
«Ce personnage plaît à tous les âges»: Miffy, la lapine néerlandaise devenue icône mondiale du produit dérivé
Il n'y a pas que Disney et Pokémon dans la vie ! Tout comme les États-Unis et le Japon, le Vieux Continent a su concevoir des œuvres qui sont devenues des empires du produit dérivé, séduisant les consommateurs du monde entier. Tour d'Europe de ces licences pensées pour les petits... et les plus grands.
Un véritable paradis du kawaï… et du shopping. À 90 minutes de train de Fukuoka (sud du Japon), la plus célèbre des lapines a ouvert le 21 juin dernier les portes de son royaume : Miffy Wonder Square. Paré des couleurs emblématiques de la licence (jaune, bleu, orange, vert) et logé au sein du parc à thème Huis Ten Bosch, il abrite des manèges enfantins, mais aussi des « photo spots » pour garnir son fil Instagram d'adorables clichés avec la mascotte à la bouche en croix. Une petite faim ? Direction le café pour déguster l'omelette de rêve de Miffy (12 euros) puis un financier dressé sur un nuage (9 euros), le tout arrosé d'un latte à la fraise (5 euros). Il est désormais temps de dévaliser les deux boutiques qui regorgent de produits dérivés exclusifs : peluches, sacs, robes, tee-shirts… Et quoi de mieux que de se reposer à l'hôtel, dans l'une des chambres à la gloire du petit lapin (à partir de 130 euros) ? Miffy y est omniprésente, jusque sur la clé magnétique
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
6 hours ago
- Le Figaro
La jeunesse foudroyée de Françoise Dorléac, actrice iconique des Demoiselles de Rochefort dont la disparition a bouleversé le cinéma français
La jeunesse foudroyée de Françoise Dorléac, actrice iconique des Demoiselles de Rochefort dont la disparition a bouleversé le cinéma français La jeunesse foudroyée de Françoise Dorléac, actrice iconique des Demoiselles de Rochefort dont la disparition a bouleversé le cinéma français La jeunesse foudroyée de Françoise Dorléac, actrice iconique des Demoiselles de Rochefort dont la disparition a bouleversé le cinéma français Porfirio Rubirosa, la tragique fin du playboy et de sa Ferrari au bois de Boulogne Le terrible destin d'Isadora Duncan, pionnière de la danse moderne, étranglée par son étole coincée dans la roue d'une voiture Le Rocher meurtrier : les derniers secrets de l'accident tragique de la princesse Grace de Monaco Chaque jour, Le Figaro raconte l'accident de voiture fatal d'une célébrité. Aujourd'hui, l'histoire de l'actrice dont la Renault 8 rouge a dérapé le 26 juin 1967 sur une chaussée glissante de la route de l'Estérel. « Je me trouvais sur la bretelle de raccordement qui mène à Cagnes-sur-Mer . Une voiture conduite par une femme me demanda le passage, me doubla à vive allure et, en se rabattant trop brutalement, dérapa. La conductrice freina sur la chaussée rendue glissante par la pluie fine qui tombait. L'auto traversa toute la route et heurta avec violence un poteau en béton. La R8 prit feu aussitôt », déclare Roger Guilliano. Son témoignage est relaté dans Le Figaro deux jours après la tragédie. Il fut impossible de sortir la jeune femme de sa petite auto rouge qu'elle avait louée. Un carnet de chèque à demi calciné, un petit agenda de poche et un permis de conduire permirent d'identifier Françoise Dorléac. Ce 26 juin 1967, la comédienne roule vers l'aéroport de Nice pour prendre la Caravelle qui doit s'envoler pour Orly à 19 heures 20. Elle est pressée, elle va rejoindre son amoureux. Selon une autre version, elle se rendait à Paris pour reprendre un vol en direction de Londres, où le film Les…


Le HuffPost France
10 hours ago
- Le HuffPost France
80 ans après Hiroshima et Nagasaki, 5 œuvres qui racontent les bombes atomiques et leurs conséquences
