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Jude Bellingham opéré d'une luxation récurrente de l'épaule gauche, une absence estimée à trois mois

Jude Bellingham opéré d'une luxation récurrente de l'épaule gauche, une absence estimée à trois mois

L'Équipe16-07-2025
Gêné par une luxation récurrente à l'épaule gauche, Jude Bellingham a été opéré avec succès. Le milieu de terrain anglais du Real Madrid devrait être absent trois mois selon la presse espagnole.
Un coup dur pour le Real Madrid mais un casse-tête de moins pour Xabi Alonso à l'heure de peaufiner son 11 de départ. Gêné par une luxation de l'épaule gauche récurrente depuis son arrivée à l'été 2023, Jude Bellingham a fini par se faire opérer pour y remédier et entamera la saison 2025-2026 à l'infirmerie.
Passé sur le billard au lendemain du parcours à la Coupe du monde des clubs, achevée brutalement en demi-finales contre le PSG (4-0), l'Anglais démarre désormais une période de rééducation qui serait estimée à 12 semaines selon plusieurs médias espagnols dont Marca. Le joueur ne serait pas de retour avant mi-octobre, le club « ne souhaitant pas précipiter le processus ». Dans ce laps de temps, deux trêves internationales sont calées, ce qui réduirait donc le nombre de matches manqués par Bellingham avec la Casa Blanca.
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Dans des conditions longtemps humides, l'Australien Oscar Piastri, leader du Championnat, a renoué avec la victoire au terme d'une course brillante, contrairement à celle de Lando Norris, revenu à ses petites erreurs qui coûtent beaucoup. Il y aura donc eu un homme heureux au terme de cette course soporifique. Et cet homme heureux, étrangement, est celui qui d'ordinaire, ne manifeste rien. On se souviendra donc qu'à Spa-Francorchamps, Oscar Piastri (22 ans) a montré sa joie. Et pas qu'un peu. Pour qui ne connaîtrait pas l'Australien, on aurait pu penser qu'il venait de remporter sa première victoire - alors qu'il en compte huit, comme Lando Norris et Charles Leclerc mais avec moins de trois années de F1 -, tant il a montré son bonheur : sur le capot de sa voiture, dans les bras de ses mécanos et même dans ceux de Zak Brown, le grand patron de McLaren qui l'embrassait comme une jeune mariée. Faut-il chercher cette joie dans ce dépassement, brillant et courageux, au freinage des Combes qu'il effectua sur son équipier Lando Norris après l'avoir suivi comme son ombre alors qu'il ne voyait rien sur cette piste encore mouillée ? Comme une rédemption de la punition infligée la veille lors de la course sprint par Max Verstappen ? Le carnet de notes du Grand Prix de Belgique Car il pleuvait dimanche. À Spa, il pleut très souvent mais on a craint, un moment, que le ridicule de 2021 ne se reproduise, cette mascarade de course à quatre tours sous safety-car. Car, après la moitié du tour de formation, à 15 heures, alors que l'averse noyait le circuit, la direction de course sortit le drapeau rouge. Les pilotes étaient aveuglés par les projections et, après le déluge de Silverstone, ils avaient demandé à la FIA vendredi, lors du briefing des pilotes à ne pas courir s'ils n'y voyaient goutte ou plutôt s'ils ne voyaient que des gouttes. Sur les terres de Jacky Ickx, l'homme qui abaissa le drapeau à damiers, l'archange de la sécurité, lui M. Le Mans qui aura mis l'ACO (Automobile Club de l'Ouest) à ses pieds en refusant de courir au départ des 24 Heures, ces pilotes qui mettent leur vie en jeu ont été entendus. Le souvenir du regretté Anthoine Hubert (décédé en piste en 2019 lors de la course de F2) est ici encore très présent et la célébration la semaine dernière des dix ans du décès de Jules Bianchi rappellent combien le sport auto reste dangereux. On peut toutefois s'interroger sur ces voitures à effet de sol qui ne peuvent plus rouler sur le mouillé même quand il ne pleut pas, ou bien écouter ce merveilleux Verstappen, d'un autre temps, qui souhaite que les pilotes décident d'eux-mêmes. Gasly : « Trente tours à défendre » Avant que le départ ne soit finalement donné, plus d'une heure et demie après l'horaire initial, il aura donc fallu attendre le soleil puis le vent afin que la piste s'assèche suffisamment pour être praticable par ces F1. On pense à ces presque 200 000 spectateurs qui, depuis l'aube, ont guetté le spectacle de leur vie, des batailles dantesques et qui n'auront finalement eu que la joie de Piastri pour se réchauffer. Lorsqu'il fait beau, ce tracé magique de Francorchamps partage avec la piste tout aussi magique de Suzuka l'inconvénient d'offrir des processions assommantes. Même ces Pirelli, qui d'ordinaire se désagrègent, ont tenu le coup, que ce soit les mediums ou les hards. On pourra certes célébrer la formidable remontée de Lewis Hamilton (de 18e à 7e), mais c'était sur le mouillé et grâce à son courage d'avoir chaussé le premier des slicks. On pourra aussi magnifier la bataille d'Esteban Ocon avec des gommes à la corde pour défendre sa place ou le nouveau point de son compatriote normand Pierre Gasly ou louer la course de Leclerc qui, sur sa Ferrari, sut résister aux attaques de Verstappen pour s'offrir son cinquième podium de la saison. « C'était un peu chaud tout de même en haut du Raidillon » Oscar Piastri Reste que le seul souvenir de ce Grand Prix sera, hormis les interminables embouteillages qui, année après année ne font que s'aggraver et font passer le calvaire du Paul-Ricard 2018 pour une charmante kermesse de campagne, sera ce bonheur, si rare, d'Oscar Piastri. Alors pourquoi cette euphorie chez le marmoréen Australien ? Pour connaître la réponse, il faut revenir à Silverstone et cette pénalité reçue pour le freinage derrière la voiture de sécurité qui le priva de victoire. Son manager Mark Webber racontait dimanche sur la grille qu'il fallut à son poulain trois ou quatre jours pour digérer cette injustice. Ce succès, acquis à la Verstappen, permet à Piastri de reprendre la main sur son équipier, il est vrai handicapé par un problème de batterie dans ce premier tour où l'Australien lui reniflait, très courageusement, les échappements dans la montée de Kemmel. « Je savais que c'était une bonne opportunité, racontera-t-il avec ce calme retrouvé de la machine qu'il est. C'était un peu chaud tout de même en haut du Raidillon, mais l'aspiration m'a bien aidé. » Encore fallait-il la prendre, dans ces conditions. Verstappen ne se serait pas posé de question. L'Australien non plus, et il a bien fait. Norris, qui a cherché à revenir sur lui pendant toute la course, a commis quelques petites erreurs qui l'auront privé de toute chance. À quelques jours de revenir en Hongrie (3 août), où Piastri s'imposa pour la première en Grand Prix, l'Australien compte à nouveau 16 points d'avance sur son coéquipier friable.

