
Saint-Etienne - Rodez : à quelle heure et sur quelle chaîne suivre ce choc de la deuxième journée de Ligue 2 ?
Menés par leur attaquant Irvin Cardona, qui avait été un grand artisan de la remontée en Ligue 1 à la fin de la saison 2023-2024, les Verts ont un premier défi à domicile face à Rodez après avoir concédé un drôle de match nul à Laval (3-3) en ouverture du championnat.

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L'Équipe
2 hours ago
- L'Équipe
Largement remanié contre Nantes, le PSG assure le service minimum et repart de la Beaujoire avec la victoire
Pour son premier match de la saison 2025-2026 de Ligue 1, le PSG, largement remanié, l'a emporté ce dimanche soir face au FC Nantes à la Beaujoire (1-0). Vitinha a donné la victoire à son équipe d'une frappe déviée. Les champions étaient de retour. Dans une Beaujoire bien garnie ce dimanche soir, le PSG s'est présenté avec une équipe largement remaniée par Luis Enrique. Après le succès renversant contre Tottenham en Supercoupe d'Europe mercredi à Udine (2-2, 4-3 t.a.b.), le technicien espagnol avait décidé de relancer quelques joueurs en manque de temps de jeu. Pêle-mêle, Warren Zaïre-Emery, Lucas Hernandez, Lucas Beraldo, Lee Kang-in ou Ibrahim Mbaye accompagnaient un Illia Zabarnyi fraîchement débarqué en provenance de Bournemouth. Le match : 0-1 Face à des Canaris sans Francis Coquelin ni Matthis Abline au coup d'envoi et avec un Luis Castro suspendu et donc en tribunes, le PSG, qui arborait son maillot third, s'est montré très brouillon tout au long du premier acte. S'il a été peu inquiété tout au long de la rencontre, il a eu besoin pour s'en sortir d'un coup de billard : un tir lointain de Vitinha dévié par Chidozie Awaziem dans son propre but, prenant sur le coup Anthony Lopes à contre-pied (67e). Auparavant, seul Gonçalo Ramos avait fait passer un frisson dans les gradins en imitant (presque) Pauleta version avril 2004 face à Fabien Barthez. Plus vigilant que l'ancien portier de l'OM, Lopes claquait de justesse sur sa barre (42e). L'attaquant portugais pensait ensuite doubler la mise du pied gauche mais la patrouille le rattrapait pour un hors-jeu microscopique (77e). Même sort pour Bradley Barcola, incisif en vain, qui manquait le cadre d'un petit piqué en fin de match (88e). Avec trois points dans le sac, Lucas Chevalier et ses coéquipiers repartent tranquillement des bords de l'Erdre. Vendredi prochain, ils affronteront Angers au Parc des Princes. Les Canaris, eux, se rendront le dimanche à la Meinau pour défier Strasbourg.


Le Parisien
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« J'espère qu'on a payé pour apprendre » : le Paris FC va devoir vite se mettre en mode Ligue 1
Un douloureux retour sur terre. Très attendu, l'ambitieux promu parisien n'a pas tardé à être rattrapé par la réalité du terrain ce dimanche 17 août à Angers (1-0), plus petit budget de la Ligue 1. Fort d'une préparation réussie, le Paris FC était pourtant arrivé au stade Raymond Kopa avec le plein de certitudes. Mais elles n'ont pas résisté à une entame de jeu calamiteuse punie par le trou d'air pris par le capitaine Timothée Kolodziejczak sur le but d'Estéban Lepaul.

L'Équipe
2 hours ago
- L'Équipe
« Un but abracadabrantesque » : pourquoi Brest a déposé une réserve technique après le troisième but de Lille
À l'image d'Eric Roy, leur entraîneur, les Brestois ont pesté sur la décision de l'arbitre, Clément Turpin, d'accorder le troisième but lillois, ce qui les a poussés à déposer une réserve technique. Le match entre Brest et Lille, dimanche, a été dingue, riche en (beaux) buts et en rebondissements, et l'un d'eux a plus fait parler que les autres. Menés 2-0 sur des buts d'Olivier Giroud et de Hakon Haraldsson, les Bretons étaient parvenus à revenir à 2-2 grâce à un doublé de Kamory Doumbia, d'abord opportuniste (1-2, 34e) puis auteur d'une superbe frappe (2-2, 51e). Mais ils ont craint tout perdre sur un but « assez invraisemblable », pour reprendre le terme utilisé par Eric Roy, leur entraîneur. On joue la 66e minute quand Hakon Haraldsson tire un corner et après une remise de la tête Nathan Ngoy, Ngal'ayel Mukau trompe à bout portant Radoslaw Majecki. Le milieu lillois était libre de tout marquage, car certains Brestois s'étaient arrêtés de jouer après avoir vu l'arbitre assistant lever son drapeau. Les notes de Brest-Lille : Doumbia inspiré, André émoussé Mécontents de la décision de Clément Turpin d'accorder le but, les Pirates ont alors déposé une réserve technique par l'intermédiaire de leur capitaine, Brendan Chardonnet. « Quand ils marquent, on voit que l'arbitre assistant a le drapeau levé, il annonce six mètres, explique le défenseur. J'ai du mal à comprendre comment il peut revenir sur sa décision, parce qu'il n'y a pas de goal-line sur la ligne. Je n'ai pas revu les images, on me dit qu'elle n'est pas sortie. Pas de souci, mais l'arbitre assistant est à un mètre et il dit l'inverse. Et il n'y a rien au niveau technologie pour l'assurer à 100 %, même si l'image parle clairement. Mais il faut être cohérent, c'est pour ça qu'on a voulu déposer une réserve. » « Je vais encore engueuler les joueurs pour leur dire que c'est le coup de sifflet de l'arbitre qui compte » Eric Roy, entraîneur de Brest Forcément, ce fait de jeu a été commenté par Roy en conférence de presse, et le technicien est revenu dessus dans le développement de sa première réponse. « Le troisième but lillois est en plus assez invraisemblable, a-t-il indiqué. Le juge de touche lève le drapeau dès que le corner est frappé, on pensait que le ballon était sorti. Ce qui est dommage, c'est que ça induit mes joueurs en erreur, ils s'arrêtent de jouer. Après, on a vu sur le ralenti que le ballon n'était pas du tout sorti. Ce qui est un peu bizarre, c'est qu'on a toujours tendance à lever le drapeau très tard sur les actions pour checker des hors-jeu, donc pourquoi lever, là, le drapeau tout de suite ? » La démarche ne sera pas poursuivie Relancé en fin de conférence, le technicien est revenu sur le sujet : « Dans ma tête, l'action était terminée, le but devait être annulé. Mais comme le ballon n'était pas sorti... Mais tu ne peux pas dire que ça n'a pas influencé mes joueurs... C'est un but abracadabrantesque. Je n'en veux pas à l'arbitre mais c'est vrai que cette situation est un peu particulière. Je vais encore engueuler les joueurs pour leur dire que c'est le coup de sifflet de l'arbitre qui compte. » Le technicien ne savait alors pas si la démarche allait être poursuivie en interne et, selon le club breton, cela ne sera pas le cas. Turpin n'ayant pas sifflé, les Brestois savaient que leur démarche ne pouvait aboutir. De toute façon, comme ils avaient fait preuve de courage pour revenir de nouveau au score et obtenir le nul, le mal n'était pas fait.