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Nigeria : au moins 40 morts après des affrontements avec un gang armé dans le centre du pays

Nigeria : au moins 40 morts après des affrontements avec un gang armé dans le centre du pays

Le Figaro08-07-2025
Des membres d'un groupe armé ont tué au moins 40 membres d'un groupe d'auto-défense lors de l'attaque d'un village dans le centre du Nigeria et des affrontements qui ont suivi, dimanche, ont déclaré mardi des sources locales et la Croix-Rouge à l'AFP.
Le secrétaire de la Croix-Rouge de l'État de Plateau, Nuruddeen Hussain Magaji, a déclaré à l'AFP que «des centaines de miliciens d'auto-défense ont été pris en embuscade» dimanche dans le village de Kukawa.
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Cette attaque est survenue alors que les miliciens se regroupaient après des affrontements qui ont fait dix morts parmi les miliciens dans un village voisin, selon un habitant.
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Une touriste britannique agressée sexuellement dans les airs en Tunisie pendant une session de parachute ascensionnel
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Le Parisien

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Une touriste britannique agressée sexuellement dans les airs en Tunisie pendant une session de parachute ascensionnel

Une très mauvaise expérience. Une touriste britannique de 52 ans affirme avoir été agressée sexuellement dans les airs par un opérateur de parachute ascensionnel lors de ses vacances à Sousse, en Tunisie. Michelle Wilson raconte au Sun que l'homme avec qui elle se trouvait en tandem s'est collé à elle et l'a tripotée pendant leur session dans les airs. « Je me suis sentie violée, sale et j'avais peur », raconte-t-elle au tabloïd britannique. La mère de famille avait initialement prévu de faire ce vol en parachute ascensionnel avec un de ses amis, mais elle a finalement dû y aller avec un opérateur, pour des mesures de sécurité, en raison du vent. Si son amie qui a effectué le vol en premier a vécu une très belle expérience, Michelle a vécu un véritable cauchemar. « Je sentais qu'il tirait sur l'arrière de mon bas de bikini et il tirait sur la sangle. Il devait resserrer le harnais pour me rapprocher de lui. » [2/4] Cécile Vallin, les secrets d'une disparition Crime story raconte chaque semaine les grandes affaires criminelles. Écouter Contrairement à son amie qui était à une certaine distance de son tandem, Michelle s'est donc retrouvée collée au sien. « Ses jambes étaient à cheval autour de moi, il avait une main sur le parachute, et l'autre non. Puis je l'ai senti toucher ma jambe », raconte la quinquagénaire. « Je me sentais violée, sale et j'avais peur » « Il me tripotait, faisait des mouvements de va-et-vient en moi et me parlait en arabe. Je le sentais se coller contre moi. Je me cambrais sans cesse. Je me sentais violée, sale et j'avais peur », poursuit-elle, précisant qu'il s'agissait d'un garçon d'une vingtaine d'années. « C'était une expérience horrible et j'avais très peur. Je me sentais impuissante, suspendue dans les airs », déplore celle qui était venue en vacances avec sa fille de 17 ans, ses jumeaux de 16 ans et une amie de sa fille. À lire aussi Une touriste britannique meurt de la rage après avoir été « griffée très légèrement » par un chien errant au Maroc À peine la session de parachute ascensionnelle terminée, Michelle a fondu en larmes et a rapporté les faits auprès du directeur de la base nautique et de la police locale. Elle pense que son agresseur a été arrêté depuis, et que sa compagnie d'assurances et le ministère des Affaires étrangères participent à l'enquête.

Gaza : après le largage d'aide, Israël desserre l'étau (a minima) pour éviter la « famine généralisée »
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Gaza : après le largage d'aide, Israël desserre l'étau (a minima) pour éviter la « famine généralisée »

