femmes d'âges différents qui se battent dans l'ombre pour un peu d'indépendance. Une morale petite-bourgeoise qui ne tient plus qu'à un fil, ou plutôt à un cheveu… Tous sentent que le monde commence à changer. Publicité Double émancipation Mais comment aider son mari malade d'un cancer quand on n'a même pas le droit de posséder son propre compte en banque ? Et comment se sortir de la poisse dans laquelle on s'est collé au nom du progrès domestique, sans passer pour un dégénéré ? Pour répondre à l'adversité, Birthe Windfeld (Maria Rossing, vue dans Baby Fever) et Axel Byvang (Morten Hee Andersen, magnifique dans Au nom du père), chacun à leur manière, développent des trésors de pugnacité. Créée par Mette Heeno, écrite par Andreas Garfield, parmi les meilleurs scénaristes danois du moment auquel on doit Quand revient le calme et Au nom du père, Carmen Curlers raconte. Elle dit les entremises et la volonté de nuire de certains. Elle dit la résilience, la détermination, le désir d'émancipation. Elle déroule un double récit habile, construit sur les deux protagonistes, et livre une critique tendre mais objective d'une société coincée entre deux époques. « Ça fait quoi d'avoir une femme qui travaille ? » demande un voisin au mari malade… En phase avec son temps, elle est aussi pop et vintage, emprunte à la comédie musicale, aux couleurs pastel et aux belles cylindrées. Et rappelle, non sans une pointe de nostalgie, qu'au début des Trente Glorieuses, s'offrir une robe, un poste de télévision ou aller au restaurant était encore un événement. Pas question ici de s'appesantir sur le « c'était mieux avant ». Juste le constat d'un monde dont les évolutions successives ont manifestement entamé la poésie, la liberté de créer et de désirer. Alors même que les deux héros, dans leur lutte effrénée pour conquérir les femmes avec leurs bigoudis électriques, sont les artisans du monde d'aujourd'hui. On n'oublie pas non plus les origines protestantes, dont l'austérité le dispute à un rapport plutôt sain au progrès et à ses objectifs financiers. Ne dit-on pas en effet que dans un pays protestant, la monnaie s'apprécie par le travail, alors que dans un pays catholique, la monnaie se déprécie pour le travail ? Au Danemark, le luthéranisme est encore aujourd'hui religion d'État. D'une manière ou d'une autre, les productions locales s'en ressentent. Celle-ci, l'assume sans en jouer. Multiprimée au Danemark où elle a été accueillie comme un contrepoint bienvenu au « Nordic noir » dont les intrigues construites sur les disparitions d'enfants sont à la fin déprimantes, Carmen Curlers a été sacrée meilleure fiction européenne au Festival de la fiction de La Rochelle en 2023. Elle le vaut bien.

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