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Le braqueur Rédoine Faïd a quitté la prison de Vendin-le-Vieil pour un autre établissement

Le braqueur Rédoine Faïd a quitté la prison de Vendin-le-Vieil pour un autre établissement

Le Figaro2 hours ago
Son transfert intervient un mois après que la chambre d'application des peines de la cour d'appel de Douai (Nord) a jugé ses conditions de détention «contraires à la dignité humaine».
Le braqueur multirécidiviste Rédoine Faïd, à l'isolement depuis plus de dix ans, a été transféré jeudi par hélicoptère de sa prison de Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais) vers celle de Condé-sur-Sarthe (Orne), a appris l'AFP auprès de son avocate et d'une source syndicale.
Son transfert intervient un mois après que la chambre d'application des peines de la cour d'appel de Douai (Nord) a jugé ses conditions de détention «contraires à la dignité humaine». La cour avait donné un mois à l'administration pénitentiaire pour les assouplir.
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L'équipe de France a enregistré ce jeudi une deuxième victoire en deux jours face aux Serbes à Cannes, sans public. Le dernier match de préparation avant le stage au Japon s'est soldé par un score de 4-0. Moins de vingt-quatre heures après leur victoire 3-1 face à la Serbie, devant plus de 3000 spectateurs à Cannes, les Bleus se sont de nouveau imposés ce jeudi après-midi, dans un Palais des victoires cette fois plus silencieux. Pour le dernier match de préparation en France, les doubles champions olympiques ont disputé quatre sets, tous remportés (25-15, 25-13, 25-20, 27-25). Avec le même six de départ que la veille (Antoine Brizard, Jean Patry, Mathis Henno, Trévor Clévenot, Barthélémy Chinenyeze, Nicolas Le Goff, plus le libéro Jenia Grebennikov), le sélectionneur Andrea Giani a pu une nouvelle fois constater la supériorité de ses joueurs sur une Serbie peu précise (35 fautes, dont 21 au service), qui pâtit encore de l'absence de quelques cadres, blessés. Et tester son quatrième central, Joris Seddik, avec le deuxième six, qui a pris la place de François Huetz, entré en jeu mercredi soir. S'ils ont inscrit moins d'aces que la veille (7 au lieu de 11, dont 2 de Kevin Tillie et Antoine Brizard), les Bleus ont quasiment maintenu leur taux de réussite au service (82 %), juste un peu baissé celui de l'attaque (51 % au lieu de 58), et aligné 6 points au block (7 mercredi). Les deux pointus, Patry et Théo Faure, ont chacun inscrit 10 points durant leurs deux sets respectifs. Légère entorse pour Yacine Louati Earvin Ngapeth, de retour de blessure, ne foulera le terrain avec ses coéquipiers qu'à partir de samedi, à l'entraînement. Yacine Louati, également absent face à la Serbie, a passé une IRM aux résultats rassurants, puisqu'il ne souffre que d'une légère entorse. Il reste donc candidat au Championnat du monde (12-28 septembre aux Philippines), dont la sélection de quinze joueurs sera divulguée vendredi. Giani devra écarter deux des dix-sept protagonistes du stage à Cannes, et notamment faire des choix parmi les centraux et les réceptionneurs-attaquants. Après une dernière semaine de préparation sur la Côte d'Azur, l'équipe de France s'envolera pour l'île d'Okinawa, au Japon, avec au moins un match amical, face au Brésil, au programme. Son arrivée aux Philippines est prévue le 11 septembre.

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Comme nous vous l'annoncions plus tôt ce jeudi, Lens et l'Inter Milan sont tombés d'accord pour le transfert d'Andy Diouf. Montant de l'opération : 25 millions d'euros sans bonus. Comme nous vous l'annoncions plus tôt ce jeudi, Andy Diouf va poursuivre sa carrière à l'Inter Milan. L'accord est désormais total entre le RC Lens, le club italien et le joueur. La direction sang et or a accepté une offre de 25 millions d'euros sans bonus pour l'international Espoirs français de 22 ans, qui devient ainsi l'une des plus grosses ventes de l'histoire du club, à égalité avec celle Kevin Danso à Tottenham, mais derrière celles de Loïs Openda à Leipzig (40 M€), d'Abdukodir Khusanov à Manchester City (40 M€) et d'Elye Wahi à l'OM (27 M€). Auteur de 68 matches avec le Racing (2 buts, 2 passes décisives), qui l'avait acheté pour 14 M€ à Bâle à l'été 2023, le vice-champion olympique va parapher un contrat jusqu'en 2030 avec la formation italienne. Il est attendu à Milan vendredi pour passer sa visite médicale.

