
« On n'a pas pu me reconnaître, on était cagoulés » : les plus belles boulettes du petit banditisme francilien
banditisme
qui veut… Alors que Le Parisien vous relate chaque jour les plus grandes histoires de
ces professionnels du crime
, du vol ou de l'escroquerie, on oublie trop souvent les petites.
Ce sont celles que les policiers, les gendarmes, les avocats ou même les magistrats d'Île-de-France se racontent au café ou accoudés au bar, celles qu'ils se refilent sous le manteau, parce que « franchement, celle-là, elle est bonne ».

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Le Figaro
18 minutes ago
- Le Figaro
«Emmanuel Macron considère que pour être craint il faut être libre, mais en Algérie, nous ne sommes que des pleutres», cingle Pascal Bruckner
VIDÉO - Jeudi 17 juillet, s'est tenu la conférence de presse du Comité de soutien à l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, détenu en Algérie depuis maintenant huit mois. L'essayiste Pascal Bruckner a notamment pris la parole. «Ce n'est pas une question de moyen, c'est une question d'envie». La Maison de l'Amérique Latine accueillait ce jeudi matin le Comité de soutien à Boualem Sansal. Une conférence de presse réunissait son président Noëlle Lenoir, son porte-parole Arnaud Benedetti, Jean-Michel Blanquer, Georges-Marc Benamou, Xavier Driencourt, et Pascal Bruckner. Après huit mois de détention de l'écrivain franco-algérien, Pascal Bruckner a interpellé le gouvernement français sur «son impuissance volontaire». Il est clair que pour le philosophe, «ce ne sont pas les moyens qui manquent» à l'exécutif français, visant plus particulièrement le chef de la République. À lire aussi Face au silence des autorités françaises, les soutiens de Boualem Sansal veulent internationaliser leur mobilisation Publicité «Le premier coupable serait le président de la République» «C'est la volonté d'agir en faveur de cet écrivain pour qui Emmanuel Macron - il me l'avait assuré au mois de mars - allait tout faire et expliquait que c'était sa priorité», a martelé l'essayiste. «Emmanuel Macron a formulé récemment dans son discours du 14 juillet «être libre c'est être craint», je veux dire qu'en Algérie nous ne sommes pas craints nous sommes des pleutres, sans aucune envie de nous battre pour libérer un écrivain franco-algérien. Si par malheur, la vie de Boualem Sansal devait lui être ôtée, le premier coupable serait le président de la République française», a-t-il conclu.


Le Figaro
18 minutes ago
- Le Figaro
Un sexagénaire mis en examen pour des agressions sexuelles sur mineurs en France et à l'étranger
Entre 2008 et 2023, un homme âgé d'une soixantaine d'années aurait agressé sexuellement plusieurs jeunes garçons issus de son cercle d'amis. Une enquête est en cours. Un sexagénaire pédophile aurait sévi durant quinze ans à Paris, Megève, en Italie et en Anjou. Le 3 juillet dernier, une information judiciaire en lien avec cette sombre affaire a été ouverte pour «agression sexuelle sur mineur» (de plus de 15 ans et de moins de 15 ans), a appris Le Figaro auprès du parquet de Paris. Des jeunes garçons issus «de grandes familles» Le principal suspect, âgé d'une soixantaine d'années, aurait commis ces faits entre 2008 et 2023, poursuit le parquet, confirmant les informations du Parisien . L'individu en question a été interpellé à Chabris, dans l'Indre. Il a été mis en examen et placé en détention provisoire. Publicité Il y aurait plusieurs victimes. Sept au total, assure le quotidien régional, qui précise qu'aucun des faits n'aurait été commis dans l'Indre. Toujours d'après nos confrères du Parisien, cet homme aurait ciblé de jeunes garçons dont certains appartiendraient à «de grandes familles» issues de son cercle d'amis. L'enquête, toujours en cours, a été confiée à la Brigade de protection des mineurs (BPM).


Le Figaro
18 minutes ago
- Le Figaro
Affaire Le Scouarnec : une information judiciaire ouverte pour non-empêchement de crime
Une information judiciaire a été ouverte vendredi par le parquet de Lorient, pour abstentions volontaires d'empêcher des crimes et délits à la suite du procès de Joël Le Scouarnec. Nouveau rebondissement dans la tentaculaire affaire Le Scouarnec. Le parquet de Lorient a annoncé vendredi 18 juillet l'ouverture d'une information judiciaire pour abstentions volontaires d'empêcher des crimes et délits à la suite du procès de l'ex-chirurgien reconnu coupable fin mai de viols et agressions sexuelles sur près de 300 patients. «Je vous confirme avoir requis en juin 2025 (...) l'ouverture d'une information judiciaire contre X des chefs d'abstentions volontaires d'empêcher des crimes et délits contre l'intégrité physique des personnes», a indiqué Stéphane Kellenberger, procureur de Lorient, confirmant une information du quotidien Ouest-France. Publicité «À la suite de l'enquête préliminaire initiée par mes soins en 2020 sur ces mêmes qualifications, cette saisine va permettre au magistrat instructeur de diligenter, dans ce cadre, tous actes utiles complémentaires, notamment aussi à la lumière des éléments issus du procès» qui s'est tenu devant la cour criminelle du Morbihan de fin février à fin mai, a ajouté le magistrat. Un procès qui avait mis en lumière des «dysfonctionnements» Lors du procès, le Conseil national de l'Ordre des médecins (CNOM), qui s'était constitué partie civile, avait notamment dit «regretter» les «dysfonctionnements» ayant permis au chirurgien de poursuivre sa carrière pendant plus d'une décennie après une première condamnation pour pédocriminalité en 2005. Selon Stéphane Kellenberger, cité par Ouest-France, il faut distinguer «ce qui pourrait relever de la responsabilité civile ou administrative et de la responsabilité pénale. Il y a ceux qui savaient mais qui, peut-être pas sciemment, ont fait preuve de négligence». Pendant le procès, une nouvelle «enquête préliminaire concernant des victimes éventuellement non identifiées ou nouvellement déclarées» du pédocriminel avait été ouverte. Joël Le Scouarnec a été condamné le 28 mai à 20 ans de réclusion par la cour criminelle du Morbihan à l'issue de presque trois mois d'un procès particulièrement éprouvant à Vannes. Publicité Jeudi, le collectif de victimes de l'ex-chirurgien a annoncé la création d'un numéro vert pour apporter une aide aux victimes, mais aussi aux co-victimes (parents, enfants) et aux «professionnels de cette affaire», comme les avocats, magistrats, policiers ou journalistes.