CULTURE - Le 8 mai 1945, entre en vigueur l'armistice, symbole de la fin du régime nazi et qui vient clore plusieurs années de guerre en Europe. Seulement, dans le Pacifique, le conflit entre le Japon et les États-Unis n'est toujours pas résolu. Par l'intermédiaire de son président Harry S. Truman, l'armée américaine annonce, avoir développé la solution. Une nouvelle arme qui serait capable de lui faire gagner la guerre. Les 6 et 9 août 1945, ont lieu les largages de deux bombes « Little Boy » et « Fat Man » sur les villes d'Hiroshima et de Nagasaki. En une fraction de seconde, des dizaines de milliers de japonais sont brûlées vifs tandis que les survivants sont sévèrement irradiés. Le Japon sévèrement affaibli capitule le 2 septembre 1945. D'après les dernières estimations, l'explosion des deux bombes serait responsable de la mort de plus de 210 000 japonais. À l'occasion des 80 ans de commémoration de ces drames, Le HuffPost vous livre une sélection d'œuvres qui par différents prismes reviennent sur la conception et les conséquences qu'ont eu les deux bombes. Oppenheimer de Christopher Nolan (2023) Dans ce long-métrage, le réalisateur d' Inception et Interstellar raconte l'histoire de l'homme à l'origine de la bombe atomique, Robert Oppenheimer. Impulsif, effronté et sympathisant communiste, Christopher Nolan dépeint le profil du physicien d'origine juive, conscient du traitement de ses semblables de l'autre côté de l'Atlantique. Nolan oblige, Oppenheimer dépeint un point de vue très centré sur la vision américaine. Si certains détails historiques sont présents, d'autres sont omis volontairement ou transformé pour la fluidité du film. Au final, si Oppenheimer s'inspire de faits réels, il n'en reste pas moins une fiction. Cependant, il reste une porte d'entrée pour découvrir l'origine du projet Manhattan jusqu'à sa résolution. Le dernier film de Christopher Nolan est disponible en VOD sur Canal+, Amazon Prime et AppleTV+. La Bombe par Didier Alcante, Laurent-Frédéric Bollée et Denis Rodier (2020) Pour les commémorations des 75 ans, la maison d'édition Glénat a publié ce roman graphique de 450 pages afin de raconter tous les pans de l'histoire sur la course à la bombe. Par un très gros travail de recherches, la bande dessinée respecte l'histoire avec une rigueur très pointilleuse. Elle se permet de prendre en compte les différents points de vue du conflit, intégrant les visions allemandes et japonaises. Elle s'emploie également à décrire la réalité des dégâts infligés sur les deux villes du pays du soleil levant. De l'extraction de l'uranium dans les mines au dénouement de la Seconde Guerre mondiale, la bande dessinée pourrait faire office de manuel d'histoire tant elle accorde de l'importance aux faits historiques. Hiroshima, mon Amour d'Alain Resnais (1959) Alain Resnais collabore avec l'écrivaine Marguerite Duras comme scénariste pour réaliser son long-métrage. Un film qui raconte une histoire d'amour entre une Française et un Japonais, à l'endroit où quinze ans plutôt la bombe atomique a explosé. Une romance qui va raviver des souvenirs douloureux. Salué par la critique à sa sortie en 1959, le film est considéré comme révolutionnaire pour son époque et provoquera des remous. Quasi censurée, l'œuvre est écartée de la sélection officielle au festival de Cannes 1959, pour ne pas déplaire aux États-Unis (mais sera tout de même projetée hors compétition). En plus d'évoquer l'horreur atomique, Marguerite Duras brise également l'un des plus gros tabous de l'histoire française. Celui des femmes tondues pour leurs rapports sexuels avec les Allemands sous l'occupation. Pour découvrir ce classique, il est disponible en VOD sur AppleTV +. Lumières d'été par Jean-Gabriel Périot (2016) Dans ce film, Akihiro est un réalisateur japonais vivant à Paris qui se rend à Hiroshima pour interviewer des survivants de la bombe atomique. Bouleversé par l'horreur des témoignages, il erre en ville pour souffler. Il y fait la rencontre de Himiko. Porté par l'enthousiasme de la jeune femme, le réalisateur va découvrir l'histoire de la ville d'Hiroshima sous un nouvel aspect. Celui des