Dernières actualités avec #évasion
Le Parisien
2 hours ago
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Évasion près de Lyon : le fugitif et son complice mis en examen et écroués
Il s'était évadé dans un sac à linge. Arrêté lundi matin, le fugitif qui s'est échappé vendredi de la prison de Lyon-Corbas (Rhône) a été mis en examen des chefs d'évasion en bande organisée et participation à une association de malfaiteurs, tout comme son complice. A l'issue du débat devant le juge des libertés et de la détention, ils ont été placés en détention provisoire et ce, dans des maisons d'arrêt différentes et en dehors de Corbas, a indiqué ce mercredi le parquet de Lyon. gé de 20 ans et natif de Mayotte, Elyazid A s'était évadé vendredi caché dans le sac de son codétenu libérable. Il a été interpellé lundi matin à Sathonay-Camp, dans le nord de Lyon, et son co-détenu complice présumé a été arrêté plus tard dans la journée à la gare de Marseille. Vendredi, il avait « profité de la libération de son codétenu pour se dissimuler dans son paquetage et sortir » de l'établissement, avait détaillé l'administration pénitentiaire. Celle-ci a lancé une enquête interne pour « faire toute la lumière » sur les circonstances de cette évasion. Au moment de son évasion, constatée seulement samedi, il était détenu « pour meurtre en bande organisée et infraction à la législation sur les armes, dans le cadre d'une information judiciaire ouverte à la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Paris », précise le parquet. Une notice rouge avait été émise par l'organisation internationale de police Interpol. Elle permet « aux services chargés de l'application de la loi du monde entier à l'effet de localiser une personne et de procéder à son arrestation provisoire dans l'attente de son extradition, de sa remise ou d'une mesure similaire conforme au droit » Son interpellation a été réalisée par l'OCLCO (brigade de recherche des fugitifs) et la division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS) du Rhône. Un mandat de recherche avait été émis par le parquet pour « évasion en bande organisée » et participation à « une association de malfaiteurs ».
Le Parisien
2 hours ago
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Grigny : enlevé et séquestré, il échappe à ses ravisseurs en traversant le lac à la nage
Une scène qui rappelle les films épiques hollywoodiens. Un homme, enlevé et violenté par plusieurs personnes, a réussi à échapper à ses ravisseurs en traversant un lac à la nage, la semaine dernière à Grigny (Essonne) . Les suspects sont recherchés par les forces de l'ordre. C'est vendredi dernier, à la mi-journée, que les faits se sont produits. Tout commence… dans un garage automobile, le long de la RN 7 . Un jeune homme arrive devant l'enseigne, blessé au visage, les vêtements humides, l'air hagard. « Il n'avait vraiment pas l'air bien », concède un employé du garage après coup. Ce visiteur inattendu vient de vivre un cauchemar à peine croyable. Son récit fait devant les garagistes, puis face aux policiers intervenus dans la foulée, raconte une rocambolesque mésaventure arrivée plus tôt dans la journée. Selon la victime, âgée de 20 ans, tout a démarré dans le quartier de Grigny 2, où il avait rendez-vous avec une connaissance. Pour une raison qui lui est inconnue, un groupe d'individus aurait débarqué face à lui pour en découdre. Roué de coups, recevant même un coup de taser, le jeune homme aurait ensuite été placé dans un coffre de voiture, avant que ses ravisseurs ne l'enlèvent et quittent le quartier. L'équipée aurait alors pris la direction des bords des lacs de l'Essonne, à quelques minutes de là. Et là encore, la victime aurait été frappée par ses ravisseurs, délestée de ses effets personnels, notamment son téléphone. C'est juste après ce passage à tabac que le jeune homme de 20 ans aurait profité d'un moment d'inattention des ravisseurs pour prendre la fuite à pied, direction… l'un des lacs tout proche. Dans l'impasse, le fuyard le traverse à la nage, trouvant refuge de l'autre côté de la rive, le long de la Nationale 7, où il pénètre dans le commerce le plus proche : un garage. Le jeune homme est ensuite pris en charge par les sapeurs-pompiers puis hospitalisé pour recevoir des soins. Une enquête pour « enlèvement, séquestration » et « violences aggravées » a été ouverte, confiée à la DCT 91 (Division de la criminalité territoriale). Les suspects ayant participé aux faits, au nombre de quatre, sont toujours activement recherchés. Les dossiers d'enlèvement suivi de violences ne sont pas rares en Essonne. On l'a vu le mois dernier, à Juvisy-sur-Orge , lorsqu'un jeune TikTokeur spécialisé dans le trading avait été enlevé par plusieurs malfaiteurs. La victime avait été libérée deux heures plus tard.
