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Formule 1 : Norris et McLaren déroulent en Grande-Bretagne, premier podium pour Hulkenberg
Les McLaren ont encore écrasé la concurrence en Grande-Bretagne signant un cinquième doublé avec la victoire de Lando Norris devant Oscar Piastri. Nico Hulkenberg a signé son premier podium en F1. La pluie, des abandons, des dépassements, du suspense et du spectacle, Silverstone n'a pas déçu dimanche. Devant, il faut s'y habituer, les McLaren ont encore fait la loi et Lando Norris a confirmé sa victoire en Autriche en s'imposant à domicile en Grande-Bretagne devant Oscar Piastri, pénalisé de dix secondes alors qu'il avait mené une grande partie de la course. Le quatrième succès de Norris cette saison et le cinquième doublé au passage en douze courses. Derrière, parfois dans le chaos, c'est Nico Hulkenberg, pourtant 19e sur la grille, qui a pris la 3e place signant ainsi son premier podium en 239 départs. Une performance historique pour l'Allemand et Sauber. La pluie s'invite à la fête En pole, Max Verstappen savait sa mission compliquée face aux McLaren et la pluie, arrivée en amont de la course et qui s'est arrêtée quinze minutes avant le départ, a encore réduit ses chances. Parti en intermédiaires, comme quinze autres pilotes hormis cinq petits malins qui ont tenté de mettre des gommes pour piste sèche avant le départ (Russell, Leclerc ou encore Hadjar) pour un pari au final perdant, le Néerlandais a géré le départ, maintenant les McLaren de Piastri et Norris dans ses rétros mais très rapidement le chaos s'est invité à Silverstone. Publicité Lawson a tout d'abord créé un premier incident provoquant une première voiture de sécurité virtuelle. C'est ensuite Bortoleto qui a été mis hors course provoquant une autre interruption et confirmant un début de course animé. Au tour 7, la course pouvait enfin démarrer et la piste devenait sèche. Certains tentaient le pari de remettre des pneus pour piste sèche. Devant, avec l'aide du DRS, Piastri prenait le meilleur sur Verstappen et donc la tête. Stroll, Hulkenberg et Gasly dans le coup Les trois premiers avaient alors déjà fait le trou. Mais derrière, c'était un peu le bazar avec les différents paris tentés par les uns et les autres, les abandons et les erreurs. À tel point que le classement était rapidement chamboulé avec des Russell et Leclerc au fond de la classe et des Stroll, Hulkenberg et Gasly dans la course aux gros points. Et la pluie faisait son retour au tour 11. Une averse violente qui piégea Verstappen et offrit la deuxième place à Norris. Tout le monde plongeait aux stands pour remettre de nouveaux intermédiaires et la direction de course sortait finalement la voiture de sécurité au tour 14 jugeant la piste trop dangereuse. La course était relancée au tour 18 pour quelques instants puisqu'Hadjar percutait Antonelli et finissait dans le mur pour un accident spectaculaire mais sans gravité. Verstappen en tête-à-queue, Piastri pénalisé Au tour 21, la course était relancée avec le gros fait du jour. Leader devant Verstappen, qui avait récupéré la deuxième place dans les stands, Piastri freina brusquement derrière la voiture de sécurité forçant Verstappen à le dépasser. Une manœuvre qui allait coûter dix secondes de pénalité à l'Australien et la victoire. Mais ce dernier n'était pas le seul à perdre gros puisque Verstappen partait en tête-à-queue à la relance. Reparti 10e, le Batave ne sauva qu'une cinquième place à l'arrivée. Devant, les McLaren s'échappaient. Et derrière ? Stroll, Hulkenberg et Hamilton se disputaient la dernière place sur le podium. Au tour 42, les pilotes basculaient sur des gommes pour piste sèche. Piastri, leader, effectuait sa pénalité et offrait ainsi la quatrième victoire de la saison à Lando Norris, son coéquipier. Derrière, Hulkenberg, élu pilote du jour, prenait le meilleur sur Stroll et creusait un bel écart sur Hamilton avec le jeu des arrêts pour aller glaner son premier podium en carrière à son 239e départ donc. Exceptionnel. Publicité Derrière, auteur d'une très belle course, Pierre Gasly sautait Lance Stroll dans le dernier tour pour signer une belle 6e place, son meilleur résultat de la saison à un moment précieux pour Alpine.
