
L'horoscope gratuit du mardi 19 août 2025
Chaque jour, retrouvez l'horoscope gratuit avec Christine Haas (Instagram : @chrishaasoff) sur le site du Figaro avec TV Magazine .
L'horoscope du mardi 19 août 2025
Aujourd'hui, la Lune croise Jupiter, un aspect puissant qui vous invite à plonger au cœur de vos émotions et de votre rapport à vous-même. La Lune, symbole de votre monde intérieur, de vos besoins affectifs et de vos réactions instinctives, rencontre Jupiter, la planète de l'expansion, de la croissance et de la sagesse. Cela a lieu dans le signe sensible et protecteur du Cancer, secteur de la famille et des racines émotionnelles. Ce croisement est comme un miroir tendu vers votre capacité à gérer ce qui bouillonne en vous. Cette configuration pose une question essentielle : savez-vous accueillir vos émotions sans être submergé ? En effet, qu'il s'agisse d'une injustice qui réveille votre colère, d'une joie intense qui vous emplit de bonheur, ou encore d'une prise de poids – symboles à la fois physiques et psychiques – vous êtes amené à interroger votre manière de réagir. Il faut savoir que vos émotions sont des messagers, des signaux qui, lorsqu'ils sont ignorés ou refoulés, finissent par déborder et causer souffrance et confusion. Mais si vous apprenez à les écouter et à les comprendre, elles deviennent une source précieuse d'information, une boussole intérieure qui vous guide vers ce dont vous avez besoin. Ce transit est une invitation à la réflexion : plutôt que de fuir ou maîtriser à tout prix vos émotions, pouvez-vous les accepter comme une part essentielle de vous-même ?

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
28 minutes ago
- Le Figaro
The Twisted Tale of Amanda Knox : du fait divers emblématique à la série sur Disney +
Produite par Amanda Knox et Monica Lewinsky, cette minisérie revient sur l'emballement médiatique et judiciaire autour de l'étudiante américaine, accusée à tort d'avoir tué sa colocataire. Édifiant et fort. Ce fait divers italien est le dérapage judiciaire emblématique du début du XXIe siècle. En 2007, une étudiante américaine de 20 ans en séjour d'échange linguistique à Pérouse, Amanda Knox, est accusée du meurtre de sa colocataire anglaise Meredith Kercher, retrouvée dénudée et poignardée. Il faudra trois procès et cinq ans de prison avant que la justice transalpine ne reconnaisse l'innocence de sa suspecte numéro un. Après des podcasts, un documentaire à succès sur Netflix, un film très librement inspiré de l'affaire (Stillwater avec Matt Damon et Camille Cottin), le petit écran s'empare de l'affaire avec la minisérie The Twisted Tale Of Amanda Knox, à découvrir sur Disney +. La démarche pouvait faire craindre une série racoleuse. Mais le projet est porté par Amanda Knox elle-même, soutenue par une autre femme jetée en pâture par les médias : Monica Lewinsky. Pour autant, The Twisted Tale of Amanda Knox évite l'hagiographie. Édifiante, la série retrace pourquoi enquêteurs et procureur se sont empêtrés dans leurs perceptions au point de négliger les preuves ADN contredisant leurs scénarios capillotractés. Ils sont, quelque part, autant victimes de la machine qui s'emballe que la cible de leur vindicte. Publicité Une mise en scène parfois décalée Cette reconstitution jette une lumière crue sur l'insouciance et l'immaturité d'Amanda, qui embrasse fougueusement son petit ami devant la scène du crime et fait la roue dans le commissariat. La mise en scène et la voix off s'attachent à refléter ce décalage incongru en empruntant un peu de fantasque et d'excentricité à La fabuleuse histoire d'Amélie Poulain. Le film de Jean-Pierre Jeunet était celui qu'Amanda regardait le soir du crime. Barrière de la langue, particularités de la procédure, pressions psychologiques poussant Amanda, en transe, à livrer un faux témoignage… À chaque chausse-trappe, elle trébuche. La comédienne Grace Van Patten (Tell Me Lies) capture, avec force, le supplice et la transformation intérieure de Knox, devenue militante de renom contre les erreurs judiciaires. «Ce qui m'a touchée dans The Twisted Tale of Amanda Knox, c'est la possibilité laissée à Amanda Knox d'enfin se réapproprier sa propre histoire. L'incarner c'est laisser libre cours à ses émotions qui n'ont jamais été audibles lors de l'enquête et des procès. Sa profonde confusion lors des interrogatoires, son ignorance de ce qui se passait dans son dossier, une fois qu'elle a été incarcérée, sa reconstruction. Jusqu'à aujourd'hui, la perception que nous avons d'elle a été façonnée par la couverture médiatique», souligne la comédienne. Grace Van Patten a eu de longs entretiens sur zoom, puis en chair et os avec Amanda Knox. Leur première rencontre de visu a eu lieu à Echo Park à bord d'un pédalo en forme de cygne ou l'ancienne prévenue avait emmené enfants et mari. Comme elle à l'époque, l'actrice de 28 ans s'est lancée dans un apprentissage accéléré de la langue de Dante. Grace Van Patten salue également «l'empathie de la série avec tous les protagonistes de l'histoire – policiers, procureur - qui étaient persuadés de faire leur devoir et dont la détermination a abouti à cet énorme pétrin. Tant de choses, qui auraient pu être évitées, sont allées de travers. Cela me fend le cœur». À l'image des futurs spectateurs de la série, la comédienne s'imaginait tout savoir de l'affaire mais s'est vite rendu compte «des nombreuses zones d'ombre qui lui avaient totalement échappé». Ce qui l'a également frappée est la résilience de Knox : «Elle ne blâme personne, n'a aucune rancune. J'ai beaucoup appris de sa mentalité, de sa capacité à rester positive, pleine d'espoir et à pardonner. C'est la seule raison pour laquelle elle a pu aller de l'avant».


