Cyclisme - Arctic Race of Norway : Le résumé de la 3e étape en vidéo
Tom Pidcock (Q36.5) a remporté la troisième étape de l'Arctic Race of Norway ce samedi. Mais le Britannique n'a pas créé d'écart sur la ligne avec le leader du classement général, Corbin Strong (Israel-Premier Tech).
À voir sur L'Équipe
L'étape pour Pidcock, Strong reste en jaune
Le résumé de la 2e étape
Kristoff remporte la 2e étape
Cyclisme sur route - Le replay de la 2e étape
Le résumé de la première étape de l'Arctic race of Norway
La première étape pour Corbin Strong
Le replay de la 1ère étape
Pauline Ferrand-Prévôt prend le maillot jaune après sa démonstration dans l'étape reine
Montmartre doit-il devenir un incontournable de la dernière étape du Tour ?
Le Tour de France fait un carton d'audience sur France Télévisions
Jordan Jegat : « J'ai tout donné, je n'ai aucun regret »
Emmanuel Hubert : « Kévin Vauquelin a vécu un grand Tour »
Gianetti : « Van Aert est seul à avoir distancé Pogacar »
Joly imagine déjà une tradition à Montmartre
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


L'Équipe
21 minutes ago
- L'Équipe
« Après l'OM, ce n'est pas du tout une régression » : Quentin Merlin satisfait d'avoir rejoint Rennes
Présentée lundi, la recrue Quentin Merlin a affirmé avoir « un choix de carrière pour aller plus loin » en signant à Rennes, en provenance de l'OM. Quentin Merlin, présenté lundi en conférence de presse : « Le Stade Rennais est un club ambitieux, attractif. J'ai beaucoup discuté avec le directeur sportif, le président et le coach. Pour la suite de ma carrière, c'était important d'avoir des responsabilités plus importantes, comme j'ai pu le vivre en équipe de France Espoirs, avec le brassard. Être plus important dans le vestiaire et dans l'équipe. Pour moi, après l'OM, ce n'est pas du tout une régression. C'est vraiment un choix de carrière pour aller plus loin, m'aguerrir, apprendre beaucoup de choses. C'est un choix évident. Avoir joué à Nantes ? Non, ce n'était pas un frein. C'est ma carrière et je veux dominer ma carrière comme je veux. C'était le bon choix de signer au Stade Rennais. J'espère faire la même chose qu'Adrien Truffert (son prédécesseur au poste d'arrière gauche), voire plus. »


Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
Football : la LFP donne le coup d'envoi des offres d'abonnements de sa plateforme Ligue 1+
Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Créée en à peine deux mois par la Ligue de football professionnel, cette nouvelle plateforme sera distribuée par la plupart des opérateurs et des services de streaming, à l'exception de Canal+, à partir de 9,99 euros par mois. Ligue 1+ part à la conquête des amateurs de foot. La plateforme créée par la Ligue de football professionnel (LFP) a lancé depuis ce lundi ses offres d'abonnements. Comme indiqué le mois dernier, celles-ci vont de 14,99 euros par mois avec un engagement de douze mois à 19,99 euros par mois sans engagement. Une formule spéciale pour les moins de 26 ans est prévue à 9,99 euros. Et les souscripteurs qui se décident pour l'année avant le 31 août pourront eux aussi bénéficier d'un tarif promotionnel de 9,99 euros pendant trois mois. L'été a été court pour les dirigeants de la LFP, chargés de concevoir la plateforme en seulement quelques semaines. « Nous avons relevé ce défi technique et commercial en un temps record », s'est félicité Nicolas de Tavernost, directeur de la filiale commerciale de la Ligue de football professionnel. Après la rupture prématurée du contrat passé l'an passé avec la plateforme de streaming DAZN, la LFP n'a eu d'autre choix que de recourir à cette démarche inédite…