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Formule 1 : le podium d'Hulkenberg, Mercedes hors du coup... Les tops et les flops du GP de Grande-Bretagne
Le premier podium de Nico Hulkenberg mais aussi les gros points de Pierre Gasly sans oublier les difficultés de Mercedes et les erreurs de Max Verstappen, retrouvez les tops et les flops du GP de Grande-Bretagne remporté par Lando Norris. TOPS Hulkenberg, la grande première Cette stat' lui a longtemps collé à la peau. Nico Hulkenberg était jusque-là le pilote en activité avec le plus de départs sans le moindre podium. Anomalie réparée. Pour son 239e départ en F1, Nico Hulkenberg est enfin monté sur la boîte après une course phénoménale. Parti 19e, il a profité des faits de course et des abandons pour se retrouver 10e après trois tours. Dans le top 5 ensuite avec les différents paris tentés par les uns et les autres, l'Allemand a effectué les bons arrêts aux bons moments. À la lutte pour le podium en fin de course, il bataillait avec Lance Stroll qu'il a doublé en piste et Lewis Hamilton. Ce dernier avec sa Ferrari n'a jamais réussi à revenir et a même commis une erreur en poussant. Hulkenberg et Sauber ont décroché leur graal dimanche à Silverstone. Publicité Norris reprend le dessus Depuis son erreur au Canada, Lando Norris a remis les choses en place. Il a dominé en Autriche et s'impose donc à domicile, dimanche, en Grande-Bretagne. Son quatrième succès de la saison déjà. C'est surtout sa réaction qui marque. On pensait Oscar Piastri, bien installé en tête du Championnat, mentalement au-dessus mais le Britannique affiche un tempérament qui marque les esprits en ce moment et revient à 8 points de son coéquipier au classement des pilotes. Gasly, une 6e place qui soulage On sait Alpine en difficulté dans tous les domaines cette saison et ce résultat va faire du bien à l'équipe. Huitième sur la grille, Pierre Gasly s'attendait à une course compliquée mais la pluie lui a redonné de l'espoir et a nivelé les voitures entre elles. Solide dans ces conditions, le Français a fait les bons arrêts avec les bons choix stratégiques. Il est allé chercher la 6e place dans l'ultime tour en dépassant Lance Stroll et signe ainsi son meilleur résultat de la saison. FLOPS Mercedes passe encore à côté Comme en Autriche (10 points marqués seulement), Mercedes a manqué sa course en Grande-Bretagne. Quatrième sur la grille, Russell a fait le choix de mettre les gommes pour piste sèche avant le départ. Un pari qui s'est avéré perdant. Souvent à contre-temps dans la stratégie, le Britannique a même moqué les choix de son équipe à la radio. Ambiance. 10e, il sauve un point dans un week-end à oublier pour les voitures argentées puisqu'Antonelli a encore abandonné, percuté par Isack Hadjar. Verstappen à la faute, chose rare En pole et leader pendant 8 tours, Max Verstappen a souffert dans ces conditions humides avec une voiture vraiment optimisée pour le sec. C'est alors que le Néerlandais a commis deux erreurs. La première, une sortie un peu au large, a permis à Norris de prendre la deuxième place avant que le Batave ne la récupère dans les stands. Puis au tour 21, à la relance après la voiture de sécurité, il est parti en tête-à-queue. Reparti 10e, il s'est finalement classé cinquième et laisse encore filer des points. À mi-saison, le quadruple champion du monde est à 69 points de Piastri. Publicité Ferrari toujours pas au point Charles Leclerc a tenté le pari des gommes sèches au départ. Un pari perdant qu'il a traîné comme un boulet toute la course avec une 14e place à l'arrivée. De son côté, Lewis Hamilton a bataillé pour le podium qu'il a manqué alors qu'il était monté onze fois d'affilée sur la boîte à Silverstone. Si le Britannique a tout donné, ce qui fait désordre c'est que la Scuderia a été battue par Nico Hulkenberg et une Sauber qui s'est élancée depuis la 19e place. Ferrari ne peut s'en satisfaire.
