
« Drag Race France » : Marion Cotillard va rejoindre le panel de juges le temps d'un épisode
« Cette semaine, l'une des plus grandes actrices françaises et égérie iconique rejoint le jury de Drag Race France pour un Ball comme vous n'en avez jamais vu », a annoncé France Télévisions dans un message publié sur ses réseaux sociaux et assorti d'une photo du jury de l'émission accompagnée de Marion Cotillard. Cette dernière va découvrir le casting cinq étoiles de cette saison « All Stars » où dix reines des saisons précédentes retentent leur chance de décrocher la couronne.
Si l'actrice de La Môme (2007), d' Inception (2010) ou de Deux Jours, une nuit (2014) est la première lauréate d'un oscar à venir juger les reines, d'autres actrices ont déjà rejoint le panel le temps d'un épisode. Pour la saison 2, Nicki Doll avait pu compter sur l'aide de Rossy de Palma et d'Amanda Lear, tandis que Béatrice Dalle, Virginie Efira et Diane Kruger avaient été des « juges invitées » dans la troisième saison.
Les queens attendues au tournant pour le « ball »
Marion Cotillard va devoir départager les reines lors d'un challenge… de couture. Lors du « super-ball », teasé à la fin du premier épisode, les participantes devront défiler dans leurs plus belles tenues en répondant à des thèmes donnés. Si elles peuvent apporter des tenues déjà prêtes pour plusieurs des catégories, elles doivent aussi en fabriquer une directement dans l'atelier… ce qui peut donner lieu à des looks plus ou moins réussis.
Les reines pourraient être difficiles à départager cette année : plusieurs d'entre elles sont connues pour leur talent en mode et en couture. On peut citer pêle-mêle Kam Hugh, gagnante du « ball » de la saison 1, ou encore Punani, Mami Watta et Misty Phoenix qui s'étaient bien débrouillées dans leurs saisons respectives. Les queens devraient aussi se méfier d'Elips, couturière hors pair et connue pour créer elle-même ses tenues.
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21 minutes ago
- Le Figaro
«Non, le Musée Guimet n'a pas cédé à de quelconques pressions chinoises»
TRIBUNE - Quatre associations en faveur de l'indépendance du Tibet ont porté un recours devant le tribunal administratif de Paris contre le musée Guimet, l'accusant d'avoir effacé le nom «Tibet» de ses murs. C'est une attaque infondée car basée sur des arguments plus politiques que culturels et scientifiques, répond la direction du musée. Yannick Lintz est présidente de Guimet - musée national des arts asiatiques. Pierre Baptiste est directeur de la conservation et des collections. Anne Yanover est directrice de la programmation et du public. Lise Mesz est directrice de la Villa Guimet, centre international de recherche sur les arts asiatiques. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié La tentation est grande de penser le musée comme un lieu replié sur lui-même, qui serait par nature hermétique aux vicissitudes du monde. Depuis son invention, le musée a toujours été une chambre d'écho des enjeux qui traversent les sociétés. Depuis le mois de septembre 2024, le musée Guimet, à Paris, fait l'objet d'une polémique qui se traduit aujourd'hui par un recours porté devant le tribunal administratif par quatre associations en faveur de l'indépendance du Tibet basé sur des arguments plus politiques que culturels et scientifiques. Publicité Si nous entendons les revendications de ces associations, nous voulons leur rappeler que ces accusations ne sont pas fondées et n'ont aucun lien avec notre rôle et nos missions. Ce n'est pas la première controverse qui bouscule une institution culturelle, et ce ne sera, hélas, pas la dernière. Souvenons-nous de celle qui visait à instrumentaliser le Palais de Tokyo et son exposition de Miriam Cahn à des fins tristement idéologiques. Que reproche-t-on, au juste, au musée Guimet ? De vouloir invisibiliser la culture tibétaine et effacer le Tibet de la carte. 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