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Victime d'un malaise cardiaque en mars, Louis Marnette s'engage avec le Stade Toulousain après avoir été autorisé à rejouer
Victime d'un malaise cardiaque en mars, Louis Marnette s'engage avec le Stade Toulousain après avoir été autorisé à rejouer

L'Équipe

time2 hours ago

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Victime d'un malaise cardiaque en mars, Louis Marnette s'engage avec le Stade Toulousain après avoir été autorisé à rejouer

Victime d'un malaise cardiaque en plein match en mars, Louis Marnette a été autorisé à rejouer au basket par les médecins. L'ancien Caennais s'est engagé, samedi, avec le Stade Toulousain, pensionnaire de NM1. Louis Marnette va reprendre le fil de sa carrière. Victime d'un malaise cardiaque début mars, lors d'un match de Pro B entre Caen et Saint-Chamond, le meneur a été autorisé à rejouer au basket, quatre mois après avoir reçu un interminable massage cardiaque sur le parquet. Dans la foulée de ce feu vert médical, il s'est engagé avec le Stade Toulousain, récent 7e de la poule basse de NM1 (3e division française). Champion d'Europe cadets en 2017 avec la génération 2001 de Théo Malédon et Killian Hayes, Marnette (24 ans) va découvrir la NM1, lui qui a principalement évolué en Pro B depuis le début de sa carrière. Passé par Souffelweyersheim puis Roanne - où il a disputé une saison en Betclic Elite - et La Rochelle, il avait signé à Nantes la saison dernière. Intéressant avec le NBH, il avait rejoint Caen en cours de saison où il n'aura disputé que deux matches, son malaise cardiaque intervenant lors de son premier match à domicile. Une publication partagée par Stade Toulousain Basketball (@stadetoulousain_basketball)

« Si je reste...  » : avant d'annoncer s'il continue (ou pas) avec Paris Basketball, Hifi s'éclate à Quai 54
« Si je reste...  » : avant d'annoncer s'il continue (ou pas) avec Paris Basketball, Hifi s'éclate à Quai 54

Le Parisien

time5 hours ago

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« Si je reste... » : avant d'annoncer s'il continue (ou pas) avec Paris Basketball, Hifi s'éclate à Quai 54

Il est déjà de retour ! La tentation était trop forte, l'envie aussi. Malgré une saison marathon avec plus de 80 matchs au compteur et marquée par le doublé Coupe de France et Championnat avec le Paris Basketball , Nadir Hifi dispute tout ce week-end le traditionnel tournoi du Quai 54 . Une 23e édition qui se dispute dans le cadre prestigieux de Roland-Garros. Un rendez-vous incontournable qui allie basket rugueux et ambiance urbaine que le joueur de l'équipe de la Fusion - double tenante du titre où évolue également Bandja Sy - ne pouvait pas manquer.

« J'ai un rôle à jouer jusqu'au bout » : Nicolas Batum après avoir resigné aux Los Angeles Clippers
« J'ai un rôle à jouer jusqu'au bout » : Nicolas Batum après avoir resigné aux Los Angeles Clippers

L'Équipe

time6 hours ago

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« J'ai un rôle à jouer jusqu'au bout » : Nicolas Batum après avoir resigné aux Los Angeles Clippers