Le Figaro
8 hours ago
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Après l'évasion rocambolesque dans un sac à linge, le détenu lyonnais et son complice présumé présentés à un juge
Les deux hommes interpellés lundi, seront présentés mercredi à un juge en vue de leur mise en examen, a annoncé le parquet de Lyon, qui va demander leur placement en détention provisoire. Retour à la case justice après quelques heures de liberté. L'homme évadé de la prison de Lyon-Corbas dans un sac à linge et son codétenu complice présumé, qui ont été interpellés lundi, seront présentés mercredi à un juge en vue de leur mise en examen, a annoncé le parquet de Lyon. Les deux hommes «seront présentés dans la journée à un magistrat instructeur» dans le cadre d'une information judiciaire ouverte pour «évasion en bande organisée» et «participation à une association de malfaiteurs», précise dans un communiqué le parquet, qui va demander leur placement en détention provisoire. L'homme de 20 ans qui s'était évadé vendredi a été interpellé lundi matin à Sathonay-Camp, dans le nord de Lyon, et son co-détenu complice présumé a été arrêté plus tard dans la journée à la gare de Marseille. Le jeune évadé, natif de Mayotte, était en détention provisoire à la maison d'arrêt de Lyon-Corbas, suspecté du «meurtre en bande organisée» d'un trafiquant de drogue et d'«infraction à la législation sur les armes», dans le cadre d'une information judiciaire ouverte à la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Paris. Publicité Évadé au nez et à la barbe des surveillants Selon le directeur de l'administration pénitentiaire, il a pu s'évader en se cachant dans un gros sac à linge emporté par son codétenu complice présumé qui était libérable. Il s'agit d'un procédé «extrêmement rare, que nous n'avons jamais connu dans cette administration», a commenté à BFMTV Sébastien Cauwel, directeur de l'administration pénitentiaire. «Ils étaient trois en cellule, l'un de ses cocellulaires était libérable vendredi matin et il a profité de la complicité de ce cocellulaire pour se cacher dans un gros sac de linge», et sortir en même temps que ce complice, aux yeux et à la barbe des surveillants, a-t-il précisé. Son absence n'a été constatée que samedi matin. À lire aussi «La vérité est imprescriptible» : 50 ans après l'assassinat du juge Renaud à Lyon, son fils demande la saisie du pôle cold-case pour percer le mystère Il y a eu «manifestement toute une série de dysfonctionnements» «graves» et «inadmissibles», a estimé M. Cauwel, précisant avoir lancé une enquête interne et l'ouverture d'une inspection de l'inspection générale de la justice demandée par le garde des Sceaux.
Le Figaro
a day ago
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Le complice du détenu évadé de la prison de Lyon dans un sac à linge a été arrêté à Marseille
Libéré en fin de peine vendredi, il avait transporté son codétenu dans son sac de linge pour lui permettre de s'évader au nez et à la barbe des gardiens. Il avait caché son compagnon de cellule dans un sac de linge pour passer les grilles de la prison. L'homme qui avait aidé un détenu à s'évader de la maison d'arrêt de Lyon-Corbas dans des conditions rocambolesques ce vendredi matin a lui aussi été interpellé, lundi soir, à Marseille. Placé en garde à vue, il doit être transféré à Lyon, ce mardi. gé de 20 ans, le détenu évadé, avait été repris quelques heures plus tôt alors qu'il sortait d'une cave à Sathonay-Camp, au nord de Lyon, par les policiers de l'Office central de lutte contre le crime organisé (OCLCO) et de la Division la criminalité organisée du Rhône (DCOS), selon le parquet de Lyon. Il avait réussi à s'évader, caché dans le sac à linge de son codétenu libérable de la prison de Lyon-Corbas. Publicité «Dysfonctionnements graves» Il s'agit d'un procédé «extrêmement rare, que nous n'avons jamais connu dans cette administration», a commenté à BFMTV Sébastien Cauwel, directeur de l'administration pénitentiaire. «Ils étaient trois en cellule, l'un de ses cocellulaires était libérable vendredi matin et il a profité de la complicité de ce cocellulaire pour se cacher dans un gros sac de linge», et sortir en même temps que ce complice, aux yeux et à la barbe des surveillants, a-t-il précisé. Son absence n'a été constatée que samedi matin. Il y a eu «manifestement toute une série de dysfonctionnements» «graves» et «inadmissibles», a estimé M. Cauwel, précisant avoir lancé une enquête interne et l'ouverture d'une inspection de l'inspection générale de la justice demandée par le garde des Sceaux. L'enquête interne devra «faire toute la