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Quatre suggestions d'œuvre sur les saveurs

Quatre suggestions d'œuvre sur les saveurs

La Presse4 days ago
Les beaux jours se prêtent à merveille à la détente, mais pas besoin de mettre son cerveau en vacances pour autant. Voici quatre suggestions de nos chroniqueurs pour se divertir et réfléchir sous le soleil, un thème à la fois. Cette semaine, les saveurs.
Le plongeur
IMAGE FOURNIE PAR L'ÉDITEUR
Le plongeur, de Stéphane Larue
C'est l'un de mes romans préférés. Dans cette histoire autobiographique, l'auteur Stéphane Larue nous transporte dans les cuisines d'un resto huppé du Plateau Mont-Royal. Stéphane, un cégépien de 19 ans qui a des problèmes de jeu, y travaille comme plongeur pour payer ses dettes. Sous l'ambiance feutrée du resto, on y découvre les conditions de travail difficiles, les rushs d'adrénaline et les excès de ce mode de vie. Les descriptions des rushs en cuisine ouvrent forcément un peu l'appétit ! Le roman, qui a remporté le Prix des libraires du Québec en 2017, a été transposé au grand écran avec sensibilité par le réalisateur Francis Leclerc. Mais le livre est encore meilleur !
Vincent Brousseau-Pouliot, La Presse
Le plongeur, de Stéphane Larue, Éditions Le Quartanier, 568 pages, 2016
Somebody Feed Phil
PHOTO FOURNIE PAR NETFLIX
Phil Rosenthal (à droite), animateur de l'émission gourmande Somebody Feed Phil, à La boîte aux huîtres du marché Jean-Talon, en compagnie du chef Antonio Park lors d'un épisode sur Montréal.
Du pur bonheur ! Phil Rosenthal, un scénariste dans la soixantaine, fait dans cette série Netflix le tour du monde en quête d'expériences culinaires extraordinaires. Impossible de résister à son charme ; il a la bouille la plus sympathique du petit écran. Il essaie tout, tout, tout avec candeur et enthousiasme. En huit saisons, il a visité plus de 40 villes, dont Montréal. Parmi les meilleurs épisodes : ceux à Bangkok, Rio et Kyoto.
Alexandre Pratt, La Presse
La série est offerte sur Netflix
Le bestiaire des fruits
IMAGE FOURNIE PAR L'ÉDITEUR
Le bestiaire des fruits, de Zviane
Elle est délicieusement sympathique, cette bande dessinée de Zviane. Elle regroupe une quinzaine de courtes chroniques sur autant de fruits « bizarres » dégustés et évalués par la bédéiste québécoise : kaki, ramboutan, tamarin, mangoustan, etc. Le tout est raconté avec beaucoup d'humour (parfois scabreux) et d'authenticité. Si elle trouve qu'un fruit goûte « le pyjama » ou « le congélateur », elle va nous le dire. L'utilité de ce petit livre, c'est aussi qu'il va forcément vous pousser à explorer les rayons des fruits exotiques et à imiter l'autrice. Vous deviendrez alors comme elle, vous et possiblement les autres membres de votre famille : des samouraïs des fruits !
Alexandre Sirois, La Presse
Le bestiaire des fruits, de Zviane, La Pastèque, 118 pages, 2014
Falastin, un livre de recettes
IMAGE FOURNIE PAR L'ÉDITEUR
Falastin, un livre de recettes, de Sami Tamimi
Ce magnifique ouvrage est beaucoup plus qu'un livre de recettes, c'est un hommage à la Palestine, sa culture, sa gastronomie, son histoire. Il est l'œuvre de Sami Tamimi, propriétaire de plusieurs restaurants courus à Londres avec le chef Yotam Ottolenghi. Les deux hommes ont d'ailleurs consacré tout un livre à la gastronomie de Jérusalem, où ils sont nés tous les deux, dans des quartiers bien différents. Dans Falastin, Sami Tamimi nous rappelle que malgré les évènements désastreux qui frappent le peuple palestinien en ce moment, une immense culture, elle, continue de se transmettre.
Laura-Julie Perreault, La Presse
Falastin, un livre de recettes (édition québécoise), de Sami Tamimi, KO éditions, 352 pages, 2020
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Jamais assez des Belles-sœurs
Jamais assez des Belles-sœurs