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Avec la victoire de Woodshauna à Deauville, l'entraîneur Francis-Henri Graffard continue sa razzia
Il ne se passe pas une réunion de plat sans que Francis-Henri Graffard (FHG) ne fasse parler de lui. Après un coup de quatre samedi, déjà sur l'hippodrome de Deauville (Calvados) , l'entraîneur cantilien a remporté le premier Groupe I de l'été sur la côte normande, le Prix Jean Prat. Et il s'agit surtout de sa cinquième victoire de l'année au plus haut niveau. Mais pour une fois, FHG ne présentait pas le favori, puisque Woodshauna était proposé à 13/1. Sur le parcours rectiligne, long de 1 400 m, le partenaire de Christophe Soumillon a surgi à 100 m du poteau pour mettre tout le monde d'accord. « Je n'ai pas eu d'autre choix que de reprendre en partant et de le monter pour attaquer en dernier, expliquait le jockey. En deux foulées, il a jailli ! Je l'adore sur le sprint, et je le pense encore plus performant sur 1 200 m. »
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PSG - Real Madrid : Dembélé et Beraldo pressentis
Sous la chaleur d'Atlanta, un décrassage avec des sourires. Ce dimanche matin, au lendemain de la qualification du PSG pour la demi-finale du Mondial des clubs, les hommes de Luis Enrique ont profité une dernière fois du terrain de l'université de Kennesaw, au nord de la ville. Pour achever une séance légère comme le bonheur d'un succès âpre contre le Bayern Munich en quarts de finale du tournoi . L'intense combat s'est achevé à 9 contre 11 par un but d' Ousmane Dembélé (2-0) dans le temps additionnel. Le champion du monde 2018, plus frais que les autres en raison de son calendrier personnel perturbé par une blessure en sélection, postule pour commencer l'immense choc contre le Real Madrid ce mercredi 9 juillet à 21 heures en France au MetLife Stadium à East Rutherford, dans le New Jersey, cité tout aussi chaude mais encore plus humide qu'Atlanta. Le favori du Ballon d'or 2025 devrait être accompagné à droite de l'indispensable Désiré Doué, buteur contre les Bavarois, et à gauche de l'inamovible Khvicha Kvaratskhelia . Le Géorgien va retrouver sur son aile gauche son duel avec Trent Alexander-Arnold qu'il avait dominé en mars quand le latéral droit évoluait encore à Liverpool en 8e de finale aller et retour de la Ligue des champions. Mais à Paris, c'est surtout la défense qui inquiète Luis Enrique. Il a perdu samedi en dix minutes deux remparts, Willian Pacho et Lucas Hernandez, expulsés pour une semelle et un coup de coude. L'Équatorien est l'autre homme de base de la charnière centrale, avec le capitaine Marquinhos. L'entraîneur asturien ne possède plus qu'un seul choix issu du banc des remplaçants : Lucas Beraldo , qui remplace parfois son compatriote brésilien, mais préfère évoluer axe gauche comme Pacho. Un moindre mal pour Paris. Sur les côtés, on ne change pas des latéraux qui performent, les deux meilleurs du monde cette saison : Achraf Hakimi et Nuno Mendes. Le coach n'a pas non plus l'intention de modifier son milieu de terrain. Vitinha, João Neves et Fabian Ruiz sont attendus contre les Madrilènes même si l'Espagnol tire la langue. Comme Hakimi , Ruiz est resté en salle, dimanche lors de l'entraînement, c'est habituel les lendemains de match. Si le staff juge son état physique insuffisant - il sort d'un syndrome viral -, Warren Zaïre-Emery, auteur d'entrées percutantes depuis le début de la compétition, est un candidat naturel pour suppléer l'ancien Napolitain. La délégation parisienne a, à partir de dimanche soir heure française, son camp de base à Basking Ridge, dans le New Jersey, à une quarantaine de kilomètres du stade de la demi-finale qui sera aussi le théâtre de la finale.
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Formule 1, GP de Grande-Bretagne : pourquoi Lando Norris a soulevé un trophée en... Lego
Après avoir fait sensation au GP de Miami en mai dernier, avec des pilotes défilant dans des bolides entièrement construits en briques , Lego, la marque danoise, a remis ça. Cette fois-ci, sur le podium du GP de Grande-Bretagne ce dimanche 6 juillet. À l'occasion du 75e anniversaire du tout premier Grand Prix de Formule 1 , les trophées remis aux trois premiers pilotes étaient eux aussi… 100 % LEGO. Lando Norris a donc soulevé une coupe unique à l'issue de sa belle victoire au terme d' une course mouvementée . Derrière cette création unique : le designer Samuel Liltorp Johnson, chargé de transformer les célèbres briques de couleur en véritables pièces de légende. Plus de 2 kg et 2 717 briques, ce sont les caractéristiques du trophée qui sera remis au vainqueur du GP de Grande-Bretagne. Et ce n'est pas tout : les coupes du 2e, du 3e, ainsi que celle des constructeurs, ont elles aussi eu droit à un relooking en briques. Un travail d'orfèvre, signé par sept maîtres constructeurs, qui ont consacré plus de 210 heures à donner vie à ces œuvres d'exception. Lors du GP d'Autriche fin juin, le sponsor de la Formule 1 avait transformé les panneaux de freinage du circuit de Spielberg en véritables totems de briques. Ce dimanche, la course a été riche en rebondissements en raison de la pluie qui a causé plusieurs sorties de piste, parfois spectaculaires .
