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L'Équipe
30 minutes ago
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Orlando City 1-1 CF Montréal, MLS : résumé du match (13/07/2025)
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an hour ago
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Bellemare Taxi cesse ses activités à Shawinigan
C'est la fin pour la compagnie de transport Bellemare Taxi de Shawinigan. La compagnie annonce, par voie de communiqué, que ses activités cesseront dès lundi prochain. Selon le Registre canadien des dossiers de faillite et d'insolvabilité, la compagnie a une dette de plus de 691 490 $. Pour le moment, les raisons qui justifient la fermeture de Bellemare Taxi ne sont pas connues. Sur les réseaux sociaux, le conseiller du district des Boisés, Louis-Jean Garceau, assure que différentes options sont à l'étude présentement pour rapidement trouver une solution alternative. D'ailleurs, se disant consciente de l'impact de cet arrêt sur les citoyens de Shawinigan et sur la clientèle utilisant le transport adapté, la compagnie assure qu'elle travaille avec ses différents partenaires pour mettre en place une solution alternative. Bellemare Taxi indique vouloir permettre la relance d'un service de transport adapté et de taxi dans la région, modernisé et mieux structuré, qui réponde pleinement aux besoins et aux exigences d'accessibilité, de ponctualité et de qualité . La compagnie est d'ailleurs en discussion avec des transporteurs de Maskinongé pour trouver une solution de remplacement. Contexte difficile à Shawinigan Cette fermeture d'entreprise survient alors que les chauffeurs d'autobus de la Régie de transport en commun de Shawinigan (RTCS) sont en grève depuis quelques semaines. La Ville de Shawinigan a d'ailleurs lancé un ultimatum à l'organisation. Si la situation n'est pas rétablie la semaine prochaine, Shawinigan menace de retourner en appel d'offres pour trouver un autre transporteur pour son service d'autobus.


La Presse
3 hours ago
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- La Presse
Nouvelle piste pour ceux qui trouvent les billets d'avion trop chers
« En ce moment, Montréal est pris en otage parce que l'aéroport international Montréal-Trudeau déborde », écrit notre éditorialiste. Québec Air, Transworld, Northern, Eastern, Western et Pan American… N'essayez pas de réserver un vol sur l'une des compagnies aériennes que Robert Charlebois énumérait en 1968 dans sa mythique chanson Lindberg. Elles ont été achetées, fusionnées ou carrément fermées. On pourrait reprendre le même refrain avec tous les transporteurs qui sont disparus du ciel canadien depuis les années 1980 : Canadien international, Royal Aviation, Canada 3000, JetsGo, CanJet, Swoop, Jetlines et Lynx Air… Oh non, il n'est pas facile de se tailler une place durable dans l'industrie canadienne du transport aérien. Le marché intérieur reste dominé par Air Canada et WestJet, malgré l'expansion de Porter et de Flair. Les voyageurs font les frais du manque de concurrence. Depuis 10 ans, les tarifs ont augmenté de 38 %, davantage que l'inflation générale (29 %), selon Statistique Canada. Heureusement, il existe une piste prometteuse pour offrir plus de choix et de meilleurs prix aux voyageurs du Grand Montréal. L'idée est d'offrir à la métropole un autre aéroport international, comme on en trouve à Toronto (Billy Bishop, Aéroport international John C. Munro d'Hamilton) et à Vancouver (Aéroport international d'Abbotsford). Rassurez-vous, il n'est pas question de rouvrir Mirabel ! Il s'agit plutôt de donner de l'élan à l'Aéroport métropolitain de Montréal (MET), l'ancien aéroport de Saint-Hubert. En ce moment, Montréal est pris en otage parce que l'aéroport international Montréal-Trudeau déborde. Le manque de portes d'embarquement aux heures de pointe limite l'implantation de nouveaux acteurs. Cela est dommage, car le Bureau de la concurrence constate que l'arrivée d'un nouveau transporteur fait baisser les tarifs de 9 %1. Par ailleurs, la congestion routière aux abords de l'aéroport décourage les voyageurs. On a même vu des passagers coincés dans un embouteillage se précipiter hors du taxi avec leurs bagages pour courir attraper leur vol. Avec l'augmentation prévue de nombre de voyageurs, la situation deviendra de plus en plus compliquée. D'ici 20 ans, Montréal-Trudeau risque de frapper un mur, démontre le professeur de HEC Montréal Jacques Roy dans son livre La saga des aéroports de Mirabel et Dorval2. En fait, les deux pistes de YUL pourraient atteindre, dès 2043, leur capacité maximale de 310 000 mouvements par année (décollages et atterrissages). Et d'ici là, il faudra faire des investissements majeurs pour que l'aérogare puisse accueillir 40 millions de passagers, presque le double de sa capacité actuelle (22,4 millions en 2024). 