lumière sur les circonstances de cette évasion» et l'administration pénitentiaire «prendra toutes les mesures disciplinaires qui s'imposent», avait indiqué samedi l'AP. Suspecté de meurtre Le détenu repris a été placé en garde à vue pour «évasion en bande organisée et participation à une association de malfaiteurs», selon le parquet. Natif de Mayotte, il se trouvait en détention provisoire à la maison d'arrêt de Lyon-Corbas, suspecté du «meurtre en bande organisée» d'un trafiquant de drogue et d'«infraction à la législation sur les armes», dans le cadre d'une information judiciaire ouverte à la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Paris. À la suite de son évasion, le détenu, qui mesure 1,70m, avait fait l'objet d'une notice rouge d'Interpol émise dimanche. Selon la fiche, consultée par l'AFP, le jeune homme est poursuivi notamment dans le cadre de l'enquête sur le meurtre de Djalal Chaabi. Ce dernier était un trafiquant de drogue abattu de plusieurs balles le 15 janvier aux Ulis (Essonne) par deux tueurs à gages, selon le Parisien. À lire aussi En cavale depuis 32 ans, un meurtrier recherché par Interpol retrouvé en Espagne par la police lyonnaise «Personne n'a été blessé» lors de son arrestation. Son codétenu complice a été interpellé à 22 heures, à Marseille donc. La maison d'arrêt de Lyon-Corbas, qui dispose de 660 places, dont 60 pour les femmes, a été mise en service en 2009. Son taux d'occupation actuel «est d'environ 170%», selon M. Cauwel. Et d'insister sur les difficultés générées par cette surpopulation pour les agents pénitentiaires.
Le HuffPost France
2 days ago
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Arrestation du codétenu du prisonnier qui s'était échappé de la prison de Lyon-Corbas dans un sac
FAITS DIVERS - Nouvelle interpellation après une évasion rocambolesque. Après l'arrestation ce lundi 14 juillet matin du détenu Elyazid A., qui avait réussi à s'évader de la prison de Lyon-Corbas caché dans un sac, son codetenu a été interpellé à 22 h, à la gare Saint-Charles de Marseille. Le complice présumé, placé en garde à vue, sera ramené sur Lyon mardi « dans la journée », a précisé le parquet. Elyazid A. aurait profité de la libération de ce fameux co-détenu pour se dissimuler dans son sac à linge. Selon les informations du Parisien, Elyazid A. avait partagé en 2022 sa cellule avec tueur à gages présumé. « Évasion en bande organisée » Elyazid A., âgé de 20 ans, a, de son côté, été cueilli vers 6 h du matin alors qu'il sortait d'une cave à Sathonay-Camp, au nord de Lyon, par les policiers de l'Office central de lutte contre le crime organisé (OCLCO) et de la Division la criminalité organisée du Rhône (DCOS), selon le parquet de Lyon. « Personne n'a été blessé » lors de son arrestation. Le détenu repris a été placé en garde à vue pour « évasion en bande organisée et participation à une association de malfaiteurs », selon le parquet. Le jeune homme, natif de Mayotte, était en détention provisoire à la maison d'arrêt de Lyon-Corbas, suspecté du « meurtre en bande organisée » d'un trafiquant de drogue et d' « infraction à la législation sur les armes », dans le cadre d'une information judiciaire ouverte à la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Paris. « Série de dysfonctionnements graves » Il a pu s'évader vendredi matin selon un procédé « extrêmement rare, que nous n'avons jamais connu dans cette administration », a commenté à BFMTV Sébastien Cauwel, directeur de l'administration pénitentiaire. « Ils étaient trois en cellule, l'un de ses cocellulaires était libérable vendredi matin et il a profité de la complicité de ce cocellulaire pour se cacher dans un gros sac de linge », et sortir en même temps que ce complice, aux yeux et à la barbe des surveillants, a-t-il précisé. C'est seulement samedi matin que son absence en cellule a été constatée. Il y a eu « manifestement toute une série de dysfonctionnements graves » et « inadmissibles », a estimé Sébastien Cauwel, précisant avoir lancé une enquête interne et l'ouverture d'une inspection de l'inspection générale de la justice demandée par le garde des Sceaux L'enquête interne devra « faire toute la lumière sur les circonstances de cette évasion » et l'administration pénitentiaire « prendra toutes les mesures disciplinaires qui s'imposent », avait indiqué samedi l'AP. La maison d'arrêt de Lyon-Corbas, qui dispose de 660 places, dont 60 pour les femmes, a été mise en service en 2009. Son taux d'occupation actuel « est d'environ 170% et donc ça rend les conditions de travail de nos agents plus compliquées », selon Sébastien Cauwel.
