
Peintre de génie et criminel en fuite – Le destin romanesque du Caravage
L'artiste a 35 ans et déjà livré nombre de chefs-d'œuvre lorsqu'il donne la mort lors d'un duel. Rome le condamne, il part en exil. Publié aujourd'hui à 12h09
Le Caravage (1571-1610) – ici dans un montage de ses œuvres – n'a pas toujours été la célébrité qu'il est aujourd'hui, ni seulement le génie du clair-obscur.
Imago-Gemini collection-Montage Tamedia-F.G.
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Articles connexes


24 Heures
an hour ago
- 24 Heures
Pionniers de la TV culinaire (6/6)
La plus truculente des cuisinières télévisuelles laisse maintes séquences cultes. Hommage et morceaux choisis. Publié aujourd'hui à 17h11 Maïté en pleine action, pour son 70e anniversaire, dans son auberge landaise. IMAGO/ABACAPRESS En bref: On ne pouvait achever cette série sur les précurseurs de la cuisine télévisuelle sans évoquer le cas Maïté. Plus que nulle et nul autre, la solide Gasconne laisse à la postérité une ribambelle de séquences cultes. Le tabassage à mort bien gore d'une pauvre anguille, par exemple, suivi de son dépeçage burlesque à quatre mains. Ou la dégustation goulue et sonore d'un petit oiseau protégé, l'ortolan, dégoulinant de graisse: «Mmmh! Je commence à le prendre et à lui sucer le derrière…» Maïté, c'est une gentille force de la nature. Elle a la gouaille rocailleuse et du bon sens à revendre. Plus quelques centaines de recettes dans sa besace; des recettes sans chichi mais avec de la graisse de canard, à faire collapser un diététicien: le camembert rôti et magrets au miel, le cassoulet, la poule farcie au jambon ou l'entrecôte à la moelle. Son ingrédient chouchou, c'est le foie gras; sa technique favorite, le flambage pyrotechnique à l'armagnac. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Marie-Thérèse Ordonez de son vrai nom a déjà embrassé la quarantaine quand elle accède à la renommée médiatique. «Née dans les bois», comme elle le disait, à Rion-des-Landes en Aquitaine, elle va à l'école en sabots. Sept kilomètres quotidiens. Elle devient bonne à Paris, puis, deux décennies durant, annonceuse à la SNCF. Entendez qu'elle prévient à coups de trompette les ouvriers sur les voies de l'arrivée d'un train. Duo vigoureux À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. À midi, elle cuisine pour les cheminots et le chef de gare sur un petit réchaud. Et puis pour la 3e mi-temps de l'équipe de rugby du coin. C'est là que la remarque un producteur de la télé qui, flairant le potentiel du personnage, lui offre un écrin: «La cuisine des mousquetaires», une émission diffusée à partir d'octobre 1983, d'abord sur FR3 Aquitaine, puis sur France 3. Avec son assistante très comme il faut, Micheline Banzet-Lawton, elle forme un duo improbable autant que vigoureux qui tranche avec les émissions féminines d'alors. Il y aura un millier d'épisodes et des millions de fans. Surfant sur la vague de la notoriété (image improbable concernant la dame), Maïté fait du théâtre, de la radio, un peu de cinéma («Le fabuleux destin de Madame Petlet») et de la pub pour Bonux. Le slogan? «Y a pas écrit bécasse ici!» Mythique. Elle publie des recueils de recettes à succès et ouvre deux restos successifs dans son bourg de naissance. En décembre dernier, elle s'éteint à l'Ehpad de Rion-des-Landes à l'âge de 86 ans. À l'annonce de la nouvelle, nous sommes sans doute quelques-uns à avoir sifflé son juron préféré: «Putain de moine!» Précurseurs de la TV culinaire Newsletter «Gastronomie & Terroirs» «24 heures» suit depuis toujours l'actualité gastronomique et culinaire. Recevez, chaque vendredi, une sélection d'articles sur la restauration, la cuisine, les produits du terroir et le vin. Autres newsletters Jérôme Estèbe dirige la rubrique culturelle et le supplément du week-end. Il couvre, en particulier, les sujets gastronomiques et œnologiques. Il est titulaire du prix du journalisme local de la Berner Zeitung millésime 2002. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
4 hours ago
- 24 Heures
Mika, Helmut Fritz, IAM et Sheila: le Venoge Festival s'est terminé en beauté dans une dernière soirée décalée