Le Figaro
28 minutes ago
- Le Figaro
«La voie royale» vers Polytechnique
Frédéric Mermoud met en scène avec brio une fille d'agriculteurs qui quitte son village pour intégrer une prépa à Lyon. La bosse des maths : telle est l'expression consacrée. Sophie est douée. Les chiffres sont sa cour de récréation. L'avenir se décline en équations du second degré. Ses parents agriculteurs n'en reviennent pas d'avoir engendré pareil prodige. L'élevage de cochons ne prédestine pas forcément au théorème de Fermat. La ferme ne va pas très fort. L'État accordera-t-il la subvention prévue ? Bac et bourse en poche, la grosse tête quitte son village pour une classe préparatoire à Lyon. Un but : Polytechnique. Au lycée Descartes, cela ne chôme pas. Entre les élèves, la compétition est rude. Le bizutage ressortit du parcours obligé. Tout un tas de rituels rythment les journées. Les nouveaux portent des tee-shirts verts (pour les anciens, ils sont rouges). Il y a les « colles », ces oraux où l'on ne vous pardonne rien. Il s'agit aussi d'être capables de vider des shots de vodka dans les bars avoisinants. Publicité Sophie sympathise avec une Diane qui a une passion pour le théâtre. Comment se débrouille-t-elle pour trouver le temps de répéter La Fausse Suivante ? L'examinatrice est sans pitié (Maud Wyler, glaçante, avec son chignon et ses tenues strictes). C'est un monde à part. La future élite avale des tonnes de couleuvres. Les nuits blanches sont monnaie courante. Les notes en dessous de la moyenne pleuvent chaque semaine. Les moments de découragement ne sont pas rares. À quoi bon ? L'héroïne a envie de tout laisser tomber. Ses camarades sont d'un autre milieu. Ils le lui font sentir. Un dîner chez les bourgeois locaux constitue une étape importante. À table, ses hôtes parlent de « mixité ». Ils prononcent le mot comme s'il s'agissait d'une grossièreté. Le flirt est déconseillé. La bagatelle compromet les chances au concours. Les formules d'algèbre se bousculent sur le tableau noir. Les plus fragiles abandonnent en cours de route. Une sélection naturelle s'opère. Sophie tient bon. L'enjeu en vaut la chandelle. Il faut assurer, se montrer sous son meilleur jour. Gratin de la nation Tout cela sonne juste, résonne vrai. Tous ceux ayant usé leurs fonds de culotte sur les bancs de ces écoles spéciales y retrouveront des souvenirs précis, cette ambiance de travail intensif, cette rivalité permanente, l'arrogance des professeurs, la conviction d'appartenir au gratin de la nation. Suzanne Jouannet incarne avec un sacré tempérament ce petit soldat des racines carrées. Avec La Voie royale, Frédéric Mermoud suit son parcours à la trace, avec tout ce que cela implique de sacrifices et de renoncements, plonge dans les arcanes de ces institutions si terriblement françaises. Surtout, qu'on ne vienne pas traiter la tremblante, la fébrile Sophie de transfuge de classe - fût-elle préparatoire. Dans ce film, nous ne sommes pas chez Annie Ernaux. C'est d'un repos. Élève Mermoud, vous êtes reçu. Mention très bien.


Le Parisien
28 minutes ago
- Le Parisien
Trois semaines de montage, 5 000 personnes mobilisées, 15 ha privatisés : à Rock en Seine, « tout est bien huilé »
« Tout est bien huilé », souligne Eliot Teboul, qui travaille avec l'équipe chargée de mettre en place la scène Revolut, l'une des cinq du festival. « Nous avons commencé à nous installer il y a trois semaines, maintenant, nous garnissons la structure », ajoute-t-il, pendant qu'une dizaine de techniciens range des caisses de matériel. Les équipements de sons et lumières sont en train d'être installés sur le pont métallique de cette scène, la deuxième la plus importante du site.