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Rayan Rupert grand artisan de la victoire de Portland face à New Orleans en Summer League

Rayan Rupert grand artisan de la victoire de Portland face à New Orleans en Summer League

L'Équipe2 days ago
Auteur de 24 points, le Français Rayan Rupert a réussi une rencontre remarquée dans la nuit de mardi à mercredi en Summer League lors de la victoire de son équipe de Portland face à New Orleans (93-87).
Ces matches sont là pour ça. Dans la nuit de mardi à mercredi, Rayan Rupert a pu montrer de quoi il était capable. Le Français a en effet crevé l'écran lors de la rencontre de Summer League entre son équipe de Portland et New Orleans. En 28 minutes de jeu, l'arrière a cumulé 24 points, 3 rebonds, 1 passe et 2 interceptions pour permettre à son équipe de s'imposer 93-87. Seul bémol à sa fiche de statistiques, son nombre de fautes puisque le Français en a cumulé 8 (on peut aller jusqu'à 10 en Summer League), ce qui l'aurait sorti du terrain en match de NBA (5 fautes).
Néanmoins, Rupert a montré qu'il pouvait rebondir après une rencontre bien compliquée samedi contre Memphis où il n'avait inscrit que trois petits points. Dans la même rencontre, le rookie Yang Hansen a inscrit 15 points alors que l'autre Français des Blazers, Sidy Cissoko a terminé la rencontre avec 4 points et 5 passes.
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La série perdue après ses deux défaites contre la Nouvelle-Zélande, il reste une occasion au quinze de France de marquer l'histoire et les All Blacks, samedi matin lors du dernier test-match (9h05). Perdu pour perdu, autant leur coller un gros bazar, n'est-ce pas ? OK, mettre le boxon dans une ville aussi bien rangée qu'Hamilton, c'est un concept. Des parallèles et des perpendiculaires à l'américaine, à perte de vue. Dans la région, l'autochtone vit de l'industrie laitière ou bûche sa reconversion dans l'agritech. La municipalité, elle, tente de redynamiser un centre-ville qui consiste en une artère principale, tracée en parallèle du fleuve Waikato, et un casino. Du blanc, du gris, un gros cours d'eau et un peu de débauche sous abri pour oublier qu'ici, le ciel est souvent bas. Voilà pour la couleur au pays des « tout noir ». À la veille de son dernier test face à la Nouvelle-Zélande (samedi, 9h05), cette tournée historique n'aura finalement qu'un moyen de ne pas laisser sur leur faim ceux qui auront préféré les aventures de l'Agence touriste à la Coupe du monde des clubs ou au Tour de France : gagner. Parce qu'on ne trouvera jamais meilleur moyen pour justifier à la compta l'acheminement de 70 personnes aux antipodes, psy incluse. Ou rappeler à ceux qui n'ont pas voulu venir parce qu'ils avaient rosé-piscine, qu'une carrière passe très vite et que des opportunités comme celle-ci ne se présentent souvent qu'une fois dans une vie. Ce dernier match manquera de Barrett, donc de chic C'est aussi le drame de l'histoire récente, de ces raclées reçues au bout du monde avec les « A » ou les « B ». Elles ont tatoué l'imaginaire global. Pourquoi aller écorner son crédit sportif dans un voyage où il n'y a rien à gagner, et en plus de ça après onze mois d'une saison déjà interminable ? Parce qu'il n'a fallu qu'un plaquage et une percu à Sébastien Chabal, au milieu d'une série à deux tests où il avait encaissé 42 et 61 points en juin 2007, pour devenir une légende et en vivre encore aujourd'hui. Alors, oui, ce dernier exercice manquera de Barrett, donc de chic. Il n'y aura qu'un seul représentant sur trois de la fratrie la plus célèbre de Nouvelle-Zélande pour tenir le cap All Black et la mèche folle de Damian McKenzie. Et encore, sans le forfait de Rieko Ioane, Jordie serait resté en chambre froide