22,4 millions Nombre de passagers qui ont transité par Montréal-Trudeau en 2024. Il s'agit d'une hausse de 10 % par rapport au record de 2019. Durant la décennie qui a précédé la pandémie, le nombre de voyageurs était passé de 12,2 millions en 2009 à 20,3 millions en 2019. Source : Aéroports de Montréal À court terme, Aéroports de Montréal (ADM) prévoit dépenser 4 milliards de dollars pour désengorger ses installations et augmenter sa capacité de 4 millions de passagers d'ici quatre ans. Ultimement, ce sont les passagers qui paieront la facture. Or, la facture est beaucoup moins élevée du côté de l'Aéroport métropolitain qui est en train de construire un terminal qui desservira éventuellement 4 millions de nouveaux passagers. Montant de l'investissement : 200 millions (500 millions en incluant la construction d'un hôtel et d'un centre de dégivrage ainsi que des travaux sur les pistes et les voies de circulation). Porter Airlines a l'intention d'offrir des vols intérieurs au MET. D'autres transporteurs pourraient s'ajouter. Mais l'Aéroport métropolitain pourrait servir de soupape à Montréal-Trudeau en offrant aussi des vols internationaux. Les gens de la Rive-Sud ne seraient plus forcés de traverser le pont pour s'envoler vers les États-Unis ou les destinations soleil. Pour cela, il faudrait mettre à la corbeille la clause d'exclusivité qui accorde à Aéroports de Montréal le monopole sur les vols internationaux jusqu'à la fin de son bail avec le gouvernement fédéral, en 2072. ADM est contre. L'organisme qui gère Montréal-Trudeau estime notamment qu'un deuxième aéroport dédoublera les coûts d'exploitation. Mais avec un peu de concertation, il y aurait moyen d'optimiser les infrastructures. Le MET pourrait viser les vols nolisés, ce qui permettrait à Dorval de se concentrer sur les destinations plus payantes, sur Doha plutôt que sur Punta Cana, par exemple. C'est ce qui se passe à Londres où quatre aéroports secondaires (Gatwick, Stanstead, Luton et Londres City) permettent au grand aéroport de Heathrow, complètement saturé, de se concentrer sur les vols internationaux avec correspondance. Un deuxième aéroport international dans la région de Montréal serait une formule gagnante pour les voyageurs. Ils paieraient moins cher leur billet d'avion, car l'Aéroport métropolitain prévoit offrir des tarifs globaux de 25 % à 50 % inférieurs à ceux de Montréal-Trudeau. Et les frais aéroportuaires représentent environ 20 % du prix du billet, encore plus pour les transporteurs à bas coûts. De 15 à 45 $ C'est le montant des frais aéroportuaires, par passager, au Canada. Aux États-Unis, ces frais sont de seulement 6,14 $, en moyenne. Source : Conseil national des lignes aériennes du Canada De plus, un nouvel aéroport pourrait favoriser l'arrivée de transporteurs à bas coût qui ont du mal à percer notre marché, à cause des frais aéroportuaires jusqu'à sept fois plus élevés qu'aux États-Unis. Selon un sondage Léger, les trois quarts des résidants (77 %) de la Rive-Sud élargie voient d'un bon œil le MET, pour les retombées économiques et la facilité d'accès à un aéroport. Certains résidants redoutent le bruit. Mais les avions qui s'élèvent rapidement dans le ciel les dérangeront sûrement moins que les écoles de pilotage qui décollent et atterrissent à répétition, en restant à faible altitude. Soyons réalistes. Même avec des investissements, Montréal-Trudeau ne pourra pas répondre éternellement aux besoins croissants de Montréal qui est un important pôle touristique, universitaire et d'affaires. Alors, retirons les obstacles qui empêchent les aéroports secondaires de prendre leur envol, comme le recommande le Bureau de la concurrence. C'est la piste à suivre. 1. Lisez l'Étude de marché sur l'industrie du transport aérien au Canada Jacques Roy. La saga des aéroports de Mirabel et Dorval : des leçons à tirer maintenant et pour l'avenir. JFD Éditions, 2023, 149 pages.


