logo
Paris : agressé au couteau dans un bus de nuit parce qu'il n'avait pas de briquet sur lui

Paris : agressé au couteau dans un bus de nuit parce qu'il n'avait pas de briquet sur lui

Le Parisien13-07-2025
Il attendait de rentrer chez lui depuis de longues minutes, près de la porte d'Orléans à Paris (XIVe). Et il a fini à l'hôpital plutôt que dans son lit.
Dans la nuit de samedi à dimanche, vers 4 h 30, un jeune homme voit enfin arriver son bus de nuit. Alors qu'il s'apprête à monter, un autre homme l'aborde et lui aurait demandé un briquet. Le premier passager aurait répondu qu'il n'en avait pas, avant de tenter d'aller s'asseoir. Mais l'autre passager, qui « voulait du feu », s'emporte.
Une bagarre éclate à l'intérieur du bus de nuit N66. L'agresseur sort un couteau et plante à deux reprises la victime, au niveau du dos et de la hanche, avant de prendre la fuite.
La victime tente, un temps, de poursuivre l'auteur des coups de couteau, mais flanche bien vite. Il est pris en charge par les secours et son pronostic vital n'est pas engagé. Aucune artère n'ayant été touchée. Transporté dans un hôpital voisin, il y a passé la fin de nuit.
« Une enquête du chef de violences avec arme a été confiée au commissariat du XIVe arrondissement de Paris, indique le parquet de Paris. Les investigations sont en cours afin de déterminer les circonstances de cette agression. »
Les images du bus sont en cours d'exploitation.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Rachida Dati renvoyée en procès : Gérald Darmanin «souhaite ardemment qu'elle soit maire de Paris»
Rachida Dati renvoyée en procès : Gérald Darmanin «souhaite ardemment qu'elle soit maire de Paris»

Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

Rachida Dati renvoyée en procès : Gérald Darmanin «souhaite ardemment qu'elle soit maire de Paris»

La ministre de la Culture sera jugée pour corruption et trafic d'influence dans l'affaire Renault. Le procès pourrait se tenir après les municipales prévues en mars 2026. Alors que Rachida Dati a été renvoyée ce mardi en correctionnelle pour corruption et trafic d'influence dans l'affaire Renault, son avenir politique est-il assombri ? Si le procès pourrait se tenir après les élections municipales prévues en mars 2026, la perspective d'une telle échéance risque en tout cas de peser sur les épaules sur la maire du 7e arrondissement de la capitale qui ne fait pas mystère de ses ambitions sur l'Hôtel de ville de Paris. À lire aussi Retailleau, Dati, Barnier : une réunion de conciliation avant la commission fatidique du 28 juillet est-elle possible ? Quoi qu'il en soit, la ministre peut déjà compter sur le soutien de l'exécutif. Tandis qu'Emmanuel Macron a confirmé le maintien de sa ministre de la Culture au gouvernement par la voix de son entourage, le garde des Sceaux Gérald Darmanin a dit sur TF1 souhaiter «ardemment qu'elle soit maire de Paris», tout en saluant une «grande femme politique».

«Il repose essentiellement sur un homme» : Retailleau décrète la fin du macronisme et attire la colère du camp présidentiel
«Il repose essentiellement sur un homme» : Retailleau décrète la fin du macronisme et attire la colère du camp présidentiel

Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

«Il repose essentiellement sur un homme» : Retailleau décrète la fin du macronisme et attire la colère du camp présidentiel