avec ses frères. Une rareté qui n'est arrivée qu'une seule fois sur les cinq dernières années. À 34 ans et deux sorties contre les « Bleus bis », Beauden a d'ailleurs réglé le problème de sa propre succession jusqu'à la prochaine Coupe du monde. Ce sera lui au poste de dix. McKenzie, de l'école classique des ouvreurs qui donnent envie d'échanger son maillot à la fin du match mais pas son éternelle place sur le banc, est à ranger à côté de son aïeul Carlos Spencer ou de l'Australien Quade Cooper. Il est un inclassable génie, capable aussi de jouer à l'arrière, mais à la régularité fragile. Son entrée lors du premier test contre les Bleus (31-27, le 5 juillet), après que Sevu Reece se soit assommé quasiment sur le coup d'envoi, avait fait mal aux Français autant que son déchet avait coûté aux siens. Mais on s'attarde sur le cas d'un joueur alors que le diplomate Scott Robertson a choisi de la jouer comme Galthié, en changeant dix bonshommes dans son quinze de départ. L'invariable restant le nombre de mulets sur la pelouse. Bonne ou mauvaise nouvelle pour les Tricolores ? Selon leur sélectionneur : ils se ressemblent tous ! C'est-à-dire ? Eh bien que tout le rugby néo-zélandais est entièrement tourné vers le confort de sa sélection et que cette revue d'effectif opérée par son adversaire se fait à l'intérieur de leur propre cercle de prémiums, par opposition à celui que l'encadrement tricolore a pu convoyer avec lui. Laisser le souvenir unique d'avoir été battu par la réserve de la réserve de la République française Jusqu'ici, rien de neuf, sinon que le climat local a tendu un peu en interne au fil que le séjour s'allongeait. On s'est agacé des conditions d'accueil ici et là, de l'arbitrage à chaque fois, et cette semaine du fait que les Néo-Zélandais parlent davantage de la double visite des Springboks en septembre que de ce dernier test contre eux. Une petite piqûre à la base de l'ego qui viendra rebooster ceux que l'inertie du retour au pays et des vacances en approche commençaient à démobiliser. C'est aussi vieux et humain que l'invention des congés payés, à ceci près que partir en vacances après avoir pris une fessée gâchera forcément les premiers apéros. De l'importance de repartir en laissant le souvenir unique d'avoir été battu par la réserve de la réserve de la République française. En trois mots : le gros bazar, évoqué plus tôt. Celui qui vous fait remettre tout sur la table. Il ne sera envisageable qu'en réussissant son entame, en abandonnant sa naïveté défensive au vestiaire - contrairement au week-end dernier lors du deuxième test largement perdu (43-17) - tout en soignant sa timidité sur les bons ballons. Ils sont rares, mais finissent toujours par arriver. « Arrêtez de réciter, jouez ! » entendait-on d'ailleurs Fabien Galthié éructer à l'entraînement cette semaine. Un mantra spontané, un vrai. Mais comme pour tous les mantras, il faut en être convaincu. En dépit des forfaits bleus (Woki, Vergnes-Taillefer, Barassi), les rentrées de Mickaël Guillard et Alexandre Fischer vont densifier le pack de ce qui lui a manqué à Wellington - et c'est une bonne nouvelle - alors que la ligne de trois-quarts garde son profil séduisant, pourvu qu'elle n'ait pas à se contenter de défendre. Autant d'injonctions qui, si elles étaient tenues, donneraient une autre allure à cet été international. Ils étaient venus découvrir des joueurs, ils rentreraient avec une équipe presque entière et des souvenirs. Ce sera ça ou l'oubli. À lire aussi Pelous : «Une raclée peut être fondatrice» Halagahu, le bizuth que «la pétanque rend fou» La tournée de 2009, un sommet de brutalité «Corry a eu envie de me mettre son poing dans la gueule»

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