GAZA - Israël a réautorisé l'entrée partielle des marchandises privées dans la bande de Gaza assiégée et menacée de famine, a annoncé ce mardi 5 août le Cogat, un organisme du ministère de la Défense en charge de l'administration civile de ce territoire palestinien. « Un mécanisme a été approuvé pour reprendre progressivement et de manière contrôlée l'entrée de marchandises via le secteur privé à Gaza », indique un communiqué du Cogat. « L'objectif est d'augmenter le volume de l'aide entrant dans la bande de Gaza, tout en réduisant la dépendance à l'égard de la collecte de l'aide par l'ONU et les organisations internationales », selon la même source. Cette mesure est prise « suite à la décision du cabinet (du Premier ministre) d'élargir l'aide humanitaire et après un travail préparatoire mené par les services de sécurité ». Contrôle rigoureux des marchandises Pour « mettre en place ce mécanisme, le système de sécurité a approuvé un nombre limité de commerçants locaux, sous réserve de plusieurs critères et d'un contrôle de sécurité rigoureux », détaille le Cogat. Le paiement des marchandises « s'effectuera uniquement par virement bancaire, sous contrôle et supervision ». « Les marchandises approuvées comprennent des produits alimentaires de base, des aliments pour bébés, des fruits et légumes et des articles d'hygiène », affirme le Cogat. Toutes les marchandises seront soumises à un contrôle rigoureux par l'Autorité des passages terrestres du ministère de la Défense avant leur entrée dans la bande de Gaza, souligne cet organisme. Deux millions de Palestiniens assiégés L'armée israélienne, « par l'intermédiaire du Cogat et en collaboration avec les services de sécurité, continuera à mettre en œuvre des mécanismes de contrôle et de surveillance de l'entrée de l'aide dans la bande de Gaza, tout en prenant toutes les mesures possibles pour empêcher l'implication de l'organisation terroriste Hamas dans les processus d'acheminement et de distribution de l'aide », conclut le communiqué. Depuis le début de la guerre, Israël assiège plus de deux millions de Palestiniens entassés dans un territoire de 365 km2, déjà soumis à un blocus israélien depuis plus de 15 ans. Il a levé fin mai le blocus humanitaire total qu'il avait imposé début mars, mais n'autorise l'entrée que de quantités très limitées, jugées insuffisantes par l'ONU. Le territoire palestinien, totalement dépendant de l'aide humanitaire, est désormais menacé d'une « famine généralisée », selon l'ONU.

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Ils sont les premiers à mettre en œuvre l'accord. Le ministre néerlandais de la Défense, Ruben Brekelmans, a fait savoir, lundi, que les Pays-Bas allaient livrer à l'Ukraine 500 millions d'euros d'équipements militaires achetés aux États-Unis. Ils deviennent ainsi « le premier pays de l'Otan » à utiliser ce mécanisme, a-t-il précisé sur son compte X. Oekraïne heeft acuut meer luchtverdediging en munitie nodig. Nederland levert als eerste NAVO-land een pakket van €500 mln Amerikaanse wapensystemen (o.a. Patriot-onderdelen en raketten). Zodat Oekraïne de Russische agressie kan tegenhouden, ook voor de rest van Europa. 🇳🇱🇺🇦 — Ruben Brekelmans (@DefensieMin) August 4, 2025 Cette livraison va inclure des missiles et les systèmes de défense antiaérienne Patriot. « Ces armes sont extrêmement nécessaires » alors que « l'Ukraine continue de lutter quotidiennement pour se défendre contre les agressions russes, notamment les attaques de drones à grande échelle », a commenté le Premier ministre néerlandais, Dick Schoof, que son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, a appelé plus tôt lundi pour le remercier. Une fois financés, les colis d'aide seront livrés à l'Ukraine à travers des centres logistiques créés à cet effet. D'autres annonces espérées Mi-juillet, Donald Trump, qui multipliait les menaces de désengagement, a conclu un accord avec l'Alliance, impliquant que les États-Unis vont « envoyer » des équipements militaires à Kiev tandis que les membres de l'Otan vont « payer ». L'idée est que les différents pays de l'organisation achètent à Washington des armes et systèmes de défense qu'ils fournissent ensuite à l'Ukraine. VidéoTrump conclut un accord avec l'Otan pour livrer un « grand nombre d'armes » à l'Ukraine Dans la foulée ce lundi, le secrétaire général de l'Alliance, Mark Rutte, s'est réjoui « de voir les Pays-Bas prendre l'initiative et financer le premier lot d'équipements militaires américains destinés à l'Ukraine ». Il a dit, sur X, s'attendre à ce que d'autres membres de l'Otan fassent des annonces similaires prochainement.

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