Auprès de Valeurs actuelles, le ministre de l'Intérieur a redit que sa présence dans la coalition gouvernementale «n'est pas une adhésion au macronisme», mais est plutôt animée par son refus que «la gauche mélenchonisée» accède «au pouvoir». À nouveau de la friture sur la ligne au sein de la coalition gouvernementale. En décrétant dans l'hebdomadaire Valeurs Actuelles la fin du macronisme «avec Emmanuel Macron», le patron des Républicains et ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau a hérissé mardi tout le camp présidentiel. Pour lui, ce phénomène est en fin de parcours parce qu'elle «n'est ni un mouvement politique, ni une idéologie : il repose essentiellement sur un homme». «Je ne crois pas au 'en même temps'», postulat d'Emmanuel Macron qui revendique d'être à la fois de droite et de gauche, «car il alimente l'impuissance», ajoute le président de LR. Le ministre, qui doit rencontrer jeudi à l'Élysée le président de la République, redit que sa présence dans la coalition gouvernementale de la droite et du centre «n'est pas une adhésion au macronisme», mais est animée par «l'intérêt général» et son refus que «la gauche mélenchonisée (accède) au pouvoir». Au nom d'une «droite utile, mais pas docile», il explique participer au gouvernement de François Bayrou non pas «pour faire de la figuration» mais «pour peser de tout le poids de (ses) convictions de droite». À lire aussi Bruno Retailleau au Figaro : «Sur l'Algérie, la diplomatie des bons sentiments a échoué» Publicité La France insoumise (LFI) est «la pire menace politique» par rapport au Rassemblement national, estime le ministre qui se rapproche souvent des propositions régaliennes du RN. Il appelle par conséquent à «assumer un cordon sanitaire» aux élections municipales de mars 2026 contre le mouvement de Jean-Luc Mélenchon et estime que la droite devra être «au cœur d'un bataillon de choc le plus élargi possible». «Nous ne pourrons pas gagner seuls», affirme-t-il sans dire s'il veut s'allier avec le RN. Emmanuel Macron avait rappelé à l'ordre François Bayrou mais aussi Bruno Retailleau début juillet quand ce dernier s'était prononcé pour la fin des aides aux énergies renouvelables, provoquant la colère de sa collègue Renaissance de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher. Les ministres «doivent s'occuper des politiques qu'ils conduisent», avait affirmé le chef de l'État, en appelant le premier ministre à «discipliner la parole» de son gouvernement. Une recommandation qui pas vraiment entendue mardi soir, au regard de la levée de boucliers suscitée. Borne, Bergé... Le camp présidentiel serre les rangs La ministre Renaissance de l'Éducation Élisabeth Borne a accusé en retour le patron de la place Beauvau, sur le réseau X, de «tenter de diviser le socle commun» et ainsi d'«affaiblir les remparts contre les extrêmes». «Agir ensemble exige du respect mutuel», a ajouté l'ex-première ministre, en affirmant que le macronisme était «une idéologie ET un parti politique». Agnès Pannier-Runacher est elle aussi montée au créneau pour défendre «le macronisme», «choix de l'action face au populisme, du rassemblement face à la division. C'est ce qui a tenu le pays debout pendant les crises», a-t-elle insisté. Le parti Renaissance a jugé sur le même réseau social «inacceptables» les propos de Bruno Retailleau pourtant ministre d'un «gouvernement de coalition», ce qui confère aux yeux du mouvement «une responsabilité particulièrement lourde qui ne tolère ni les provocations, ni les petits calculs politiques». «Le temps passé à diviser et à déclencher ces polémiques est du temps perdu pour l'action au service des Français», insiste le mouvement présidentiel. «Le macronisme ne s'arrêtera pas. Ni aujourd'hui, ni dans 2 ans, ni après. (...) Personne ne l'effacera. Et il nous appartient de le porter et revendiquer avec Renaissance», a réagi aussi Aurore Bergé, ministre de l'Égalité entre les hommes et les femmes. «Le macronisme est un projet politique dans lequel se sont reconnus et se reconnaissent encore de nombreux Français. Le manque de respect n'est pas la meilleure manière de bâtir un projet rassembleur pour le pays», s'est insurgé également le ministre de l'Industrie Marc Ferracci, un proche du chef de l'État.

Municipales 2026 : LR envisage de soutenir Robert Ménard à Béziers
Municipales 2026 : LR envisage de soutenir Robert Ménard à Béziers

Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

Municipales 2026 : LR envisage de soutenir Robert Ménard à Béziers

Réservé aux abonnés INFO LE FIGARO - Sans étiquette aujourd'hui après avoir été élu avec le soutien du RN en 2014, l'édile de l'Hérault sera l'invité surprise des universités d'été des Républicains début septembre. La «vague bleue» pourrait passer par Béziers. Alors que Les Républicains (LR) considèrent qu'ils abordent les municipales de mars 2026 «en position de force», la droite s'est fixé l'objectif de rester «le premier parti en nombre d'élus locaux». Cela passe d'abord et avant tout, selon Bruno Retailleau, par le fait d'empêcher l'arrivée ou le maintien de «la gauche mélenchonisée». Cela passe aussi par le fait de soutenir, en contrepartie, ceux qui seraient en mesure de tenir le fameux «cordon sanitaire» anti-La France Insoumise, théorisé par LR. À neuf mois du scrutin prévu en mars prochain, une commission nationale d'investiture (CNI) doit se tenir le lundi 28 juillet prochain pour lancer officiellement la campagne municipale des Républicains, en désignant de premiers candidats. L'«option» Ménard Selon nos informations, une ville ne devrait toutefois pas figurer dans cette première liste, mais pourrait faire grand bruit dans les prochaines semaines : il s'agit de Béziers (Hérault), où la droite ne s'interdit…

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store