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Mercato : Ismaël Koné officiellement prêté par l'OM à Sassuolo

Mercato : Ismaël Koné officiellement prêté par l'OM à Sassuolo

L'Équipe7 days ago
Le milieu de terrain Ismaël Koné a officiellement été prêté à Sassuolo ce mardi par l'OM. Le Canadien pourrait rester au sein du promu en Serie A sous certaines conditions.
Ismaël Koné a quitté l'OM pour Sassuolo ce mardi. Le milieu de terrain canadien a débarqué en Italie via un prêt avec option d'achat devenant obligatoire en cas de maintien des Neroverdi en Serie A. Ce prêt rapportera 2,5 millions d'euros à Marseille, qu'importent les résultats sportifs de Sassuolo en 2025-2026, et le club phocéen pourrait toucher 10 millions d'euros supplémentaires si l'option d'achat devient obligatoire. L'OM bénéficierait également d'un pourcentage à la revente sur un éventuel futur transfert.
Koné (23 ans) avait été acheté en juillet 2024 par l'OM pour 12 millions d'euros à Watford. L'international canadien (31 sélections) ne s'est pas imposé en Provence, ne disputant que 8 bouts de matches (388 minutes) avec Marseille avant d'être prêté au Stade Rennais en deuxième partie de saison en Ligue 1, où il a un peu plus joué (13 matches).
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time2 hours ago

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« Signez pour sauver l'Irlande ! » : Conor McGregor lance une pétition pour être candidat à l'élection présidentielle

Conor McGregor, star hautement contesté de l'UFC, a créé une pétition ce lundi pour appeler les Irlandais à le soutenir dans sa quête de candidature à la présidence de l'Irlande. Connor McGregor entame sa campagne. Loin des octogones - il n'a plus combattu depuis 2021 -, la star de l'UFC, champion des poids plumes et welters entre 2015 et 2018, a lancé lundi une pétition sur son compte X pour que les Irlandais le soutiennent dans son souhait d'accéder à l'élection présidentielle, qui aura lieu le 11 novembre prochain. McGregor (37 ans), reconnu coupable d'agression sexuelle - il vient de perdre son appel - avait fait part de cette nouvelle lubie politique en mars dernier. Mais pour briguer la présidence, la constitution irlandaise requiert vingt parrainages de parlementaires ou de quatre conseils de comtés. « Je vous implore donc de vous joindre à moi dans cette démarche en signant cette pétition » Conor McGregor « Ce système, bien que destiné à garantir une certaine influence politique parmi les candidats, restreint involontairement la voix directe de l'électorat irlandais, a-t-il écrit. Dans ce contexte, je propose une pétition demandant une modification du processus de nomination afin que mon nom puisse figurer sur le bulletin de vote. Je soutiens que les citoyens irlandais devraient avoir le droit absolu de choisir les candidats qui figureront sur le bulletin de vote présidentiel. Je vous implore donc de vous joindre à moi dans cette démarche en signant cette pétition. » Avant de scander : « Signez ma pétition pour sauver l'Irlande ! ». Le natif de Dublin en profite aussi pour tacler en lettres capitales le Premier ministre actuel, Simon Harris, qu'il juge « honteux », avant d'inciter à voter pour « n'importe quel candidat que ces traîtres, ces inhumains ». En bas du tweet, Conor McGregor a inséré un lien vers sa pétition publiée sur la plateforme qui recense, quelques heures après sa parution, un peu moins de 5000 signatures. Il reste encore du chemin.

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Alors qu'il était plutôt attendu à l'Atlético de Madrid, qui négociait depuis des semaines avec le VfB Stuttgart, l'international Espoirs français de 23 ans va rejoindre le club d'Al-Ahli. Après le Nantais Nathan Zézé (20 ans) et le Monégasque Saïmon Bouabré (19 ans), recrutés par le promu Neom, une autre promesse du football français s'apprête à débarquer en Arabie saoudite. Et pas n'importe laquelle : Enzo Millot, 23 ans, devenu un redoutable et redouté milieu offensif de Bundesliga dans les rangs du VfB Stuttgart. Au point qu'après des Jeux Olympiques réussis l'été dernier, avec une médaille d'argent à la clé, il a tapé dans l'oeil de Didier Deschamps et de son staff. « Millot et Akliouche sont-ils loin (des Bleus) ? Oui et non, c'est lié à la concurrence, avait dit DD en octobre. Ils sont en Espoirs, où l'équipe est relativement jeune. Mais il faut maintenir ce qu'ils font dans la durée. » Avec son salaire saoudien, Nathan Zézé serait le dixième joueur le mieux payé de Ligue 1 Hier, Al-Ahli, où évolue la vedette algérienne Riyad Mahrez, a fait un pas décisif pour rafler la mise Millot. Accord avec le joueur, proposition comprise entre 25 et 30 millions d'euros acceptée par Stuttgart : le club saoudien a surgi pour dépasser l'Atlético de Madrid, en pole-position sur le sujet pendant tout l'été. L'Atlético a trop laissé traîner Les négociations entre le club madrilène et l'institution allemande traînaient depuis plusieurs semaines, les Colchoneros s'appuyant sur une clause de départ autour de 20 millions d'euros. Mais celle-ci aurait expiré, ces derniers jours, et Al-Ahli ne s'est pas fait prier pour surenchérir. L'Arabie saoudite n'est pas une destination exotique pour Millot. Des intermédiaires avaient déjà exploré le marché pour lui l'année dernière. Sa saison 2024-2025, aboutie sous les ordres du jeune coach Sebastian Hoeness avec 12 buts et 8 passes décisives en 43 matches, toutes compétitions confondues, n'a pas refroidi les ardeurs saoudiennes, au contraire. Les JO ont accéléré sa maturation, comme il l'expliquait l'automne dernier à L'Équipe : « J'ai pris plus de responsabilités. On parle de déclic mais je pense que c'est quelque chose de naturel. C'est surtout de la confiance. Tu te sens plus libéré avec de la confiance, puis tu prends de l'expérience et tu arrives à mieux comprendre les choses. » Après les stars en fin de carrière, l'Arabie saoudite attire désormais les jeunes Il s'était fait connaître du grand public, au passage : « J'ai quitté Monaco très jeune (à 19 ans, en 2021, pour Stuttgart), donc les gens n'ont pas eu le temps de me découvrir en France. Je sens que ç'a permis de me faire découvrir aux yeux des Français, comme toute l'équipe. On a apporté quelque chose de fort. J'ai plus de sollicitations, même si ce n'est pas énorme, mais les gens s'arrêtent, discutent et prennent du temps avec moi. » Ce sera forcément différent du côté de Djeddah, et d'une Saudi Pro League parfois intransigeante avec les joueurs qui n'ont pas le statut de stars : Jhon Duran, Ruben Neves, Jota ou d'autres sont vite repartis en Europe.

