logo
Un motocycliste perd la vie après une collision avec un orignal

Un motocycliste perd la vie après une collision avec un orignal

La Pressea day ago
Un motocycliste perd la vie après une collision avec un orignal
(Cacouna) Une collision avec un orignal sur l'autoroute 20 à Cacouna, dans le Bas-Saint-Laurent, a coûté la vie à un motocycliste.
La Presse Canadienne
Les services d'urgence ont été appelés à se rendre sur les lieux de l'accident vendredi soir, vers 22 heures.
« Selon toute vraisemblance, l'orignal aurait tenté de traverser les voies et le motocycliste ne serait pas parvenu à éviter l'animal et le motocycliste s'est retrouvé en collision avec celui-ci », a expliqué la sergente Audrey-Anne Bilodeau, porte-parole de la Sûreté du Québec (SQ) en entrevue samedi matin.
Le motocycliste et sa passagère, tous deux dans la trentaine, ont été transportés vers un centre hospitalier pour y soigner « des blessures sérieuses pouvant mettre leur vie en danger ».
« L'homme a malheureusement succombé à ses blessures dans les heures qui ont suivi au centre hospitalier. Quant à la dame, on nous dit qu'elle est hors de danger, mais toujours hospitalisée aux dernières nouvelles », a affirmé la sergente Bilodeau.
L'orignal est mort à la suite à l'impact avec la moto.
Un policier spécialisé en enquête collision s'est rendu sur les lieux pour analyser la scène de la collision.
L'enquête de la SQ suit son cours.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Un homme meurt dans un accident de moto
Un homme meurt dans un accident de moto

La Presse

time23 minutes ago

  • La Presse

Un homme meurt dans un accident de moto

Un homme meurt dans un accident de moto Une collision mortelle s'est produite dans la nuit de samedi à dimanche à Saint-Sauveur, dans la région des Laurentides. La Presse Canadienne Un homme est mort après avoir subi un accident de moto impliquant deux autres véhicules dans le secteur de la rue Principale. Vers minuit, le motocycliste, un homme dans la cinquantaine résidant à Saint-Sauveur, aurait perdu le contrôle de son bolide avant de percuter deux autres véhicules, qui étaient immobilisés. Son décès a été constaté dans un centre hospitalier de la région. « Une analyse de la scène a été effectuée afin de comprendre les causes et les circonstances entourant l'évènement. La vitesse pourrait être un facteur contributif à l'embardée », affirme Ève Brochu-Joubert, porte-parole de la Sûreté du Québec. L'enquête est toujours en cours.

Douze ans plus tard, encore des leçons à tirer estime une coalition citoyenne
Douze ans plus tard, encore des leçons à tirer estime une coalition citoyenne