Accueil | Culture | Festivals | Le Venoge Festival a clôturé samedi sa 30e édition, dans l'ambiance décalée et festive qui fait sa marque de fabrique. Helmut Fritz était à l'affiche. Interview. Julie Queloz Publié aujourd'hui à 14h06 Le Venoge Festival a fêté ses 30 ans dans une ambiance conviviale et caniculaire. Davide Gostoli En bref: Il est minuit 27 passées ce jeudi soir, quand la scène prend des allures d'ovni musical. Pour ce «Minuit 27 Club», entre sur la scène Riverstage Laroche Valmont. Le chanteur de «T'as le look coco», visiblement bloqué dans les années Club Dorothée – dont lui seul semblait se souvenir avec tant de passion – enchaîne anecdotes et refrains d'une époque révolue. Suivra Leopold Nord dans une même ambiance. Et là pourtant, miracle champêtre: jeunes et moins jeunes se laissent happer, jusqu'à accepter de former une immense queue leu leu en plein champ de Penthaz. Voilà sans doute l'image la plus improbable du festival: une génération TikTok dansant main dans l'épaule avec des millennials, sous la houlette d'une icône eighties nostalgique. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Mais l'événement de la soirée pour ce medley passéiste fut bien Helmut Fritz. Plus jeune que ses comparses, il incarne à lui seul l'esprit du Venoge: un brin décalé, explosif, mais aussi intime et terriblement fédérateur. Dès qu'il s'empare du micro, l'homme derrière le tube «Ça m'énerve» rallume la flamme d'un dancefloor improvisé. En quelques minutes, la petite scène se transforme en club électropop à ciel ouvert, où tout le monde chante à pleins poumons des paroles connues par cœur. Moment suspendu. Jason Derulo façon Las Vegas Des moments hors du temps, il y en eut d'autres pour cette 30e édition qui a attiré 50'000 festivaliers et affiché deux soirées sold out – vendredi et samedi –, «une affluence jamais atteinte jusqu'ici», se félicitent les organisateurs. Bigflo & Oli, Sean Paul, Mika, Sheila, SCH , Jock'Air, Sens Unik … en têtes d'affiche. Vendredi, c'est Jason Derulo, superstar au show calibré façon Las Vegas, qui a transporté la foule dans une autre dimension. Entre danseurs, hits planétaires et énergie XXL, le contraste avec l'intimité d'Helmut Fritz était saisissant, mais c'est exactement ça, le Venoge: des montagnes russes émotionnelles. La preuve encore avec IAM et leur inusable «Mia» repris par des milliers de voix, ou UB40, qui a transformé le champ en petit Woodstock revisité. Assis dans l'herbe, on observait la foule onduler tranquillement au rythme du reggae, comme si le temps s'était arrêté. Et que dire de Sheila? À quelques jours de ses 80 ans, la chanteuse a donné une leçon d'énergie sous une canicule implacable, mettant K.-O. la moitié des trentenaires du public. Respect éternel. «Malgré des conditions météorologiques extrêmes, le festival a tenu bon: brumisateurs, zones d'ombre, points d'eau, prévention active… Le bilan sanitaire et sécuritaire n'a aucun incident majeur à signaler, s'est félicité le festival à l'heure du bilan. Et si la chaleur a fait transpirer, elle a aussi sublimé les couleurs des couchers de soleil sur les champs de Penthaz, renforçant le cadre bucolique de l'open air.» La preuve pendant toute la semaine. Une chose est sûre: au Venoge, on ne vient pas seulement pour écouter des concerts, on vient pour vivre des soirées délicieusement improbables. Improbables comme l'affiche du jeudi soir, qui faisait cohabiter Sean Paul et Murray Head sans que personne ne trouve à redire. Avec ce dernier, le public semblait transporté dans un autre monde - une sorte de «One Day in Venoge» - admirant la scène, les lumières et la foule comme si chaque instant était unique. Ambiance champêtre Improbables aussi comme ces instants volés en marge des scènes: trinquer sur une botte de paille sous les lanternes, se faire tatouer entre deux concerts, ou se perdre sur l'immense place du festival au milieu des stands de nourriture où les habitués finissent par tutoyer les tenanciers. Car le Venoge, c'est ça: une ambiance à part. Moins effervescente que Paléo, moins chic que Montreux, mais avec une identité unique, celle d'un festival qui assume son ancrage rural et son côté décontracté. Ici, on marche à travers champs depuis le parking sans râler. On s'assoit dans l'herbe, un verre à la main. Un festival où, finalement, chacun «kiffe sa life». La Suissesse Vendredi sur Mer a condensé cette atmosphère à