
Un cadavre « partiellement dénudé » et « recouvert de suie » découvert dans une cage d'ascenseur en Eure-et-Loir
découvert dans une cage d'ascenseur
, ce jeudi, à Vernouillet, une commune
de l'Eure-et-Loir
située près de Dreux, a fait savoir au Parisien le parquet de Chartres, qui a ouvert une enquête.
Le corps a été découvert vers 15h30 par un technicien en charge de la maintenance de l'ascenseur d'un immeuble situé dans le quartier de la Tabellionne. L'appareil, en panne, était arrêté entre deux étages, indique Frédéric Chevallier, procureur de la République de Chartres.
Selon les premiers éléments de l'enquête, le corps a été retrouvé « partiellement dénudé », précise le magistrat. Dans un premier temps, une source policière avait indiqué que le corps avait été « brûlé ». Le procureur de la République a indiqué qu'il n'était « pas brûlé » mais « recouvert de suie ».
À ce stade, l'enquête n'a pas permis d'identifier la victime, selon le parquet, qui fait savoir qu'une autopsie sera réalisée lundi prochain à l'institut médico-légal (IML) du CHU de Rouen (Seine-Maritime).
Une enquête a été ouverte par le parquet de Chartres pour « recherches des causes de la mort », indique le procureur. Les investigations ont été confiées conjointement au service interdépartemental de la police judiciaire (SIPJ) d'Eure-et-Loir et au service local de police judiciaire (SLPJ) de Dreux.

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Parisien
28 minutes ago
- Le Parisien
« Ça me pourrit la vie » : en Essonne, les étrangers démunis face aux délais de traitement des titres de séjour
gée de 31 ans, cette Marocaine avait jusqu'alors toujours obtenu le renouvellement de ses titres de séjour avant leur date d'expiration. Elle découvre désormais « l'humiliation » de voir que « [sa] vie entière dépend d'un document » dont la demande de renouvellement, déposée deux mois auparavant à la sous-préfecture de Palaiseau, est toujours en cours d'instruction. « Hier, ma fille a vu mon désespoir et elle m'a demandé si on allait me renvoyer de France », se désole la jeune femme.