générations futures qui se construisent sur les événements du passé. Ce film documentaire est le second projet du réalisateur français Jean-Gabriel Périot après le court-métrage 200 000 fantômes produit en 2007 qui concernait déjà les catastrophes d'Hiroshima et de Nagasaki. Disponible a la location sur Amazon Prime. Dans un recoin de ce monde par Fumiyo Kôno (2008) Lorsqu'on évoque le Japon, il est difficile de le dissocier de la culture mange et anime. Fumiyo Kono est une autrice japonaise qui a été profondément marquée par les événements d'Hiroshima et de Nagasaki. Après avoir dessiné le Pays des cerisiers en 2004, la mangaka réalise un second projet sur les conséquences des bombes atomiques pour le peuple japonais, Dans un recoin de ce monde. La mangaka conte l'histoire de Suzu, une jeune femme qui a passé son enfance près d'Hiroshima, qu'elle immortalise à travers ses dessins. Par ses traits enfantins, le recueil de Fumiyo Kono s'ouvre à tous les publics afin de parler de ce sujet traumatisant pour bon nombre de familles japonaises. Grâce à son succès, l'œuvre connaîtra une adaptation au cinéma en film d'animation en 2015 sous la direction de Sunao Katabuchi à retrouver sur Crunchyroll.


Le Figaro
a day ago
- Le Figaro
Licenciement abusif: un accord a été trouvé entre Disney et l'actrice Gina Carano
L'ex-actrice de Star Wars a conclu un accord avec Disney après avoir porté plainte pour licenciement abusif. Limogée en 2021 en raison de ses prises de position sur des sujets sensibles tels que l'Holocauste et les droits des transgenres, Carano avait suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux. Une ex-actrice de l'univers Star Wars qui avait porté plainte contre Disney pour licenciement abusif, motivé selon cette supportrice de Donald Trump par ses prises de position sur l'Holocauste, la pandémie de Covid-19 ou les droits des personnes transgenres, a conclu un accord avec le studio, a-t-on appris jeudi. Gina Carano avait un rôle récurrent dans la série The Mandalorian, tirée de l'univers Star Wars, avant d'être limogée par Disney en 2021. L'entreprise avait annoncé se séparer de cette comédienne spécialiste des arts martiaux à cause de ses « messages odieux et inacceptables » sur les réseaux sociaux, « dénigrant des personnes sur la base de leur identité culturelle et religieuse ». Jeudi, un porte-parole de Lucasfilm, filiale de Disney, a annoncé que le studio était « parvenu à un accord avec Gina Carano pour résoudre les litiges liés à son litige en cours ». Dans un communiqué envoyé à l'AFP, Disney a indiqué avoir « hâte de trouver l'occasion de travailler avec Mme Carano dans un futur proche ». Les détails de l'accord n'ont pas été divulgués. Sur les réseaux sociaux, Gina Carano avait notamment fait un rapprochement entre le fait d'être un conservateur aux États-Unis et le fait d'être juif dans l'Allemagne nazie. « Les soldats nazis pouvaient facilement rassembler des milliers de Juifs », car « le gouvernement faisait en sorte que leurs propres voisins les détestent simplement parce qu'ils étaient Juifs », avait-elle écrit sur X. « En quoi cela diffère-t-il de la haine de quelqu'un pour ses opinions politiques? » Elle avait accompagné cette publication d'une photo de femme juive battue sous le régime de Hitler. Publicité Soutenue par le réseau X L'actrice s'était également moquée dans un autre message d'une personne portant plusieurs masques pendant la pandémie de Covid-19. Elle avait aussi suscité la polémique en adoptant « boop/bop/beep » comme pronoms sur ses réseaux sociaux, une décision assimilée par ses détracteurs comme une pique envers les personnes transgenres. Dans sa plainte, soutenue et financée par le réseau X, propriété d'Elon Musk, elle expliquait avoir été harcelée en ligne par des « extrémistes de gauche », et estimait que son employeur a terni sa réputation et réduit ses chances de travailler dans l'industrie audiovisuelle.