Le Parisien
4 hours ago
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- Le Parisien
Best-seller Ninja : voici ce qui est le plus vendu sur leur site (ca va vous surprendre)
Cet été, de nombreux internautes ont choisi de se lancer dans la confection de leurs propres crèmes glacées, en s'équipant de la machine à glace Ninja CREAMi. Associé à plus de 860 avis qui lui attribuent en moyenne la note de 4,5 étoiles, cet appareil est accompagné de trois pots, qui vous permettront de stocker jusqu'à 1,4 L de préparation. Pour régaler vos proches avec de succulents desserts, vous aurez accès à six programmes automatiques, dédiés aux crèmes glacées, aux sorbets, aux glaces à l'italienne, aux crèmes glacées allégées, aux smoothies bowls et aux milkshakes. La Fabrique à délices glacés CREAMi dispose également d'une fonction Extras, qui vous aidera à incorporer des garnitures diverses. Chocolat, noix, biscuits, bonbons… Vos toppings seront intégrés de manière homogène à vos glaces. Après application du code promo exclusif PARISIENNINJA25, la machine à glace Ninja CREAMi vous reviendra à 174,99 euros au lieu de 249,99 euros. Simple à paramétrer grâce à ses commandes tactiles, la Fabrique à délices glacés Ninja CREAMi est idéale pour les gourmands qui suivent un régime particulier. Sans sucre, sans produits laitiers, végans… Vous aurez la possibilité de créer des desserts glacés qui correspondent à vos exigences. Dotée d'une puissance de 800W, votre nouvelle machine sera accompagnée d'un livret de recettes inspirant. Pour vous lancer dans votre première préparation, il vous suffira de placer vos ingrédients de base au congélateur durant 24 heures. Utilisez ensuite la pale de votre machine à glace Ninja CREAMi pour les râper et les brasser automatiquement, en cliquant simplement sur le programme souhaité. Si le rendu ne vous semble pas suffisamment onctueux, activez la fonction Re-Spin pour effectuer un re-brassage. Facile à nettoyer, la Fabrique à délices glacés Ninja CREAMi dispose de pots, d'un couvercle et d'une pale lavables au lave-vaisselle. Cliquez ici pour profiter de l'offre sur la machine à glace Ninja CREAMi Les meilleures offres Ninja à saisir : Les meilleures offres Shark à saisir :

6 hours ago
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Boeing s'entend avec un Canadien dont la famille a péri
Boeing a conclu vendredi un accord avec un Canadien dont la femme et les trois enfants ont péri dans un accident mortel en Éthiopie en 2019, évitant ainsi le premier procès lié à un événement dévastateur ayant entraîné l'immobilisation mondiale des avions Max. Le procès avec jury devant le tribunal fédéral de Chicago devait s'ouvrir lundi afin de déterminer les dommages-intérêts à verser au Torontois Paul Njoroge. Sa famille se rendait au Kenya en mars 2019 à bord du vol 302 d'Ethiopian Airlines lorsque celui-ci a connu une panne et s'est écrasé. L'accident a tué les 157 personnes à bord. M. Njoroge, 41 ans, avait prévu de témoigner sur les conséquences de l'accident sur sa vie. Il n'a pas pu retourner chez lui à Toronto, car les souvenirs étaient trop douloureux. Il n'a pas réussi à trouver d'emploi. Il a également essuyé les critiques de ses proches pour ne pas avoir voyagé avec sa femme et ses enfants. Il souffre d'un deuil et d'une tristesse complexes, ainsi que de son propre stress émotionnel, a argué son avocat, Robert Clifford. Il est