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Après une dernière semaine où on l'a vu moins détendu que d'ordinaire, Tadej Pogacar avait retrouvé le sourire, ce dimanche, après une superbe dernière étape à Paris, ponctuée par sa 4e victoire finale sur le Tour de France . Il s'est présenté devant la presse vers 21h30 en blaguant, demandant « des questions simples et rapides », car il voulait « rejoindre son équipe et ses proches pour fêter la victoire ». Après deux semaines où vous aviez été très dominateur, vous l'avez été un peu moins en troisième semaine. Étiez-vous un peu malade ou fatigué ? TADEJ POGACAR. On avait dominé, on avait le maillot jaune avec une avance confortable. J'étais un peu fatigué la dernière semaine, pour être honnête. Mais je ne veux pas revenir sur ce qui n'a pas été, juste profiter de ce moment à Paris avec le maillot jaune. Avez-vous subi une sorte de burn-out, à force de trop courir ou de trop vous entraîner ? Si je fais un burn-out à ce stade de ma carrière, je m'arrêterai là et je pourrai être content de ce que j'ai réalisé. Plus sérieusement, le burn-out, mental ou physique, arrive dans beaucoup de sport. On s'entraîne beaucoup, on est parfois trop obsédé par ça. Tout le monde veut en faire toujours plus, on est parfois fatigués de plus en plus tôt dans la saison. Les équipes demandent de faire plus de courses, on ne peut pas vraiment couper de janvier à octobre, et en décembre il faut repartir. Les burn-out peuvent arriver n'importe quand et ça peut m'arriver aussi . Vous semblez avoir retrouvé la joie de courir avec cette dernière étape. Est-ce parce qu'un coureur comme Van Aert vous a poussé dans vos retranchements ? Aujourd'hui, c'est la nature de la course, avec les temps neutralisés pour le classement général , qui ont permis d'avoir une bagarre en tête de course. Tous ceux qui voulaient ont pu se livrer, c'était de la course pure. Également parce que c'était la dernière étape, on avait le bon état d'esprit, parce que demain, il n'y a plus de course. Mentalement, c'était mieux. C'était une belle journée j'ai plutôt apprécié. Vous reverra-t-on sur le Giro l'an prochain ? Tout est possible, mais maintenant, je ne pense à aucune course. Je veux juste revenir à mon bus, profiter de la soirée avec mon équipe, ensemble. On pourra parler du Giro, ou de la Vuelta, ou de toute autre course plus tard. Avez-vous douté pendant ce Tour ? Bien sûr, quand tu as des adversaires si forts, pas seulement Jonas, tu es à 100 % tout le temps, et tu ne sais jamais ce qui peut arriver le lendemain. C'est super important dans ces moments-là d'avoir son équipe autour de soi. Même si tu as des doutes, l'atmosphère autour de soi aide à se remotiver, à tout donner, à ne rien regretter, à ne pas douter ? Vous êtes à une victoire de remporter cinq Tours, vous y pensez ? Évidemment, ça sera un but de gagner cinq Tours. Mais pour l'instant, je n'ai pas d'objectifs précis. A part le Championnat du monde cette année, et le Tour de Lombardie. Mais pas d'autres pour l'instant, à part profiter de l'instant. Je donnerai mes autres objectifs bientôt. Le Tour de France pourrait partir de Slovénie en 2029. Qu'est-ce que ça représente pour vous ? J'ai entendu que le Grand Départ 2029 pourrait être en Slovénie. C'est dur à imaginer que ça puisse être réel ! Comme coureur ou pas, je serai probablement là. C'est une nouvelle excitante, j'attends vraiment ce Grand Départ, ça serait magnifique.

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