Dernières actualités avec #RN


Le Figaro
a day ago
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Budget 2026 : François Bayrou va dévoiler son plan pour redresser les finances publiques
14:49 Les oppositions menacent déjà de censurer le gouvernement Avant même la prise de parole de François Bayrou, Eric Coquerel (LFI), Manuel Bompard (LFI), Sébastien Chenu (RN) ainsi que Jean-Philippe Tanguy (RN), ont déjà menacé de faire chuter son gouvernement. Même si « tout se joue en automne » selon Eric Coquerel, le député LFI accuse François Bayrou de « se faire 40 milliards d'euros sur le dos des français » avec un « budget inégal ». De son côté, Manuel Bompard réaffirme aussi sa volonté de censurer le gouvernement dès la rentrée estimant que les français sont victimes d'un « chantage » du président de la République, Emmanuel Macron. Pour le coordinateur national de La France insoumise, la résolution de la crise politique ne peut passer que par « le départ du président de la République » de l'Elysée. Manuel Bompard, coordinateur national de La France insoumise. GUILLAUME BAPTISTE / AFP Du coté du Rassemblement National, le député Sébastien Chenu a critiqué la piste d'une réforme du crédit d'impôt pour l'emploi de salariés à domiciles, une idée « catastrophique » qui impacterait financièrement et socialement les Français. Le député RN Jean-Philippe Tanguy a promis, quant à lui, de faire tomber l'exécutif en cas de hausse d'impôts. LISEZ NOTRE ARTICLE


Le Figaro
5 days ago
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« Chaque jour qui passe depuis un an est du temps perdu pour la France » : Jean-Philippe Tanguy réclame une nouvelle dissolution
Réservé aux abonnés ENTRETIEN - Alors qu'Emmanuel Macron retrouve ce mardi 8 juillet son pouvoir de dissoudre l'Assemblée, le président délégué du groupe RN demande un retour aux urnes. Il appelle aussi au changement du mode de scrutin, plaidant pour une proportionnelle intégrale. Jean-Philippe Tanguy, député de la Somme, est le président délégué du groupe parlementaire du Rassemblement national (RN). LE FIGARO. - Le RN demande-t-il qu'Emmanuel Macron prononce à nouveau une dissolution de l'Assemblée nationale ? Jean-Philippe TANGUY. - Oui, bien sûr. Alors que le reste du monde connaît des changements profonds et rapides, la France est totalement paralysée. Nos adversaires se sont rassemblés dans une coalition du mensonge pour précipiter notre pays dans une inertie que nous payons au prix fort, pour la seule raison qu'ils refusaient la victoire en nombre de voix de Jordan Bardella qui aurait dû lui permettre de devenir premier ministre. Chaque jour qui passe depuis un an est du temps perdu pour la France. Comme à la fin de la IVe République, nos adversaires utilisent les pires moyens pour éviter l'inévitable. Néanmoins, la victoire politique suivra nécessairement la victoire idéologique que Marine Le Pen a déjà remportée. La question n'est pas de savoir si mais…


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6 days ago
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Financement des partis politiques : François Bayrou «déterminé à proposer la 'banque de la démocratie'»
Le premier ministre, qui espère «présenter ce projet avant l'automne», y voit une manière d'introduire davantage de «justice». Sur LCI, François Bayrou s'est dit jeudi «déterminé à proposer la banque de la démocratie», qui pourrait selon lui être «adossée à la Caisse des dépôts et consignations». Une initiative qui doit permettre aux partis politiques de se financer. Cette banque, l'un des chevaux de bataille du premier ministre depuis longtemps, devra «prendre en charge le prêt que vous auriez obtenu autrement auprès de banques privées», a-t-il affirmé. À lire aussi Perquisition au siège du RN : le fardeau judiciaire du parti s'alourdit à nouveau François Bayrou, qui «espère présenter ce projet avant l'automne», y voit une manière d'introduire davantage de «justice» dans le système de financements des partis, alors que certaines formations, à commencer par le Rassemblement national (RN), éprouvent des difficultés à obtenir des prêts pour leurs campagnes.