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L'essor de la pratique du rugby chez les femmes est une aubaine pour la FFR, en quête de nouvelles licenciées. Le Mondial en Angleterre, qui débute ce vendredi, doit permettre d'accentuer cette tendance. Rentrée des classes pour le XV de France féminin. Les Bleues lancent ce samedi (21 h 15 sur TF1) leur Coupe du monde face aux Italiennes, à l'occasion d'une 10e édition de la compétition mondiale qui se déroule cette année en Angleterre (22 août-27 septembre). Et qui devrait permettre au rugby féminin, en plein essor, de franchir un nouveau cap. « Il y a désormais un vrai public pour l'équipe de France féminine, les matchs ne sont plus uniquement suivis par les passionnés du rugby. On veut encore élargir cette base à toute la population, la rajeunir et la féminiser », explique au Figaro Florian Grill, le président de la Fédération française de rugby (FFR). Les mentalités ont déjà bien évolué chez les amateurs de rugby puisqu'une étude récente de Kantar Média révélait que 40 % des personnes intéressées par ce sport suivent désormais les rencontres des Bleues. Longtemps dans l'ombre du XV de France masculin, le rugby féminin connaît un nouvel engouement. En mai dernier, la FFR recensait 52 689 licenciées (contre 311.681 chez les hommes), un chiffre qui a connu une augmentation de 18 % en un an et été triplé en dix ans. Après sa réélection, en octobre 2024, le président de la FFR a lancé un « plan Marshall » pour venir en aide aux petits clubs et rénover leurs infrastructures, avec un tiers de l'enveloppe de 60 millions d'euros dédié à la pratique féminine. Adidas, partenaire de l'instance dirigeante, a, de son côté, débloqué 2 millions d'euros pour aider au développement de la pratique chez les rugbywomen. Publicité Cette Coupe du monde 2025 « va être un tournant pour la pratique féminine, poursuit Florian Grill. Cet événement majeur, diffusé sur TF1, constitue un levier clé pour accélérer le développement du rugby féminin et atteindre nos objectifs, tant en termes de visibilité que de recrutement de licenciées. » Objectif affiché : 100.000 licenciées d'ici à 2033. Autre coup de projecteur, le championnat de France (Élite 1), restructuré pour gagner en visibilité, bénéficie d'une exposition accrue avec quelques rencontres diffusées sur Canal+. La saison dernière, le choc entre l'ASM Romagnat et le Stade Bordelais avait attiré 18.885 spectateurs au stade Michelin, un record dans l'histoire du championnat. À lire aussi Le carnet de notes des Bleus en Nouvelle-Zélande : Guillard et Fischer épatent, Barré et Colombe en perdition Une exposition importante Le XV de France féminin, à l'occasion du Tournoi des six nations, bénéficie également d'une exposition importante. Lors de la dernière édition, 1,8 million de téléspectateurs avait suivi en moyenne les matchs des Bleues. Si l'on est encore loin des chiffres du XV de France d'Antoine Dupont (7,3 millions de personnes en moyenne), la progression est exponentielle du côté des filles. « Oui, il y a plus d'attentes sur nous aujourd'hui. Mais je pense que c'est aussi très positif. Ça veut dire que les gens nous regardent de plus en plus, sont attentifs à nos performances et nous suivent », souligne Marine Ménager, la cocapitaine de l'équipe de France. L'Angleterre et la Nouvelle-Zélande sont les grandes favorites. C'est vrai qu'elles ont encore de l'avance sur nous Florian Grill, président de la FFR Les Bleues ne sont toutefois pas logées à la même enseigne que les Anglaises et les Néo-Zélandaises, favorites du Mondial, qui disposent majoritairement d'un statut professionnel à temps plein. En France, seulement 32 joueuses sont aujourd'hui sous contrat fédéral d'un an, avec un statut semi-professionnel à 75 % et des salaires mensuels compris entre 3500 et 4000 euros. D'où, sur le terrain, un écart de niveau criant entre les Françaises et les deux meilleures nations mondiales. À l'image de la lourde défaite concédée début août en match de préparation contre les Red Roses anglaises (6-40). « L'Angleterre et la Nouvelle-Zélande sont les grandes favorites. C'est vrai qu'elles ont encore de l'avance sur nous, reconnaît le président de la FFR. On est outsiders mais on veut vraiment jouer notre carte à fond et profiter de cette médiatisation exceptionnelle, en prime time sur TF1 (pour leur entrée en lice, puis sur France 2 contre le Brésil et l'Afrique du Sud, NDLR), avec tous nos matchs diffusés. » À lire aussi XV de France : Guillard et Fickou omniprésents, Barré catastrophique... Les notes des Bleus après la nouvelle défaite face aux All Blacks Chute du nombre de licenciés Pour Florian Grill, l'un des chantiers prioritaires concerne la chute du nombre de licenciés. Car si le rugby est devenu le deuxième sport le plus médiatique en France, ce sport n'est que le… neuvième en termes de pratiquants, avec 360.000 licenciés la saison passée. Loin derrière le football (plus de 2 millions), le tennis (plus de 1 million) ou l'équitation (entre 670.000 et 700.000). Si le rugby féminin a donné un nouveau souffle et permis d'endiguer la dégringolade (seulement 195.000 licenciés en 2020), le rugby ne veut pas s'enfermer dans le « syndrome du foot US », comme le redoute le président de la FFR. « On ne veut pas devenir comme le football américain, qui est énormément suivi mais pratiqué par pas grand monde », met en garde Florian Grill. Cette Coupe du monde - dont l'impact économique est estimé entre 25 et 33 M€ par World Rugby, la fédération internationale - promet en tout cas d'être un succès populaire. Et la FFR entend surfer sur cette vague. Publicité Sur les 470.000 billets disponibles, 375.000 ont déjà été vendus. Soit trois fois plus que lors de la dernière édition en Nouvelle-Zélande en 2022 et 12 fois plus les 30.000 vendus lors de la dernière Coupe du monde organisée par l'Angleterre, en 2010. « Nous sommes prêts à battre des records de fréquentation, d'audience et d'engagement, se félicite Sarah Massey, directrice générale de cette édition. Ce sera la plus grande célébration mondiale du rugby féminin que nous ayons jamais vue. »

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