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Pour la première fois depuis trente-cinq ans et la relégation du Racing, deux clubs de Paris évolueront en Ligue 1 cette saison. Leurs dirigeants entretiennent des relations bienveillantes. Mais le PSG reste attentif à l'essor de son voisin. Il est 9 heures et, en ce dimanche du mois d'août, le quartier du Parc des Princes n'est traversé que par le bruit du souffle des joggeurs, en route pour le bois de Boulogne, et le roulement des chariots de course des mamies du quartier. Les dix-neuf mètres de large de la rue Claude-Farrère qui séparent le stade Jean-Bouin et le Parc sont quasi vides. Devant l'entrée principale de l'enceinte du PSG, une petite queue s'est déjà formée pour attendre l'ouverture des visites officielles du stade. Photos devant les représentations des vainqueurs de la Ligue des champions, maillots Désiré Doué sur le dos, discussions sur la saison à venir : ici, l'actualité du PSG est partout. Celle du Paris FC nulle part. À dix jours de l'ouverture du Championnat, le derby parisien n'a pas encore commencé. Entre le géant champion d'Europe et l'ambitieux promu, la rivalité sportive n'existe pas. Du moins, pas encore. Mais en coulisses, comment les dirigeants se jaugent ? Depuis l'annonce de l'arrivée de la famille Arnault au PFC, et encore plus depuis la montée en L1 en mai, les dirigeants du PSG se félicitent de l'émergence d'un deuxième grand club francilien. Avec des éléments de langage très clairs autour d'une « concurrence saine » favorable au développement du football français. Les échanges ponctuels entre Nasser al-Khelaïfi et Antoine Arnault ont été bienveillants ces dernières années. En tribunes aussi, pas de match entre le Paris FC et le PSG Ces deux-là se croisent régulièrement. Signe de leur proximité, le Qatarien, qui mesure la place de LVMH dans le luxe français, a invité Antoine Arnault pour l'inauguration du Campus PSG en novembre. Et deux marques du géant français sont ou ont été associées au PSG : Dior est l'habilleur actuel des hommes de Luis Enrique et Berluti l'a été par le passé. Mais le patron du PSG entretient une relation encore plus étroite avec le groupe Red Bull, actionnaire minoritaire du Paris FC et notamment avec son homme fort, le directeur général Oliver Mintzlaff. Ces deux-là se parlent souvent, se croisent lors des réunions de l'UEFA ou autres et ont eu l'occasion d'évoquer le projet du PFC ces derniers mois. « Je soutiendrai le PSG, sauf évidemment deux fois par an » Antoine Arnault cet automne Au PSG, si l'on ne perçoit pas officiellement ce voisin comme une menace, on reste attentif sur la communication de celui-ci, avec un oeil particulier posé sur la marque Paris. Le PSG qatarien, depuis son arrivée il y a quatorze ans, s'est efforcé de coller, dans son approche commerciale, avec l'identité parisienne. Et plus largement banlieusarde. Pas question de la céder à son nouveau concurrent. Côté Paris FC, la communication d'Antoine Arnault et des dirigeants vis-à-vis du PSG n'a pas évolué ces derniers mois. À leur arrivée à l'automne, les nouveaux propriétaires s'étaient clairement positionnés, avec une volonté assumée et répétée de ne pas se placer dans une concurrence avec le voisin : « Le Paris-SG, c'est un club que j'aime depuis que j'ai 12 ans. J'ai été abonné de nombreuses années et j'ai la chance d'être invité désormais par mon ami Nasser (al-Khelaïfi) et vous ne m'entendrez jamais dire quelque chose de négatif sur le PSG, expliquait alors Arnault. C'est un club que j'admire, je n'exclus pas de soutenir deux clubs à Paris, au moins tant qu'on est en Ligue 2 c'est certain. Mais même le jour où, je l'espère, nous serons en Ligue 1. Je soutiendrai le PSG, sauf évidemment deux fois par an (*). Il y a absolument la place pour un autre club à Paris, qui aura une philosophie propre. » L'ère de la cohabitation entre les deux clubs a commencé. Si, dans les années à venir, le PFC grandit sportivement, une autre s'ouvrira.

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