
L'horoscope gratuit du dimanche 3 août 2025
Chaque jour, retrouvez l'horoscope gratuit avec Christine Haas (Instagram : @chrishaasoff) sur le site du Figaro avec TV Magazine .
L'horoscope du dimanche 3 août 2025
Un aspect harmonieux entre la Lune, symbole de vos émotions et de votre monde intérieur, et Neptune, planète des rêves, de l'intuition et de la compassion, vous invite à plonger avec douceur dans une prise de conscience importante. Il arrive que vous fassiez des erreurs, c'est inévitable dans le jeu complexe de la vie. Mais ce dimanche, les astres vous invitent à vous regarder en face avec honnêteté et responsabilité. Il se peut que vous ayez commis une faute et ne pas en accuser les autres est important ; cela demande du courage et de la maturité. Heureusement, la conjoncture crée une énergie empreinte de sensibilité et de bienveillance. Ce n'est donc pas le moment de vous punir ni de sombrer dans la culpabilité, mais plutôt d'accueillir vos imperfections comme étant partagées par le plus grand nombre Elles peuvent même vous aider à évoluer ! Neptune amplifie votre empathie envers vous-même aujourd'hui, créant un espace où l'acceptation remplace le jugement. Refuser de rejeter vos fautes sur l'entourage est un des actes les plus adultes qui soit. Cela signifie que vous assumez pleinement votre part de responsabilité, ce qui est un premier pas vers une belle amélioration. Quand vous reconnaissez votre rôle dans une situation, vous prenez tout simplement le pouvoir sur votre vie ; vous cessez d'être une victime des circonstances et devenez l'acteur conscient de votre destinée. L'aspect favorable de ce dimanche facilite cette démarche en adoucissant le poids des erreurs que vous avez pu commettre. Il vous invite à accentuer votre confiance en votre capacité à réparer, à changer, à évoluer. Ne soyez pas trop dur envers vous-même, mais ne minimisez pas non plus l'importance d'un retour honnête sur vos actes passés. La leçon des astres est claire : l'erreur n'est pas une faiblesse, mais un tremplin vers la sagesse. En acceptant vos responsabilités avec honnêteté, vous ouvrez la porte à des relations plus authentiques et à une vie intérieure plus apaisée.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
3 minutes ago
- Le Figaro
« Regarde » : quand Barbara célèbre la victoire de François Mitterrand
Discrète amie du premier président socialiste de la V e République, la dame en noir chante l'« espoir » d'un « autre demain » sur la scène de l'hippodrome de Pantin, quelques mois après le triomphe de la gauche. «On ne peut être qu'indigné par une telle interprétation» : La Marseillaise selon Gainsbourg, scandale et cætera Derrière des airs de ballade, Barbara a souvent raconté ses peines et ses traumatismes. Ceux d'une enfance nomade, marquée par la guerre et l'inceste paternel. Mais cet automne-là, la dame en noir célèbre l'espoir sur la scène de l'hippodrome de Pantin : Regarde, un titre enflammé qu'elle aurait composé, selon la légende, au soir de la victoire de François Mitterrand en mai 1981. De cette chanson manifeste ne subsiste que cette seule version enregistrée sous le chapiteau de cirque où elle donna une série de concerts désormais mythiques. « Quelque chose a changé./ L'air semble plus léger./ C'est indéfinissable », chante-t-elle, portée par les notes saccadées de son piano. Souvenir des foules en liesse, parfois perchées sur les capots des voitures, qui ont envahi quelques mois plus tôt les rues du pays. Une page vient de se tourner. Voilà près d'un quart de siècle que le pouvoir échappait à la gauche, condamnée à l'opposition sous la Ve République. Jusqu'à ce 10 mai 1981, où l'alternance…


Le Parisien
3 minutes ago
- Le Parisien
Dans l'Eure, le musée du landau se cherche un avenir
À Saint-Aubin-de-Scellon (Eure), à la frontière du Calvados, le musée du landau des époux Espaldet est une petite pépite hors du temps, niché au fond de leur jardin. Riche de plus de 380 pièces glanées à travers le pays depuis presque 30 ans, cette collection unique remonte jusqu'à Napoléon III et évoque la petite et la grande histoire de la France. « En 1936, il y avait des modèles qui s'accrochaient derrière les vélos. C'était la découverte des congés payés et des vacances », raconte Florence Espaldet qui a pour chaque modèle, restauré par ces deux passionnés, une anecdote ou une petite histoire. Pour son film « Adèle Blanc-Sec », le réalisateur Luc Besson est même venu en emprunter deux. Seulement voilà, les années passent, « et nous ne rajeunissons pas », sourit la retraitée de 79 ans qui, avec son mari Pierre, 83 ans, longtemps maire de son village, aimerait pouvoir passer la main : « Pour l'instant tout va bien, mais assurer les visites et entretenir le musée demande du temps et de l'énergie que nous n'aurons pas toujours. » Où déménager la collection Ils aimeraient qu'une collectivité locale reprenne le flambeau. « Nous n'en faisons pas une affaire d'argent, puisque nous léguerions l'ensemble de notre collection s'il y avait un lieu pour l'accueillir et continuer à la présenter au public », continue Florence Espaldet. Elle a notamment reçu le soutien du président de la région Normandie, Hervé Morin, longtemps maire d'Épaignes, une commune voisine. « Il aimerait lui aussi que nos landaus restent dans le coin, mais pour l'instant aucune proposition n'a abouti. » Un temps, le conseil municipal de Thiberville a porté un projet qui pour l'heure est au point mort. Et à l'heure où les collectivités locales font la chasse aux dépenses superflues, garantir un avenir à ce musée qui n'accueille que quelques centaines de visiteurs chaque année ne semble pas une priorité.


Le Parisien
3 minutes ago
- Le Parisien
Jardin de 1,4 ha, fontaines... Au Vésinet, la villa où a vécu Joséphine Baker toujours en vente à 19 millions d'euros
En vente depuis janvier 2025, cette maison d'exception ouverte au public chaque année lors des Journées du patrimoine n'a toujours pas trouvé d'acheteurs… Avec ses douze chambres, quatre salles de bain, deux salons, sa maison de gardiennage et son jardin de 1,4 ha à 180 degrés, le château de Joséphine Baker en ferait rêver plus d'un. La villa conçue sur deux étages a été imaginée par l'architecte Louis Gibert, également connu pour avoir dessiné l'hôtel de ville du Vésinet. Depuis sa construction en 1891, la maison a connu bien des rénovations, toujours dans le respect de la mémoire de la militante et des matériaux d'origine.