Le HuffPost France
28 minutes ago
- Le HuffPost France
Loi Duplomb : cette autre décision du Conseil constitutionnel qui sera (très) scrutée
POLITIQUE - Censurera, censurera pas ? C'est peu dire que la décision du Conseil constitutionnel sur la très contestée loi Duplomb, ce jeudi 7 août, est très attendue. Le texte, qui prévoit la réintroduction de l'acétamipride, un pesticide toxique, réunit contre lui une large opposition. Au-delà de la gauche et des écologistes, de nombreux scientifiques, la Ligue contre le cancer et l'Ordre des médecins ont fait savoir qu'il était néfaste pour la santé humaine et pour l'environnement. Au travers d'une pétition mise en ligne sur le site de l'Assemblée, plus de 2 millions de Français demandent à Emmanuel Macron de ne pas promulguer la loi ou, tout du moins, d'organiser une nouvelle séance de discussion au Parlement. Mais seront-ils entendus par le Conseil constitutionnel ? Les Sages ont été saisis de deux recours, et doivent se prononcer sur la conformité du texte à la Constitution. Il existe un scénario où une partie (voire l'entièreté) de la loi tombe. Les députés LFI, écologistes et communistes ont déposé un recours commun, dénonçant l'incompatibilité de certaines mesures de la loi avec la Charte de l'environnement, intégrée à la Constitution en 2005. Selon eux, le droit à un environnement sain est compromis par la loi Duplomb. Auprès de Mediapart, le constitutionnaliste Dominique Rousseau estime aussi « qu'il y a des motifs objectifs et sérieux pour que la loi soit jugée comme portant atteinte [à ce principe] ». Pas d'amendement, pas de débat À noter que même le gouvernement, dans ses observations écrites envoyées au Conseil constitutionnel, admet que la réintroduction de l'acétamipride « vient effectivement limiter le droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé ». Reste que le Conseil constitutionnel n'a jamais fait valoir la Charte de l'environnement pour retoquer une loi, contrairement au Conseil d'État. Pire : il a laissé passer les dérogations accordées à l'utilisation de néonicotinoïdes en 2020. Sur le fond, rien ne dit donc que les Sages feront obstacle à la loi. C'est sur un autre registre que les opposants au texte espèrent obtenir en réalité gain de cause. En effet, le Conseil constitutionnel est aussi saisi d'un recours sur la façon dont les débats ont été menés à l'Assemblée. Le processus qui a permis au texte d'être adopté est là en cause. On rembobine. Au moment où les députés devaient plancher sur le texte, la droite a usé d'un stratagème particulièrement pernicieux : la procédure accélérée. Pour empêcher le débat, LR, Renaissance, le MoDem et Horizons ont voté une motion de rejet préalable qui a eu pour conséquence d'envoyer le texte directement en commission mixte paritaire. À huis clos, quatorze députés et sénateurs, majoritairement favorables au texte, se sont donc accordés sur les mesures à conserver. Sans une minute de débat dans l'hémicycle, et sans possibilité d'examiner le moindre amendement. Une « irrégularité » de procédure ? Un dévoiement de la procédure parlementaire, condamnée par l'opposition de gauche mais aussi par plusieurs ONG. Les députés LFI, écologistes et communistes fustigent ainsi « l'irrégularité de cette procédure ». Selon plusieurs observateurs, il y a plus de chance que le Conseil constitutionnel censure la loi Duplomb sur ce motif, plutôt que pour des raisons liées à la santé publique ou au non-respect du droit de l'environnement. Il « pourrait considérer qu'il y a eu là une atteinte manifeste, importante, au principe de sincérité et de clarté du débat parlementaire, puisque la seule assemblée élue au suffrage universel n'a pas eu l'opportunité de débattre », estime Dominique Rousseau, interrogé par l'AFP. Si la loi Duplomb était censurée par le Conseil constitutionnel en raison des conditions de son adoption au Parlement, ce serait historique et cela créerait sans conteste un précédent. La décision rendue ce 7 août est donc à scruter attentivement.


Le Figaro
28 minutes ago
- Le Figaro
Municipales 2026 : à Marseille, Martine Vassal se prépare à incarner la droite et le centre
Réservé aux abonnés La présidente du conseil départemental et de la métropole d'Aix-Marseille Provence aurait le soutien des Républicains mais aussi de Renaissance dès lors qu'elle annoncera sa candidature, faisant d'elle l'unique candidate de la droite et du centre... ou presque. Officiellement, Martine Vassal a appuyé sur pause, comme chaque été. «Les congés, c'est fait pour se reposer et pour réfléchir à la rentrée», martèle-t-on dans l'entourage de la présidente du département des Bouches-du-Rhône et de la métropole d'Aix-Marseille. Mais en réalité, l'heure ne serait plus vraiment à la réflexion pour celle qui se prépare déjà à la bataille des municipales à Marseille. «Elle n'hésite plus, croit savoir un cadre de la droite marseillaise. Elle va se présenter. Elle est passée par toutes les phases. Il y a eu d'abord le refus, puis l'hésitation, puis l'obligation. Mais maintenant, elle en a envie.» Depuis la mort de Jean-Claude Gaudin, la droite, orpheline, se cherchait un chef de file pour tenter de retrouver les clés de la mairie, désormais détenue par l'ancien socialiste Benoît Payan. Renaud Muselier a juré ne pas vouloir du poste après en avoir longtemps rêvé. Le regard s'est alors rapidement tourné vers la présidente de la métropole et du département. Au départ, Martine Vassal évitait systématiquement le sujet, allant jusqu'à…