La Presse

timean hour ago

  • La Presse

Jamais assez des Belles-sœurs

Marie-Denise Pelletier, au centre, est l'interprète de Germaine Lauzon dans cette nouvelle production. Derrière elle, on reconnaît Marie Michèle Desrosiers (à droite) et, à gauche, Natalie Choquette et Lunou Zucchini. Que reste-t-il à dire au sujet des emblématiques belles-sœurs de Michel Tremblay, qui a rejoint les interprètes sur scène, mercredi soir, à la salle Wilfrid-Pelletier ? Peut-être faut-il commencer par préciser que cette version symphonique n'apporte pas grand-chose à l'exceptionnelle comédie musicale créée il y a 15 ans par René Richard Cyr et Daniel Bélanger. Que ce n'est pas bien grave non plus : avec ou sans grand orchestre, cette prise de parole demeure forte et émouvante. On n'imagine plus, aujourd'hui, le choc provoqué par Les belles-sœurs à sa création, en 1968, au Rideau vert. Ceux qui y étaient sont de moins en moins nombreux. Ceux qui n'y étaient pas ne connaissent de cette grande commotion que ce qu'on en dit encore à l'école ou ce que révèlent les archives de l'époque. On reconnaît encore en ces femmes des tantes qui ne sont plus aujourd'hui que des souvenirs d'enfance, mais on a désormais une distance avec le propos de la pièce et son contexte. Avec sa langue, aussi. On ne parle d'ailleurs plus vraiment de « joual » pour désigner notre façon de parler français, même si on se reconnaît toujours dans ces mots-là. Ce joual, celui de Tremblay, n'est-il pas de toute manière une construction littéraire ? Une invention ou, au minimum, une extraordinaire réinvention, évoquant toute une classe sociale sinon un peuple entier ? Tout ça pour dire que, malgré tout ce qui nous sépare désormais de Germaine Lauzon, de ses sœurs, de ses belles-sœurs et de ses voisines, toutes réunies pour un party de collage de timbres primes qui vire mal, cette nouvelle production inspirée de la comédie musicale résonne encore très fort. Que même si le monde a changé – pas complètement, mais quand même – l'œuvre n'a rien perdu de sa part comique ni de sa part tragique. De sa portée, en somme. Des femmes René Richard Cyr était dans la salle, mercredi, tout près de Michel Tremblay, mais c'est Lorraine Pintal qui dirige cette nouvelle version symphonique de Belles-sœurs, dirigée par la cheffe Dina Gilbert. Notons d'emblée que de voir une femme au pupitre, dirigeant l'Orchestre symphonique de Trois-Rivières, a valeur de symbole puisque le spectacle met en scène une distribution 100 % féminine. À une exception près : l'auteur et dramaturge Simon Boulerice était aussi sur scène dans un rôle de « maître de cérémonie » devant aider le public peu familier avec la pièce à ne pas perdre le fil de l'histoire. PHOTO DANAHÉE PLOUFFE-DUBÉ, FOURNIE PAR GSI MUSIQUE Michel Tremblay fait le baise-main à Marie-Denise Pelletier après la première de Belles-sœurs symphonique, mercredi, à la salle Wilfrid-Pelletier. C'est d'ailleurs lui qui apparaît le premier pour mettre la table : il peint le portrait du « petit Michel » de la rue Fabre, fasciné par les livres et enivré par la lecture, entouré des femmes de sa famille, qu'il écoute sans qu'elles ne s'en rendent compte, emmagasinant des histoires, une manière de parler et des élans théâtraux qui lui serviront plus tard dans son œuvre. Sans être complètement inintéressante, cette introduction est écrite et livrée d'une manière si infantilisante que c'en est presque gênant. On sait pourtant ce dont Simon Boulerice est capable, même dans l'hommage : ce qu'il avait écrit il y a deux ans pour Beau Dommage, qui recevait le prix Artisan de la fête nationale, était inspiré et éloquent. La grande différence entre cette production symphonique et la précédente, qui date de 2014, est qu'elle ne s'appuie sur une majorité de femmes connues d'abord comme chanteuses et non comme actrices. Marie-Denise Pelletier mène le spectacle dans le rôle de Germaine Lauzon, entourée entre autres de Luce Dufault, Marie Michèle Desrosiers, Joe Bocan, Judi Richards, Natalie Choquette, Catherine Major, Lulu Hugues et quelques autres. De la comédie musicale de 2010, il ne reste plus que Kathleen Fortin qui prête sa voix exceptionnelle à Des-Neiges Vermette, la demoiselle esseulée. Des imperfections gommées par la beauté La première de mercredi ne fut pas de tout repos. Le spectacle a été perturbé par des problèmes de sonorisation qui empêchaient de savourer les textes. Il est en effet arrivé plus d'une fois qu'une interprète commence à chanter alors que son micro-casque n'avait pas été allumé… Alerte au pupitre, Dina Gilbert a travaillé très fort à faire le lien entre l'orchestre et les chanteuses, de manière éviter les décalages tout en donnant les élans nécessaires aux arrangements de Simon Leclerc. Elle a réussi, pour l'essentiel, à donner une belle cohésion à l'ensemble. PHOTO DANAHÉE PLOUFFE-DUBÉ, FOURNIE PAR GSI MUSIQUE Luce Dufault (au centre) brille dans le rôle de Pierrette Guérin, la « fille de mauvaise vie ». À gauche, sa fille Lunou Zucchini (Lise Paquette) et Laetitia Isambert-Denis (Linda Lauzon). Marie-Denise Pelletier a donné du corps à sa Germaine Lauzon, portant avec adresse Gratis, le premier solo de la soirée, une chanson pas si facile à chanter. Dorothée Berryman a perdu le fil durant La noce, une chanson impossible faite d'une énumération de noms, mais elle s'est bien rattrapée et le morceau a levé rendu au chœur. Et bien que ce genre de spectacle repose d'abord sur la force de l'ensemble, on ne peut pas ne pas souligner l'interprétation de Luce Dufault, en pleine maîtrise jusque dans la fragilité. Quelle voix et quelle interprète ! La mise en scène de Lorraine Pintal, assez minimale, était habile dans les circonstances, mais ne pouvait pas égaler les tableaux géniaux créés par René Richard Cyr au Théâtre d'Aujourd'hui dont on garde encore des images fortes – sa version cinéma aussi est pétillante, si vous n'avez pas encore le plaisir de la voir. Enfin, il faut souligner l'apport inestimable de la vedette discrète de la soirée : Daniel Bélanger et ses mélodies. Quinze après la création de Belles-sœurs, titre officiel de la version « théâtre musical », on savoure encore ses trouvailles, l'adresse avec laquelle il passe de la mélancolie au sourire en coin, s légèreté colorée et son sens du drame. On reste habité par les thèmes musicaux de ce spectacle-là longtemps après avoir quitté la salle Wilfrid-Pelletier. Jusqu'au 2 août à la salle Wilfrid-Pelletier, puis du 28 au 30 août au Grand Théâtre de Québec Consultez la page de l'événement

