
Thierry Henry dévoile de rares photos de sa fille Tatiana, 10 ans, et déjà le portrait craché de son père
«Joyeux 10e anniversaire à notre princesse. On t'aime tellement ! J'espère que tu as apprécié ta journée». C'est par ces quelques mots, sobres mais empreints de tendresse, que Thierry Henry est sorti de son habituelle discrétion pour célébrer le 10e anniversaire de sa fille cadette, Tatiana. Le champion du monde de 1998 a accompagné ce joli message d'un carrousel de photos montrant sa fille à la plage, vêtue d'un ensemble bleu et blanc à l'imprimé liberty, en train de poser fièrement, comme une grande, sur le sable fin ou de sauter dans les airs.
Une ressemblance frappante
Sur un autre cliché, Thierry Henry, casquette noire sur la tête et lunettes de soleil vissées sur le nez, prend la pose avec Tatiana, le sourire aux lèvres, son bras recouvrant tendrement les épaules de la fillette qui semble déjà bien grande pour son âge. Même expression du visage, même nez, même sourire... la ressemblance père-fille est frappante. Tout comme la fierté de Thierry Henry, que l'on a toujours connu très réservé et pudique.
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À 47 ans, l'ancien footballeur, désormais commentateur sportif, profite de sa nouvelle vie loin des terrains pour passer du temps avec ses quatre enfants. C'est en 2005 qu'il a découvert les joies de la paternité avec la naissance de sa fille Téa, fruit de ses amours avec la mannequin anglaise Nicole Merry. Le couple s'est séparé quelques mois plus tard, juste avant que Thierry Henry, qui jouait pour Arsenal, ne soit transféré au FC Barcelone.
En Espagne, le sportif est tombé amoureux d'une autre mannequin, Andrea Rajačic. Originaire de Bosnie, cette dernière rendait visite à sa sœur quand elle a croisé le chemin du footballeur. Deux ans après leur coup de foudre, Thierry Henry et Andrea Rajačic ont accueilli leur premier enfant ensemble, un petit garçon prénommé Tristan. Leur famille s'est ensuite agrandie avec l'arrivée de Tatiana, en août 2015, puis celle d'un autre petit garçon, Gabriel, en novembre 2016.
«Sauvé par ses enfants»
Invité du podcast The Diary of a CEO en janvier 2024, Thierry Henry confiait avoir été «littéralement sauvé» par ses enfants en 2020, lorsqu'il était entraîneur à Montréal. À l'époque, l'ancien footballeur se consacrait pleinement à ce nouveau rôle qui le passionnait, mais son élan avait été brutalement freiné par la pandémie. «Je ne savais pas où j'allais mentalement. J'étais revenu chez moi après avoir été bloqué un an à Montréal, à cause du Covid. Je m'apprêtais à repartir pour le Canada, sans savoir si j'allais de nouveau être longtemps bloqué là-bas pendant plusieurs mois», a-t-il expliqué.
Ce qui avait provoqué le déclic ? Les pleurs de sa compagne, de ses enfants, et même de la baby-sitter, au moment il préparait ses affaires pour repartir au Canada. «Pour la première fois, je me suis senti humain. Je me suis dit : 'ils me voient moi, pas l'athlète'. Ils pleuraient pour moi. Je ne dis pas qu'ils ne l'avaient jamais fait avant, mais je ne l'avais pas vécu de cette façon. Pour la première fois, le jeune moi, enfant, a reçu ce qu'il cherchait à avoir avec l'amour. J'ai posé mes affaires et je suis resté. J'ai arrêté d'entraîner Montréal. Mes enfants aiment Thierry. Pas Thierry Henry», a-t-il conclu, les larmes aux yeux.
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