elle seule lors de son concert, déployant cette joie douce et contagieuse qui fait la signature du Venoge. «On dirait que tout le monde est juste heureux d'être là», commentait un festivalier, planté en bord de foule, les yeux ébahis par cette énergie qui semblait se propager de personne en personne. À ce moment précis, le tableau qu'il avait sous les yeux résumait parfaitement et simplement la vibe singulière du Venoge. «Helmut est mon superhéros, mon costume qui me désinhibe» Helmut Fritz, jeudi, a donné le ton d'une soirée régressive et vintage. DR Comment est né ton personnage d'Helmut Fritz? J'ai écrit le morceau avec la voix de Karl Lagerfeld dans la tête, il fallait donc un sobriquet qui sonne allemand et j'ai cherché le nom germanique le plus improbable qu'il soit. Il y a eu peut-être quelque chose d'inconscient avec Fritz dans la grande vadrouille. Et Helmut… Honnêtement, je ne sais pas comment il est sorti. Deux fils se sont touchés dans mon cerveau, et le nom est né. Après plus de 15 ans, c'est facile pour toi de te remettre dans le rôle d'Helmut? Oui, pour deux raisons. La première, c'est que je l'ai un peu transformé pour l'amener vers un fantasme de rock star, aussi bien dans le look que dans l'énergie, qui n'est plus tout à fait celle que je développais et que je montrais à l'époque. Helmut est mon superhéros, mon costume qui me désinhibe complètement et me fait devenir dingue sur scène. Et aussi par rapport à la réponse du public, qui est toujours autant extraordinaire. Le public a envie de s'énerver dans le bon sens en sautant en l'air, dansant, hurlant. C'est quoi ton tube nostalgie des années 2000? C'est dur ça! J'en ai plein… Je vais dire «Dieu m'a donné la foi», d'Ophélie Winter. Ta plus grosse folie en concert? Je ne sais pas si elle est avouable au micro! Je pense que c'était à Genève, dans un club qui n'existe plus, qui s'appelait le ByPass. électrifié par l'ambiance et quelques verres en trop, j'étais monté sur scène avec mon peignoir baroque que je portais dans le clip. Sauf que j'avais oublié de mettre un slip en dessous. Et donc j'étais un peu dans le même état qu'Anthony Kiedis à un concert des Red Hot Chili Peppers. Mais sans l'étiquette de la rock star… On peut espérer un retour d'Helmut? Tout de suite je te dirais non, car je n'ai pas cherché à avoir de l'inspiration. Mais si dans un ou deux ans je sens qu'il faut réveiller le monstre pour lui faire dire quelque chose, je ne me gênerai pas. Et toi, qu'est-ce qui t'énerve le plus? Ta question, on me la pose beaucoup trop! Plus sérieusement, je dirais le fait qu'on ne se regarde plus. On est rivés sur nos téléphones, où qu'on soit, quoi qu'on fasse. Un peu comme des zombies avec un cou de tortue… Ça fait du bien de relever la tête, de se regarder, aller un peu vers l'autre. On ne le fait plus beaucoup, et ça, ça m'énerve. À lire aussi Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
4 hours ago
- 24 Heures
La folle rentrée de Léa Salamé au 20 Heures de France 2
C'est la star du mercato audiovisuel français de l'été! Ambitieuse et libre, la journaliste prendra les rênes du 20 Heures de France 2 ce 1ᵉʳ septembre. Prouvant ainsi que rien ne l'arrête, même pas les intentions politiques de son compagnon, Raphaël Glucksmann. Jennifer Segui Publié aujourd'hui à 14h21 Léa Salamé en juillet dernier, juste avant la conférence de presse au cours de laquelle sa «reprise» du 20 Heures a été annoncée. Dimitri Dilkoff/AFP Tous les parents connaissent ce tiraillement. Ce cruel marronnier de la fin d'été. Ce déchirement quand il s'agit de choisir lequel des parents accompagnera son enfant de retour sur les bancs de l'école après la longue pause estivale. Il y a fort à parier que pour Léa Salamé , la question soit, comme dirait l'autre, «vite répondue». Le 1er septembre, jour de rentrée pour des millions d'élèves français, la journaliste aura fort à faire. Le soir même, à 20 heures précises, elle prononcera pour la première fois la formule magique du grand raout de l'info du soir: «Madame, Monsieur, bonsoir!» C'est donc très certainement au milieu de son équipe, dans les immenses bureaux de la chaîne publique française, que celle qui est aussi la maman de Gabriel, 8 ans, s'activera dès potron-minet loin des cahiers d'écoliers. Il y a deux