Foglia, le lecteur
Foglia, le lecteur

La Presse

time5 hours ago

  • La Presse

Foglia, le lecteur

Pierre Foglia est le journaliste sportif qui aura le plus parlé de littérature dans un journal. En tout cas, c'était le seul qui me faisait ouvrir le cahier des sports à l'époque du papier, justement pour ça : pour ses références constantes à ses lectures, qu'il mêlait à la vie de tous les jours, comme aux évènements de l'actualité. Lire était aussi naturel et essentiel pour lui que respirer, ça se sentait dans chacun de ses textes. Je n'en avais rien à foutre du Tour de France (encore aujourd'hui), mais je lisais Foglia, peu importe ses sujets. Pour la bouffée d'air frais au travers des nouvelles. Pour sa poésie, même s'il se gardait bien d'être un « pouète ». Une seule phrase positive de Foglia sur un livre dans une chronique dopait les ventes plus que toutes les critiques dithyrambiques réunies et changeait souvent la vie d'un auteur. L'effet Foglia était bien réel en librairie. Pourtant, ce n'était pas un critique officiel, seulement un lecteur avide qui faisait partager ses goûts avec franchise, et c'était mille fois plus efficace que n'importe quelle analyse ou ces fameux « coups de cœur » qui le faisaient chier. Un sceau d'approbation à lui seul ; « Foglia a aimé » était un argument de vente et on le citait sur les couvertures. Même qu'une fois, il s'était fâché contre Mélanie Vincelette, une éditrice qu'il aimait beaucoup, parce que son nom était apparu en gros sur la couverture de La fiancée américaine d'Éric Dupont, publié chez Marchand de feuilles en 20121. Quand il a annoncé sa retraite en 2015 dans une chronique, il est vite passé sur le sujet pour plutôt dévoiler les 100 livres préférés de ses lecteurs, à qui il avait demandé de lui envoyer leurs listes, et qui lui avaient répondu en masse2. « Je crois être pour quelque chose dans quelques-uns de vos choix les moins convenus, écrivait-il. Cela n'est pas surprenant non plus, cela fait 40 ans que je vous invite à lire moins de Coelho et de Millenium. Il me revient de vous avoir chaudement recommandé La fiancée américaine, Les années, Les Bienveillantes, L'équilibre du monde… Merci pour L'équilibre du monde. Vous ne soupçonnez pas comme cela me fait plaisir de le retrouver dans notre top 20. » Pierre Foglia aura fait lire bien du monde, parce qu'il estimait que tout le monde devrait lire. Une citation de lui qui a beaucoup circulé à l'annonce de sa mort disait ceci : « Je crois profondément que l'avenir de l'Homme et de sa fiancée ne se joue pas à la Bourse, à l'Université, dans un Parlement, dans un journal, dans un laboratoire de recherche. « Je crois profondément que l'avenir de l'humanité se joue, chaque jour, dans la classe d'un prof de philo qui donne un cours sur le libre arbitre à de futurs plombiers, de futurs flics, coiffeuses, infirmiers, informaticiennes et vendeurs de chars usagés. » J'étais petite dans mes souliers la première fois que Foglia est venu me parler dans la salle de rédaction. Il était déjà un monument de la presse écrite. De cette cohorte de l'âge d'or qui avait fait ses classes avant l'internet, et qui a donné les Nathalie Petrowski, Louise Cousineau, Claude Gingras ou Réjean Tremblay. Des personnages. Nous avions jasé de livres, bien sûr. Foglia respectait mon travail, il me demandait mon avis, c'était le plus beau des compliments. Le fait d'être une rouquine a dû aider à me rendre sympathique aussi. Je ne lui suggérais jamais trop