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Temps mitigé, vent en Méditerranée... Quelle météo pour le mardi 29 juillet ?

Temps mitigé, vent en Méditerranée... Quelle météo pour le mardi 29 juillet ?

Le Figaro7 days ago
Le temps sera plutôt frais, avec une certaine grisaille. Jusqu'à quand ?
Mardi 29 juillet, le temps sera mitigé en France, avec des températures un peu fraîches au nord et de forts vents au bord de la Méditerranée.
Quel temps fera-t-il ce mardi 29 juillet ?
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Une matinée douce entre éclaircies et nuages
Le matin, le temps sera frais avec une certaine grisaille sur la moitié nord de la France, sans véritable dégradation mais sans grand soleil non plus. Le ciel sera nuageux dans les Hauts-de-France et près des côtes de la Manche et de l'Atlantique. Les températures seront comprises entre 11 et 14°C.
Il y aura plus de soleil et de chaleur dans le Midi, entre 18 et 21°C, mais surtout du vent. Celui-ci soufflera en effet jusqu'à 80 km/h au bord de la Méditerranée, avec un risque d'incendie, annonce La Chaîne Météo *.
Une après-midi contrastée entre le nord et le sud
Dans l'après-midi, la perturbation provoquée par une bordure anticyclonique s'avancera vers le sud. Il pourrait y avoir un peu de pluie en Bretagne et en Normandie. Alors que les températures seront environ 2°C en dessous des moyennes de saison dans la moitié nord, il fera encore chaud et très ensoleillé en Méditerranée, jusqu'à 30°C à Montpellier. Il y aura toujours un risque modéré d'incendie dans le Sud-Est.
Une soirée globalement agréable mais toujours venteuse en Méditerranée
Au nord de la Loire, les températures avoisineront les 20°C et les nuages seront abondants, avec de potentielles averses mais sans précipitations notables. À l'inverse, les éclaircies se maintiendront dans le Sud, avec un soleil radieux des Alpes à la Méditerranée, où il faudra néanmoins se méfier d'un vent encore fort soufflant parfois en rafales.
Une lente amélioration devrait suivre au cours de la semaine, avec un temps plus stable et des températures plus habituelles pour un mois de juillet.
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*La Chaîne Météo est une propriété du groupe Le Figaro.
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Médicaments utilisés en hiver : pas de pénurie prévue pour le moment, annonce l'ANSM

Il n'y a pour le moment pas de signes annonciateurs de pénurie pour les principaux médicaments utilisés pendant l'hiver, notamment certains antibiotiques, a annoncé lundi l'Agence du médicament, assurant toutefois rester vigilante après plusieurs saisons difficiles. «À date, la disponibilité des médicaments est assurée», a déclaré l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), dans un communiqué publié à la suite d'une réunion mi-juillet avec les principaux acteurs du secteur: groupes pharmaceutiques, pharmaciens... Depuis deux ans, l'agence lance chaque année un plan hivernal destiné à éviter les pénuries de médicaments lors de cette saison systématiquement marquée par la circulation importante de diverses maladies, qu'il s'agisse d'infections bactériennes - traitables par antibiotiques - ou virales comme la grippe saisonnière. Le début des années 2020 a été marqué par la pénurie de certains traitements, dont des antibiotiques courants comme l'amoxicilline, en particulier dans leurs versions destinées aux enfants. Publicité L'hiver 2024-2025 a été relativement clément en la matière, comme le rappelle l'ANSM, avec une amélioration en ce qui concerne l'amoxicilline. Mais un autre antibiotique, la clarithromycine, a concentré les difficultés d'approvisionnement. En vue de l'hiver 2025-2026, l'ANSM a donc fait un point pour déterminer si des tensions sont à craindre pour les principaux médicaments hivernaux: ils incluent non seulement des antibiotiques, mais aussi des médicaments contre la fièvre ainsi que des traitements de l'asthme. De manière générale, «les stocks sont reconstitués, tant chez laboratoires, les grossistes- répartiteurs qu'en pharmacie», a noté l'agence. «Les prévisionnels d'approvisionnement en lien avec les prévisionnels des besoins, transmis par les laboratoires, ne prévoient pas de signal de tension à venir pour la saison prochaine.» En conséquence, «nous n'activons pas de consignes spécifiques ou de mesures de distribution anticipées à ce stade», signale l'ANSM. Pour autant, l'agence assure maintenir un «suivi attentif» de la situation. Ce point ne concerne par ailleurs que les médicaments utilisés face aux principales maladies hivernales. Des pénuries persistent pour de nombreux traitements, notamment en psychiatrie pour plusieurs psychotropes.