L'Équipe
an hour ago
- L'Équipe
La Serbie rouleau compresseur, la France en rodage : où en sont les favoris de l'Eurobasket après le début de la préparation ?
À deux semaines du début de l'Eurobasket (du 27 août au 14 septembre), la préparation bat son plein pour les prétendants au titre, dont certains ne sont pas encore au complet. Entre victoires écrasantes et défaites qui interpellent, les états de forme varient parmi les favoris. Trois ans après le sacre de l'Espagne contre la France à Berlin, les meilleures équipes européennes vont de nouveau s'affronter pour le titre continental, du 27 août au 14 septembre. Deux compétitions majeures se sont déroulées depuis et c'est une Allemagne championne du monde en titre, une équipe de France vice-championne olympique et une Serbie doublement médaillée (argent mondial et bronze olympique) qui vont se présenter pour tenter ravir l'or aux Espagnols. Pour la quatrième édition d'affilée, l'Euro se jouera dans quatre pays : la Lettonie, Chypre, la Finlande et la Pologne. À un peu plus de deux semaines du début du tournoi, la plupart des équipes engagées ont déjà bien entamé leur préparation, avec plus ou moins de succès. Qui s'est démarqué ? Qui est en reconstruction ? Qui attend du renfort ? Tour d'horizon des principaux prétendants au titre. Ils impressionnent déjà Présentée comme la favorite du tournoi par le sélectionneur de l'Allemagne Alex Mumbru, la Serbie a connu un début de préparation sans accroc avec quatre victoires, dont deux cartons face à la Bosnie-Herzégovine (126-89) et Chypre (122-55) mais aussi des succès face à des adversaires plus relevés comme la Pologne (79-67) et la Grèce (76-66). Avec leurs nombreux joueurs NBA, dont le triple MVP Nikola Jokic (23 points et 19 rebonds contre la Grèce), les médaillés de bronze des JO 2024 sont déjà prêts à partir à la conquête de l'or européen. En l'absence de plusieurs cadres laissés au repos, l'Allemagne a dominé la Slovénie (103-89) en match amical, avant de doubler la mise deux jours plus tard (80-70). Franz Wagner (35 points sur les deux rencontres) est déjà en forme et Dennis Schröder a été désigné MVP du deuxième match (18 pts, 2 rbds, 6 passes). Même sans Isaiah Hartenstein, les champions du monde sont redoutables. Il leur reste quatre matches - contre la Turquie, la Serbie ou la République tchèque, et l'Espagne à deux reprises - pour parfaire leur préparation avant le début de l'Euro. Ils cherchent leurs repères Titrée lors de quatre des six dernières éditions, l'Espagne n'a plus la même équipe qu'en 2022 ou même aux JO l'été dernier. Après une défaite historique contre le Portugal (74-76) pour lancer sa préparation, la Roja s'est rattrapée face à la République tchèque (87-73) mais ce sont surtout les doubles confrontations à venir contre la France (le 14 août à Badalone, le 16 à Paris) et l'Allemagne qui lui permettront de se jauger. La France se présente, elle aussi, avec une équipe remaniée par rapport aux JO 2024 et devra faire sans Victor Wembanyama, Evan Fournier et Rudy Gobert. Après deux victoires poussives contre le Monténégro (86-75) et la Grande-Bretagne (74-67), les Bleus d'Alexandre Sarr et Zaccharie Risacher vont passer aux choses sérieuses avec leurs deux rencontres face à l'Espagne et un dernier match de préparation contre la Grèce (le 24 août à Athènes), à quatre jours de leur entrée en lice. Ils dépendent de leur star Malgré l'apport d'un Luka Doncic plus affûté que jamais (19 points), la Slovénie s'est inclinée contre l'Allemagne (89-103), et a encore cédé, sans son joueur star, face au même adversaire (70-80). Il ne lui reste que deux matches pour se régler, face à la Lituanie et la Lettonie, avant d'entamer son Euro en Pologne, dans le groupe de la France. La Grèce, elle, n'a toujours pas pu compter sur Giannis Antetokounmpo et s'est inclinée face à la Serbie (66-76) et, plus inquiétant, contre Israël (58-75) après une victoire face à la Belgique (74-60). Son sort à l'Euro dépendra beaucoup de l'apport du « Greek Freak ».