un titre, ça aurait pu mal virer pour son auteur, car il pouvait être vraiment bitch. Il ne fallait pas insister avec Foglia, certains qui l'ont fait s'en sont mordu les doigts. Ça arrivait au détour de nos échanges, qui tournaient toujours autour des livres ou du cinéma. Je me souviens de son adoration de Dogville de Lars von Trier, et aussi qu'il avait niaisé ses lecteurs pendant des mois à leur dire qu'il n'avait toujours pas vu Les invasions barbares de Denys Arcand (ce qui était faux). De son admiration sans bornes pour Annie Ernaux, qu'il m'a fait découvrir. « Vous êtes Charlie ? Moi aussi, mais je suis d'abord Annie Ernaux3. » Je lis les hommages de mes collègues, ça me fait pleurer et ça me donne le vertige, parce que Foglia, c'est une époque. Tout le monde a son anecdote avec lui, la mienne est un mauvais coup. Un jour de bulle au cerveau, j'ai proposé à mes patrons un canular pour le 1er avril, je suis encore surprise qu'ils aient accepté. Mon fiancé et moi avions écrit un faux reportage sur un groupe de jeunes admirateurs de l'écrivain Charles Bukowski qui se pétaient le foie avec l'alcool en hommage à leur mentor. C'était l'un des auteurs fétiches de Foglia qu'on visait et nous avions fait exprès de le piquer dans l'article, parce qu'il avait souvent souligné que Bukowski était un écrivain avant d'être un ivrogne. Il était venu me voir au bureau en furie. « Mais c'est qui, ces jeunes débiles ? » Il a tellement ri quand je lui ai appris que c'était une joke. « Oh les cons ! », qu'il m'avait dit en me donnant une bine sur le bras. Ce fou des livres n'a jamais voulu en publier, et ce n'est pas faute d'avoir été courtisé pour le faire. Il a finalement cédé pour ses chroniques du Tour de France (Le Tour de Foglia), mais vous ne trouverez pas d'autres recueils de ses textes en librairie. Depuis l'annonce de son décès, je ne compte plus le nombre de gens qui racontent avoir découpé ses chroniques pour les conserver, et il n'y a pas une semaine qui passe sans qu'un lecteur de La Presse déplore son absence, dix ans après sa retraite. Son regard unique nous manque. On n'a jamais pu se lasser de Foglia parce qu'il s'est concentré uniquement sur ses chroniques qu'il peaufinait comme un malade. Il refusait les entrevues, ne faisait pas de radio, pas de télé. Il était un peu le Réjean Ducharme de la chronique, même que pendant un temps, on le voyait de dos sur sa photo dans le journal. C'est en évitant de se disperser qu'il s'est rendu précieux. De Foglia, j'ai retenu un truc en particulier : toujours avoir un calepin de notes avec soi. C'est ainsi qu'il construisait ses chroniques, parfois pendant des semaines, en notant tout, une blague, une image, une idée, une information, une citation. Derrière chacun de ses textes, un travail immense, un souci d'orfèvre. Cet ancien typographe maniait les mots comme un athlète de haut niveau. Écrire était sa plus grande discipline, qu'il avait apprise auprès des plus grands écrivains. Un bon chroniqueur est toujours un bon lecteur. J'ai gardé ses courriels qui étaient signés « envoyés de mon toaster ». Dont celui qu'il m'avait écrit quand je me suis retrouvée dans le tremblement de terre en Haïti en 2010, alors que j'y étais pour faire un reportage sur Dany Laferrière et un festival littéraire. Une phrase, toute simple, en guise d'encouragement : « J'ai toujours pensé que la littérature est un sport dangereux. » 1. et 3. Lisez « Bonheurs » 2. Lisez « La liste mon vieux, une dernière »