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6 days ago
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Municipales 2026 : avec la réforme de la loi PLM, la crainte d'un big bang politique à Marseille
Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Certains élus ancrés depuis des décennies s'inquiètent d'un possible marchepied pour des forces jusqu'ici marginales, comme LFI ou le RN. Après les terribles incendies qui ont fait rage aux portes de la ville, c'est cette fois la campagne municipale qui s'est enflammée. Sauf coup de théâtre du Conseil constitutionnel, la logique d'élections par secteurs, qui comprennent chacun deux arrondissements, appartiendra bientôt à l'histoire ancienne de la Cité phocéenne. Pendant près d'un demi-siècle, la vie politique marseillaise s'est pourtant structurée autour de l'héritage de Gaston Defferre avec la logique de « secteurs clés », qui permettaient de conquérir un certain nombre de sièges indispensables pour ravir les clés de l'Hôtel de ville. À ce petit jeu, la gauche et la droite traditionnelles, historiquement implantées à Marseille, parvenaient à enchaîner les victoires, alors même que Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen sont arrivés sur le podium, à l'échelle de la ville, aux deux dernières présidentielles (2017 et 2022). « Avec la logique des secteurs, la droite macroniste avait une capacité à les conserver car ils se retrouvaient…


Le Figaro
6 days ago
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Plan de lutte contre la haine en ligne : Le Pen dénonce un «surfinancement» d'associations haineuses, Bergé lui répond
La patronne des députés RN a dénoncé le casting retenu par la ministre déléguée, qui a décidé de confier cette nouvelle mission à plusieurs acteurs dont notamment SOS Racismes ou encore la Fédération des centres LGBTI+. Une annonce qui a fait des vagues. Mercredi, la ministre déléguée à la Lutte contre les discriminations, Aurore Bergé, a annoncé la création d'une coalition d'associations, financée par l'État, pour lutter contre la haine en ligne. Une initiative qui vise, selon elle, à mettre un coup de frein aux propos violents qui se propagent sur les réseaux sociaux. Sauf que les acteurs qu'elle a décidé de mettre autour de la table - parmi lesquels notamment SOS Racisme ou encore la Fédération des centres LGBTI+ - ont suscité une levée de boucliers, en raison de certaines prises de position politiques régulières et parfois controversées des intéressés. «Il reste de l'argent à dépenser du coup ?», a ainsi feint de s'interroger Marine Le Pen sur X, dans une allusion à l'effort budgétaire d'une quarantaine de milliards d'euros réclamé par l'exécutif pour l'année prochaine. Et la double-finaliste de la présidentielle de répondre elle-même à sa propre question : «Oui, pour surfinancer des associations qui, pour la plupart, déversent quotidiennement leur haine de ceux qui ne pensent pas comme eux». «Définitivement, le macronisme c'est 'en même temps' le pire de la gauche et le pire de la droite», a encore cinglé la patronne des députés RN, dont la charge a ensuite été relayée par d'autres membres du parti à la flamme. «La liberté d'expression sous-traitée à des activistes, au frais du contribuable», appuie par exemple l'eurodéputée nationaliste Catherine Griset. Publicité Certaines voix se sont également élevées à droite où, le président de la Haute autorité des Républicains, Henri de Beauregard, est notamment monté au front : «Cette manière de sous-traiter une forme de censure à des militants politiques est extrêmement préoccupante». Autant de critiques qui ont conduit Aurore Bergé à se défendre sur X : «Apparemment le RN n'est pas à l'aise quand on lutte contre l'antisémitisme, le racisme, l'homophobie et les violences à l'encontre des femmes qui se déchaînent sur les réseaux sociaux» a-t-elle lancé, estimant que plus personne ne pouvait «encore» s'en «étonner».