ans, alors déjà à la tête de la matinale de France Inter, Léa Salamé, d'ordinaire peu prolixe quand il s'agit de parler de sa vie privée, avait laissé filtrer quelques confidences lors d'une interview à RTL. La voix nouée, elle avait confié quelques mots sur son dilemme personnel autour de la récente rentrée de son fils, né de sa relation avec l'homme politique Raphaël Glucksmann: «Mais ne m'en parlez pas, parce que c'est ma blessure. Il est rentré en CP et je n'ai pas pu faire l'aller, mais j'ai fait le retour. Je ne l'ai pas accompagné, c'est mon compagnon qui s'en est chargé. Je vous assure que quand il m'a envoyé la photo [de Gabriel] avec son cartable et que moi, j'étais à la radio, je n'en menais pas large…» Léa Salamé, une femme comme les autres… ou presque Léa Salamé et son ami Nicolas Demorand coaniment avec succès le 7/10 de France Inter: la dernière saison affiche des records d'audience avec quelque 5 millions d'auditeurs accrochés chaque jour à leur radio. Ici, en 2022, ils recevaient le président, Emmanuel Macron. Ludovic Marin/AFP Future reine du 20 Heures , animatrice du talk-show «Quelle Époque» chaque samedi soir… Léa Salamé est donc, à 45 ans, presque une femme comme les autres. Une sacrée ambition chevillée au corps en plus. Ultrabosseuse, la Franco-Libanaise mène tout de front. Et ose. En juillet dernier, l'annonce de son nom pour succéder à Anne-Sophie Lapix surprend. Son talk-show du samedi soir, «Quelle Époque», marche bien. Depuis près de huit ans, celle qui a fait ses premiers pas de journaliste sur France 24 et I-Télé coanime avec Nicolas Demorand le 7/10 de France Inter. Le duo cartonne, la dernière saison affiche des records d'audience avec quelque 5 millions d'auditeurs accrochés chaque jour à leur radio. Pour lui dire au revoir, son coanimateur, devenu son ami, aura ces mots touchants: «Merci pour tout, Léa, pour la grâce, pour la générosité, pour le rire, pour les colères, pour les coups de cœur, pour les fulgurances… Pour tout ce qui fait que tu es toi, puissante, aimante, douce.» Le 20 heures, une offre qui ne se refuse pas Parce que le 20 Heures ne se refuse soi-disant pas, Léa la puissante a donc finalement dit oui à un poste qu'elle n'a visiblement pas sollicité, malgré un salaire de 25'000 euros mensuel: «Le JT, j'en ai jamais rêvé, dans ma tête, c'était pas pour moi, pas le style, pas le physique. Je te jure, je tortille pas du cul, ça s'est fait à la dernière minute», déclarait-elle au quotidien «Libération» avec le franc-parler qui la caractérise. À la tête de ce grand rendez-vous de l'info, la fille de bonne famille née à Beyrouth et exilée en France à l'âge de 5 ans pour fuir la guerre du Liban aura à composer avec les ambitions politiques de son compagnon. Depuis dix ans, l'essayiste Raphaël Glucksmann, député européen et leader du mouvement Place publique, probable candidat à l'élection présidentielle française de 2027, partage en effet sa vie. En couple avec le député européen et leader du mouvement Place publique Raphaël Glucksmann, Léa Salamé n'a pas hésité à mettre sa carrière entre parenthèses pour éviter tout risque de conflit d'intérêts lorsque son amoureux menait campagne aux élections européennes de 2019. Imago/Abacapress En 2019 déjà, cette relation l'avait incitée à se retirer de la matinale d'Inter et de «L'Émission politique» qu'elle présentait sur France 2. Comme ses consœurs Anne Sinclair, Christine Ockrent, Béatrice Schönberg ou encore Audrey Pulvar, qui, selon une habitude bien française, partageaient l'existence d'hommes politiques en vue, Léa Salamé avait décidé de se mettre en retrait, histoire de balayer tout conflit d'intérêts. Un geste que l'homme de gauche Raphaël Glucksmann avait consenti à commenter dans «C l'hebdo» sur France 5: «Ça me bouleverse, pour dire la vérité. C'est sa décision. Elle décide que sa déontologie de journaliste, le fait d'être au-dessus de tout soupçon, c'est le plus important. Moi, personnellement, ça me pose un problème.» Avant d'ajouter: «Je pense que c'est un acte d'amour incroyable. Parce que c'est quelqu'un qui a toujours placé son travail au-dessus de tout dans sa vie.» Huit ans plus tard, les mêmes causes auront-elles les mêmes effets? À voir! Lire aussi Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.