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Cette initiative illustre tristement ce qu'est devenue la politique des drogues en France : un champ miné où le débat est confisqué, où toute remise en question devient suspecte. En effet, la libre expression démocratique sur une question de santé publique, doublée d'une question d'ordre sécuritaire, semble paralysée par la peur des représailles : celle du couperet idéologique et de la sentence du juge. Publicité Derrière cette polémique se pose une question de fond : peut-on encore débattre sereinement de la politique de soin en addictologie sans risquer la judiciarisation ? Peut-on encore interroger la place réelle du soin, de la désintoxication , de l'abstinence, sans être aussitôt accusé de stigmatisation, de moralisation, voire de populisme électoraliste ? La plainte en diffamation déposée par la Fédération Addiction contre une campagne politique — fondée sur des vœux votés au Conseil de Paris, des échanges avec l'ARS et des documents administratifs publics — soulève un paradoxe troublant. Lorsqu'un sujet relève à ce point de la santé publique, ne devrait-il pas faire l'objet d'un débat transparent, pluraliste, contradictoire, et non d'une réponse judiciaire ? Laisser entendre que toute critique des dispositifs en place constituerait une attaque contre les professionnels est une stratégie de dissuasion, non une réponse démocratique. La réduction des risques a été un progrès sanitaire majeur. Grâce à elle, des vies ont été sauvées. Les overdoses ont reculé, les contaminations par le VIH ont été contenues Le droit au débat, à la contestation, à l'évaluation fait partie intégrante de la démocratie. La vérité, lorsqu'elle est documentée, ne peut être diffamatoire. Et le débat sur les politiques publiques ne peut être bâillonné au nom de la sensibilité du sujet. Il faut le dire clairement : la réduction des risques a été un progrès sanitaire majeur. Grâce à elle, des vies ont été sauvées. Les overdoses ont reculé, les contaminations par le VIH ont été contenues. Elle a permis de sortir d'une vision uniquement répressive de la toxicomanie. Mais ce progrès est aujourd'hui devenu, dans certains discours, une fin en soi. Or, réduire les risques ne doit pas signifier renoncer à soigner. Au Canada comme aux États-Unis, des salles de consommation supervisée ferment, incapables de répondre à l'urgence sanitaire de la crise du fentanyl. Le soin et la désintoxication sont remis au premier plan. 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Ce dont nous avons besoin, c'est d'un modèle d'addictologie intégratif, qui assume de protéger sans renoncer à soigner, de réduire les risques tout en proposant une voie de sortie, de respecter la personne sans renoncer à l'espérance d'un rétablissement. Il existe déjà, dans d'autres pays, des structures qui articulent ces deux approches : centres de sevrage progressif, hôpitaux de jour, cliniques communautaires qui offrent des traitements de substitution tout en accompagnant vers une désintoxication possible. Ces modèles montrent que l'humanisme ne s'oppose pas à l'ambition thérapeutique. On peut croire au rétablissement sans être dans le déni. On peut accompagner sans capituler. Ce que révèle la polémique actuelle, c'est l'urgence d'un changement de cap. Ni retour à la répression pure, ni maintien dans une logique palliative figée. Une autre voie est possible. Elle suppose plusieurs ruptures courageuses. 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