La Presse

time3 hours ago

  • La Presse

Douze ans plus tard, encore des leçons à tirer estime une coalition citoyenne

Douze ans après la tragédie de Lac-Mégantic, peu de progrès a été réalisé pour améliorer le transport ferroviaire aux abords de la ville, estime le porte-parole de la Coalition des citoyens et organismes engagés pour la sécurité ferroviaire de Lac-Mégantic. Audrey Sanikopoulos La Presse Canadienne Des commémorations se tenaient dimanche matin dans la municipalité qui a été marquée par un déraillement de train le 6 juillet 2013, fauchant la vie de 47 personnes. Alors que des fleurs étaient déposées sur l'Espace mémoire par les conseillers municipaux, les membres de la Coalition allaient mettre des fleurs sur les voies où le train a déraillé. Selon Robert Bellefleur, porte-parole de la Coalition, la guérison est encore loin d'avoir commencé pour les habitants de Lac-Mégantic. Dans le dernier mois, des citoyens inquiets ont indiqué à la Coalition que des « ponceaux complètement érodés et cassés » se trouvaient aux deux entrées de la municipalité. Le Canadien Pacifique Kansas City (CPKC) serait intervenu après le signalement. Appelée à réagir à ce sujet, la compagnie ferroviaire n'avait pas répondu à notre demande de commentaires au moment d'écrire ces lignes. « À quelques heures de la commémoration de la tragédie, ce n'est rien pour rassurer la population », a fait valoir M. Bellefleur. Les résidents sont aussi préoccupés par l'apparition de « trains monstres » sur les chemins de fer. « Auparavant, les trains [avaient] environ 80 wagons en moyenne. […] Les trains sont maintenant de plus de 200 wagons, ont des longueurs de plus de 15 000 pieds avec de grosses locomotives qui pèsent souvent plus de 150 tonnes », a expliqué M. Bellefleur. Ces trains circulent cependant sur des voies ferrées conçues entre les années 1880 et 1920 « pour des trains beaucoup plus légers et beaucoup plus petits ». « Les infrastructures des voies ferrées sont vraiment soumises à des pressions additionnelles majeures », a-t-il précisé. Le porte-parole estime que « les dangers se sont accrus depuis le début des années 2020 » partout en Amérique, et que « ce n'est plus juste Lac-Mégantic qui est à risque ». Du retard qui s'accumule La municipalité estrienne est encore loin de voir apparaître la voie de contournement ferroviaire, s'est aussi désolé Robert Bellefleur. Le premier dépôt du projet avait été fait en 2021 auprès de l'Office des transports du Canada. Depuis, l'organisme continue de demander des rapports plus complets en matière de protection de l'environnement. « Il semble qu'ils ne sont pas encore satisfaits des réponses et des documents qui leur sont déposés par Transports Canada et le Canadien Pacifique, a noté M. Bellefleur. On est rendu en 2025. Est-ce qu'ils sont en train de faire l'apprentissage ? […] En tout cas, tout le moins, ils se traînent les pieds. » Une fois que l'Office des transports aura approuvé le projet, il faudra encore près de cinq ans pour construire la voie de contournement et être opérationnelle, a mentionné le porte-parole, après avoir consulté un récent rapport du CPKC. La voie de contournement devait au départ être opérationnelle en 2022, a-t-il rappelé. De son côté, la ministre fédérale des Transports, Chrystia Freeland, a rendu hommage aux victimes de la tragédie dans un communiqué. Elle a assuré que la voie de contournement restait une de ses priorités. « C'est la sixième ministre en titre aux Transports qui évoque les mêmes propos. Pendant ce temps-là, les années filent », a toutefois réagi M. Bellefleur.

La question qui tue au bureau d'information touristique
La question qui tue au bureau d'information touristique

