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«J'en avais marre» : Élise Lucet s'exprime sur sa décision de quitter le «13 Heures» de France 2

«J'en avais marre» : Élise Lucet s'exprime sur sa décision de quitter le «13 Heures» de France 2

Le Figaro2 days ago
Ce mardi 19 août, la présentatrice de «Cash Investigation» était l'invitée de Charles Pépin sur France Inter. La journaliste a fait quelques confidences sur les 26 ans qu'elle a passés à la présentation des journaux télévisés.
«Je voulais être Joseph Kessel», a déclaré Élise Lucet . Invitée du podcast axé philosophie «Sous le soleil de Platon» de Charles Pépin sur France Inter ce mardi 19 août, la journaliste s'est confiée sur les 26 ans qu'elle a passés à présenter les journaux télévisés de France Télévisions, dont 11 au «13 Heures» de France 2. Une carrière impressionnante dont la présentatrice ne rêvait pourtant pas.
Après avoir réécouté les adieux lors de son dernier JT le 29 avril 2016, la journaliste s'est exprimée sur son départ, une décision qui lui a pleinement appartenu. «C'était super parce que c'est un moment que j'ai choisi. La plupart des présentateurs de JT, on leur montre la porte. Un an avant, j'étais allée voir mon patron Thierry Thuillier en lui disant : 'Tu sais, ça fait 25 ans que je fais des JT, je pense que c'est bon. Pour faire des JT il faut être à 100%, je suis à 98%, il est temps que je m'en aille'. Il m'avait dit : 'S'il te plaît, ce n'est pas le moment, reste une année de plus'. C'est quelque chose qu'on a vraiment anticipé, que j'ai choisi. C'était hyper émouvant parce que j'ai adoré faire ça. Et c'était super bien parce que j'en avais marre de faire ça», a exprimé l'animatrice.
À lire aussi «Ils ont dit 'oui' pour la plupart» : Élise Lucet fait passer des tests antidrogue aux députés dans «Envoyé spécial»
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L'occasion pour la présentatrice de «Cash Investigation» de revenir vers ce qui l'a toujours intéressée. «Je voulais être Joseph Kessel , mais c'était raté. J'ai raté ma carrière (Rires). Je voulais être sur le terrain, il n'y a que ça qui me plaît. C'est pour ça que je fais 'Envoyé spécial' , qui est vraiment un magazine de reportage qui s'intéresse à la France et au bout du monde, où pour le coup, on a vraiment une proximité avec les gens. On m'a proposé plusieurs fois d'être dans un bureau, d'avoir un poste de directeur mais ça ne m'intéresse pas», a-t-elle révélé.
Souvent critiquée pour les méthodes qu'elle emploie dans ses investigations, notamment la caméra cachée, la journaliste s'est expliquée : «Il y a des choses que nous n'avons pas le droit de faire en tant que journalistes, et des choses que l'on se doit de respecter. Un journaliste ne peut pas être hors-la-loi. Il n'est pas au-dessus des lois. Ce sont des règles précises de notre métier que nous nous appliquons».
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  • Le Figaro

«Cette relation était insoutenable» : Jean Imbert réagit aux accusations de violences émises par Alexandra Rosenfeld

Ce mercredi 20 août, le service de communication de Jean Imbert a répondu aux accusations de violences de son ancienne compagne, Alexandra Rosenfeld, dans les colonnes du Parisien. Jean Imbert maintient sa version des faits. Accusé de violences physiques et psychologiques par plusieurs ex-compagnes, dont Alexandra Rosenfeld, le chef du Plaza Athénée plaide la légitime défense. Ce mardi 19 août, l'ancienne Miss France, qui avait témoigné en avril dernier dans les colonnes du magazine Elle sous le nom d'Éléonore, est sortie de son anonymat avec un témoignage glaçant partagé sur son compte Instagram. «Il y a plus de dix ans, j'étais avec quelqu'un. Il m'a mis un coup de tête, une fois. Mais bizarrement ce n'est pas ça qui m'a marquée. Ce qui m'a abîmée, c'était tout ce qu'il y avait autour. Le mépris, les rabaissements, les silences, les mots parfaitement placés pour me faire douter de moi, de ma valeur. (…) Ce que j'ai vécu c'était de la violence», écrit-elle, sans nommer Jean Imbert. Comme en avril dernier après la publication de l'enquête du magazine Elle, le chef cuisinier a réagi aux accusations d'Alexandra Rosenfeld par le biais de son service de communication. «Ce coup de tête intervient dans un moment de violences subies par Jean Imbert alors qu'il était empoigné par Alexandra et qu'il s'en dégageait. Il en regrette profondément les conséquences pour elle. Cette relation était insoutenable, marquée par les insultes et les crises», ont affirmé ses représentants ce mercredi 20 août dans les colonnes du Parisien. À lire aussi «C'était lent, insidieux… l'emprise», Alexandra Rosenfeld révèle être l'une des victimes de Jean Imbert Publicité Une invitation dans un restaurant en début d'année Alexandra Rosenfeld avait anticipé cette ligne de défense, déjà employée par son ex-compagnon. «Il m'a mis un coup de tête une fois (…) Sa défense autour de ce nez fracturé a été de dire «qu'il se défendait»… Ce qu'il a répondu est faux. Et les personnes présentes ce jour-là le savent (…) C'était il y a plus de 10 ans, et j'ai toujours cette radio», déclare-t-elle sur Instagram. Selon le service de communication de Jean Imbert, le chef et l'ancienne reine de beauté «ont échangé plusieurs messages amicaux depuis leur séparation». Dans son témoignage, Alexandra Rosenfeld explique avoir reçu une invitation de Jean Imbert en début d'année pour découvrir, avec sa famille, son nouveau restaurant, La Forêt secrète, à Disneyland. «J'étais surprise, touchée. Je l'ai remercié chaleureusement, je lui ai souhaité une très belle année, se souvient-elle. Sur le moment j'ai voulu y voir un geste de paix. Une marque d'élégance. Mais plus tard j'ai compris. Cette invitation, ce message bienveillant, n'étaient pas si innocents. Il savait qu'un article allait sortir, il avait contacté plusieurs de ses exs, sous prétexte de prendre de leurs nouvelles. Moi je croyais à une attention sincère. Mais il cherchait à savoir. À anticiper. À contrôler le récit». Aucune plainte n'a pour l'instant été déposée contre Jean Imbert.

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