hanté par des cauchemars et la perte de sa femme et de ses enfants. Les termes de l'accord n'ont pas été rendus publics. Me Clifford avait précédemment affirmé que son client voulait réclamer des millions de dommages et intérêts au nom de sa femme et de ses enfants, mais a refusé de préciser publiquement un montant avant le procès. L'équipe aéronautique du cabinet Clifford a travaillé sans relâche pour préparer le procès, mais le médiateur a pu aider les parties à trouver un accord , a indiqué l'avocat dans un communiqué vendredi. Ouvrir en mode plein écran Paul Njoroge et sa famille, quelques années avant l'accident. (Photo d'archives) Photo : La famille Njoroge Un porte-parole de Boeing a répondu vendredi par courriel que l'entreprise n'avait aucun commentaire à faire. La procédure ne devrait pas aborder les détails techniques concernant la version Max du modèle 737, l'appareil le plus populaire de Boeing et source de problèmes persistants pour la compagnie depuis l'écrasement en Éthiopie et celui de l'année précédente en Indonésie. Au total, 346 personnes, passagers et membres d'équipage compris, ont péri dans ces accidents. Des ententes avec de nombreuses familles En 2021, Boeing, dont le siège social est à Chicago, a reconnu sa responsabilité dans l'écrasement en Éthiopie, dans le cadre d'un accord avec les familles des victimes, leur permettant de porter plainte individuellement devant les tribunaux américains plutôt que devant leurs pays d'origine. Des citoyens de 35 pays ont été tués. Plusieurs familles de victimes ont déjà conclu un accord. Les termes de ces accords n'ont pas non plus été rendus publics. L'avion de ligne à destination de Nairobi a perdu le contrôle peu après son décollage de l'aéroport international Bole d'Addis-Abeba et a piqué du nez dans une zone désertique. Les enquêteurs ont déterminé que les accidents en Éthiopie et en Indonésie étaient dus à un système basé sur un capteur fournissant des relevés erronés et poussant l'avion vers le bas, empêchant les pilotes de reprendre le contrôle. Après cet accident, les avions Max ont été cloués au sol dans le monde entier jusqu'à ce que la compagnie repense le système. Ouvrir en mode plein écran Le Boeing 737 MAX 8 s'est écrasé près d'Addis-Abeba, en Éthiopie, en 2019. (Photo d'archives) Photo : The Associated Press / Mulugeta Ayene Cette année, Boeing a conclu un accord avec le ministère américain de la Justice afin d'éviter des poursuites pénales pour les deux accidents. Parmi les victimes figuraient Carolyne, l'épouse de M. Njoroge, et ses trois jeunes enfants : Kellie et Ryan, âgés de 4 et 6 ans, et Rubi, la plus jeune victime de l'écrasement, avait 9 mois. M. Njoroge a également perdu sa belle-mère, dont le dossier fait l'objet de procédure distincte. M. Njoroge, qui a rencontré sa femme à l'université à Nairobi, vivait au Canada au moment de l'accident. Il avait prévu de rejoindre sa famille au Kenya plus tard. Il a témoigné devant le Congrès en 2019 qu'il avait imaginé à plusieurs reprises les souffrances de sa famille pendant le vol, qui n'a duré que six minutes. Il a imaginé sa femme luttant pour tenir leur bébé sur ses genoux, avec deux autres enfants assis à proximité. Je reste éveillé la nuit à penser à l'horreur qu'ils ont dû endurer, a-t-il raconté. Ces six minutes resteront à jamais gravées dans ma mémoire. Je n'étais pas là pour les aider. Je n'ai pas pu les sauver.