
Pourquoi l'action Edenred pourrait décoller de près de 100% selon les analystes d'UBS
CONFIDENTIEL BOURSE - Chaque semaine, Le Figaro Patrimoine et Bourse relaie des informations confidentielles repérées dans les notes d'analystes pour vous aider dans vos décisions d'investissement.
Après la publication du 1er semestre d'Edenred, UBS a rencontré la direction du grand nom français des titres prépayés et en a retiré plusieurs enseignements. Tout d'abord, le bureau d'analyses suisse attend une légère amélioration de la marge d'EBITDA sur la seconde partie de 2025 : pour atteindre une croissance organique de plus de 10% sur l'année, la hausse devra être au moins de 6% et, hors Italie, qui a plafonné les commissions, elle se situerait à 15%.
À découvrir Suivez Le Figaro Bourse sur WhatsApp
Ensuite, Justin Forsythe, qui suit le dossier, estime que l'Europe devrait accélérer au deuxième semestre, notamment la France et l'Allemagne, peu dynamiques au premier semestre. Par ailleurs, le 16 juillet 2025, la Belgique a annoncé que la valeur faciale du chèque-repas passera de 8 à 10€ à partir de janvier 2026, un mouvement que devrait également suivre l'Italie.
Du mieux en provenance du Brésil et de l'Italie
Et point important, le secteur serait sur le point de se concentrer au Brésil avec le rachat d'Alelo par iFood. Une perspective qui n'inquiète pas la direction d'Edenred…

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
Après les «memes coins», les «memes stocks» : ces actions dont le cours s'envole grâce aux réseaux sociaux
Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Portées par des communautés d'investisseurs amateurs sur Reddit et X, des actions longtemps délaissées connaissent des hausses fulgurantes sans justification économique. Elles s'appellent GoPro, Krispy Kreme ou encore Opendoor. Le point commun entre ces entreprises ? Le cours de leur action s'est récemment envolé sans qu'aucun indicateur financier traditionnel ne puisse l'expliquer. Un phénomène qui n'est pas sans rappeler l'envolée de l'entreprise de jeux vidéo GameStop, en 2021, et qui refait surface aux États-Unis. Après les «memes coins» qui ont percé l'écran pendant la campagne de Donald Trump, s'ouvre l'ère des«memes stocks», des titres boursiers dopés par l'engouement des réseaux sociaux. Depuis plusieurs semaines, les volumes d'échanges sur certains titres américains ont explosé. L'action GoPro a bondi de 100% en quelques jours et retrouve sa valeur d'il y a un an, après une année continue de baisse. Krispy Kreme, le fabricant de donuts qui s'est lancé en France en 2024, a bondi de 61% en une semaine et frôle les 4,5 dollars l'action. À chaque fois, les volumes d'échange ont été multipliés par deux ou trois sur ces titres délaissés des investisseurs…


Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
Wall Street reste prudente, entre résultats d'entreprises et politique commerciale américaine
La Bourse de New York a ouvert sur une note prudente mardi, les investisseurs cherchant à évaluer les nouvelles menaces douanières de Donald Trump et l'évolution des négociations commerciales, en pleine saison des résultats. Dans les premiers échanges, le Dow Jones était pratiquement stable (-0,01%) tandis que l'indice Nasdaq gagnait 0,18% et l'indice élargi S&P 500 avançait de 0,12%. Publicité Plus d'informations à venir...


Le Figaro
2 hours ago
- Le Figaro
«J'ai appris à fabriquer un zinc» : du conseil aux entreprises à un atelier de comptoir en étain, la reconversion réussie de Maxime Dethomas
Réservé aux abonnés Installé à Londres, ce comptable de formation a repris il y a six ans les ateliers Nectoux, situé à Dax. Depuis, le chiffre d'affaires a progressé de 14% par an. Une entreprise jeune de 95 ans. C'est la formule qu'affectionne Maxime Dethomas pour présenter les Ateliers Nectoux, près de Dax (Landes), dont il a pris les rênes il y a six ans. Il est l'un des deux derniers fabricants français de ces zincs (le seul métal «conducteur d'amitié», selon l'écrivain Antoine Blondin) qui donnaient leur charme aux bistrots parisiens jusqu'à la dernière guerre. Ici, les outils ont près d'un siècle, les moules pour créer les décors des bordures sont parfois Art nouveau, voire fin XIXe. Et les plaques d'étain posées sur les comptoirs sont toujours travaillées comme le faisait Marcel Nectoux lorsqu'il a créé son atelier à Paris, rue de Charonne, en 1930. Les zincs tiennent leur nom d'un mot allemand, «Zinn», qui signifie «étain». Ces plaques de métal sont patiemment rabotées avec une petite spatule, pour creuser, passage après passage, ce petit rebord ourlé qui fait la valeur d'un comptoir Nectoux. Plus la «bordure» est haute, plus le zinc est cher. Aux manettes…