La Presse

time4 hours ago

  • La Presse

La question qui tue au bureau d'information touristique

Simon Lafrance aide des touristes au bureau d'information touristique de Montréal à la place Jacques-Cartier. Où est-ce qu'on peut pêcher à Montréal ? François Morin, conseiller d'expérience au bureau d'accueil de Tourisme Montréal sur la place Jacques-Cartier, dans le Vieux-Montréal, doit souvent répondre aux mêmes questions. Mais parfois, on lui demande des renseignements inhabituels. Comme cette étudiante française nouvellement installée à Montréal, qui attend la visite de son papa pêcheur : « Où est-ce qu'on peut pêcher à Montréal ? » Le conseiller réfléchit quelques secondes et déplie une carte de Montréal pour montrer quelques sites : le parc de Dieppe, le parc de la Visitation, le parc des Rapides. Il ne veut toutefois pas s'avancer sur le processus d'achat de permis de pêche et dirige la jeune femme vers la section sur la pêche du site internet de Bonjour Québec. Il lui remet aussi la brochure de la Fédération des pourvoiries du Québec, pour plus de suggestions. « Ce genre de questions, ça nous stimule », lance François Morin après le départ de l'étudiante. PHOTO ÉDOUARD DESROCHES, COLLABORATION SPÉCIALE François Morin, conseiller sénior chez Tourisme Montréal, juge important de répondre à toutes les questions comme s'il les entendait pour la première fois. Les questions peuvent être très nichées. Il faut être prêt à chercher de petits trucs dans nos tiroirs. François Morin, conseiller sénior chez Tourisme Montréal Le matin même, un visiteur lui a demandé où se trouvait un orgue en particulier. François Morin l'a dirigé vers la basilique Notre-Dame, qui possède le plus grand orgue Casavant au monde. Plusieurs visiteurs sont passionnés de généalogie et cherchent, par exemple, à retrouver la tombe d'un ancêtre. Ce n'est pas facile. Il y a eu une série de cimetières à Montréal, mais les plus vieux sont un peu oubliés, on n'y retrouve plus de pierres tombales. Ainsi, le grand cimetière Saint-Antoine, où reposent 35 000 anciens Montréalais, n'est marqué que par quelques croix gravées sur les allées de la place du Canada et du square Dorchester. Un conseiller doit bien connaître l'histoire de Montréal. La plupart des questions des touristes sont toutefois plus prosaïques, à commencer par le bon vieux « Où sont les toilettes ? ». Une affichette sur le mur indique qu'il faut se rendre au marché Bonsecours, à quatre minutes de marche. Il y a également un code QR qui permet d'avoir accès à une carte des toilettes publiques du coin. PHOTO ÉDOUARD DESROCHES, COLLABORATION SPÉCIALE Le bureau d'information touristique de Montréal sur la place Jacques-Cartier Avant l'ouverture du bureau, le matin, les conseillers se rencontrent pour discuter de ce qui pourrait dominer la journée : la dernière fin de semaine de tel festival, l'horaire parfois compliqué des transports en commun en période de conflit de travail, etc. Lorsque les visiteurs se présentent en début de matinée, ils cherchent surtout à organiser leur journée, raconte M. Morin. Ils veulent donc avoir des suggestions de visites, de l'information sur les tours guidés. Je leur demande si c'est leur première fois à Montréal, s'ils ont des enfants, quels sont leurs intérêts. On ne veut pas recommander des choses qui ne les intéressent pas, mais on va aussi saupoudrer quelques idées autres. François Morin, conseiller sénior chez Tourisme Montréal C'est ainsi que plusieurs touristes affirment ne pas aimer les musées, raconte-t-il. Mais avec une quarantaine de musées à Montréal, il y a moyen de trouver quelque chose pour tous les goûts. Pendant l'entrevue, une dame se pointe dans le bureau pour demander où sont les toilettes les plus proches. Et où est la terrasse du Jardin Nelson. PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, ARCHIVES COLLABORATION SPÉCIALE La rue Wellington : une bonne suggestion de quartier à explorer hors du Vieux-Montréal Les conseillers cherchent à disperser les visiteurs au-delà du Vieux-Montréal, à les envoyer explorer d'autres quartiers. On parle du Plateau Mont-Royal, de la rue Wellington, du Jardin botanique, du mont Royal. « Ici, dans le Vieux-Montréal, c'est l'histoire, les débuts de la ville, les chapelles, les musées, déclare François Morin. Dans les quartiers résidentiels, on retrouve les parcs, les arbres. » En fin de journée, les visiteurs reviennent au bureau d'information pour des recommandations de restaurants ou de spectacles. Ils reviennent surtout s'ils sont contents de nos recommandations. Ils vont même demander le même conseiller. François Morin, conseiller sénior chez Tourisme Montréal Des dames se présentent justement au bureau pour savoir où aller pour observer de belles perspectives sur Montréal au coucher du soleil. François Morin leur suggère le Grand Quai du port de Montréal « à 20 h, 20 h 15 ». Car oui, un conseiller doit savoir à quelle heure se couche le soleil. Et puis, un couple d'Américains entre en coup de vent pour savoir où sont les toilettes. Un peu plus tard, des Espagnoles consultent une conseillère au sujet des choses à voir à l'extérieur de Montréal. Leur compréhension des distances est un peu limitée : elles aimeraient bien aller en Gaspésie, mais aussi à Mont-Tremblant, à Sherbrooke. Un conseiller doit être en mesure de dire : muy lejos (très loin). Les préposés du bureau de Tourisme Montréal connaissent un peu moins les destinations régionales. Ils vont donc souvent rediriger les visiteurs au centre infotouristique du ministère du Tourisme du Québec, à l'esplanade Tranquille, pour des renseignements plus précis. Et puis, une petite famille entre dans le bureau de Tourisme Montréal, mais pas vraiment pour s'informer : une jeune fille saigne du nez. Une conseillère lui offre de s'asseoir et sort la trousse de premiers soins pour chercher quelques pansements absorbants. « Vous pouvez rester ici aussi longtemps que vous voulez », fait-elle savoir. Un conseiller doit pouvoir faire preuve d'empathie.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store