Des records pour Les guerrières de la K-pop et Happy Gilmore 2
Des records pour Les guerrières de la K-pop et Happy Gilmore 2

La Presse

time6 hours ago

  • La Presse

Des records pour Les guerrières de la K-pop et Happy Gilmore 2

KPop Demon Hunters (Les guerrières de la K-pop) est devenu le film d'animation le plus regardé de l'histoire de Netflix. Des records pour Les guerrières de la K-pop et Happy Gilmore 2 Dans les bureaux de Netflix, l'ambiance doit être à la fête : deux films originaux récemment déposés sur la plateforme établissent des records de visionnement, et ce, en plein été. Depuis sa sortie le 20 juin dernier, le succès de KPop Demon Hunters (Les guerrières de la K-pop) est indéniable. Après six semaines dans le top 10 des films les plus populaires de la plateforme de diffusion en continu, Netflix annonce que le long métrage est devenu le film d'animation le plus regardé de son histoire. Racontant la lutte d'un célèbre groupe féminin de K-pop contre des menaces surnaturelles, le film a été vu plus de 26 millions de fois entre le 21 et le 27 juillet seulement, selon les chiffres publiés par Netflix. Un succès qui surprend : il s'agissait alors de sa sixième semaine sur la plateforme. La trame sonore du phénomène coproduit par Sony Pictures et Netflix a aussi cartonné dès sa sortie, ayant atteint la 8e place du classement général Billboard 200. Lisez « Le film Les guerrières de la K-pop, le succès… musical de l'été » Une fin de semaine historique pour Happy Gilmore 2 La suite de la comédie culte d'Adam Sandler a connu un départ remarqué lors de sa sortie sur Netflix. Avec près de 47 millions de visionnements en seulement trois jours, Happy Gilmore 2 a établi un nouveau record pour une fin de semaine de lancement. Vingt-neuf ans après le premier film, les fans d'Happy Gilmore sont toujours au rendez-vous ! PHOTO NETFLIX, FOURNIE PAR L'ASSOCIATED PRESS Adam Sandler dans une scène d'Happy Gilmore 2 En 2019, un autre film d'Adam Sandler, Murder Mystery, avec Jennifer Aniston, avait dépassé les 30 millions de visionnements dans les trois jours suivant son lancement. Happy Gilmore 2 raconte le retour au golf du personnage éponyme, qui souhaite mettre à profit son talent pour payer l'école de danse de sa fille. La sortie de cette suite a suscité un regain d'intérêt pour le film original, qui a atteint la semaine dernière le troisième rang des films les plus populaires sur Netflix.

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