Après l'élimination en play-offs des Los Angeles Clippers, Nicolas Batum a décliné l'option de sa dernière année de contrat pour aussitôt prolonger avec la franchise californienne, qu'il juge toujours ambitieuse pour la saison prochaine, sous la direction de Tyronn Lue dont il est devenu très proche. Aperçu sur une vidéo publiée par ses agents à l'entraînement avec Bilal Coulibaly à Levallois, Nicolas Batum profite d'un été désormais sans équipe de France, après avoir rangé le maillot bleu dans la foulée de la finale olympique contre les Etats-Unis (87-98). Mais la carrière de l'ailier (2,06m, 36 ans) se poursuit aux Los Angeles Clippers, avec lesquels il a resigné. Présent vendredi dans le 18e arrondissement dans le cadre d'un projet caritatif, l'ailier aux 1 209 matches NBA explique son choix de rester en Californie. Vous avez décliné votre option pour 2025-2026 avant de prolonger deux jours plus tard avec les Los Angeles Clippers. Y a-t-il eu d'autres pistes ou était-ce une évidence ?C'était à 99 % sûr que j'allais continuer avec eux. Il y a eu deux-trois touches ailleurs, mais le projet aux Clippers est en place, c'est une équipe dans laquelle je me sens bien, une ville où je suis bien. Il n'y a pas que moi : la situation familiale avec les enfants, l'école, beaucoup de choses à prendre en compte. Et les Clippers restent une équipe compétitive qui joue pour quelque chose. C'est intéressant de continuer avec eux encore un ou deux ans (un contrat de 11,5 millions de dollars soit 9,8 millions d'euros, la deuxième année est en option). La sortie prématurée des Clippers en play-offs (3-4 contre Denver au premier tour) a-t-elle joué dans votre volonté de rester à Los Angeles ?On avait un goût d'inachevé. Après, on joue dans une Conférence Ouest où les franchises qui ont perdu au premier tour avaient une chance d'aller au bout. On a re-signé James Harden (81,5 millions de dollars sur deux ans), on a fait venir Brook Lopez (ex-pivot de Milwaukee, champion 2021) et il peut encore y avoir des changements. Il se passe beaucoup de choses ailleurs à l'Ouest avec Oklahoma City champion, Houston, Denver... C'est excitant de partir dans une nouvelle saison contre toutes ces équipes. Les Clippers sont-ils des candidats au titre la saison prochaine ?Ce sera très serré à l'Ouest. Mais je ne me suis pas caché, je joue dans une équipe qui a toujours essayé de faire quelque chose. J'ai un rôle à jouer, jusqu'au bout. Avec l'équipe qu'on a, le coach et le propriétaire n'ont que ce mot à la bouche : le titre NBA. On va tenter, mais il y a beaucoup d'équipes qui veulent la même chose. Avec Portland, à mes débuts en NBA, il fallait plus de 48 victoires pour aller en play-offs, on en avait eu 50 et on n'était que sixièmes. L'Ouest, c'est toujours aussi dur, mais j'aime y jouer (sourire). La relation proche tissée avec Tyronn Lue, sur le banc des Clippers depuis 2020, a-t-elle aussi été un facteur ?On a une relation particulière, au-delà de celle entre un coach et un joueur. Il sait très bien qu'il n'y a pas de problème avec moi, je m'entraîne, je ne loupe pas de matches, je sais ce qu'il attend. Pour donner un exemple, en début de saison dernière, on a eu une réunion, il donnait joueur par joueur les objectifs et ce qu'il attendait : James Harden, Kawhi Leonard et puis quand il a dit 'Nico', il a juste fait ça (un signe de la main), avant de passer à un autre mec. Les jeunes étaient surpris mais c'est normal, c'est la relation qu'on a lui et moi. Avec l'arrivée de Brook Lopez comme doublure d'Ivica Zubac, votre rôle va-t-il évoluer après avoir souvent joué pivot la saison passée ?On pourra encore partir sur du 'small ball'avec Kawhi Leonard en poste 4 et moi en poste 5, de temps en temps. Mais c'est bien d'avoir Brook Lopez, un champion, un joueur expérimenté. C'est bien pour Zubac. Il a fait une grosse saison l'an passé, on peut compter sur lui mais c'est difficile de lui mettre autant de pression, d'attendre qu'il joue à ce niveau une centaine de matches avec 35-38 minutes de temps de jeu. Avoir un back-up de la stature et de la qualité de Brook Lopez, ce sera génial. Cette saison 2025-2026 sera-t-elle votre dernière en NBA ?Les options sont ouvertes pour moi et l'équipe (l'été prochain). On a cette relation forte avec Steve Ballmer (le propriétaire), Lawrence Frank (le GM) et Tyronn Lue. C'est une famille maintenant. Il y a zéro pression. Je n'ai pas décidé si c'était la dernière année, je verrais dans un an. Mais ça me laisse l'option pour le club et moi. » À lire aussi Qui va animer le marché de l'été ? Des Knicks enfin «sexy» sous Mike Brown ? Pourquoi Yabusele a choisi les Knicks : «Ils me ressemblent : des bagarreurs» Les Bleues aux portes de l'enfer

« Je peux souffler » : pourquoi Guershon Yabusele est heureux d'avoir signé chez les Knicks
« Je peux souffler » : pourquoi Guershon Yabusele est heureux d'avoir signé chez les Knicks

Le Parisien

time13 hours ago

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« Je peux souffler » : pourquoi Guershon Yabusele est heureux d'avoir signé chez les Knicks

Guerschon Yabusele se souviendra longtemps des douze derniers mois. Médaillé d'argent aux Jeux de Paris suivi d'un retour gagnant en NBA sous le maillot de Sixers de Philadelphie, l'intérieur, l'un des héros du basket bleu aux Jeux, était sollicité par plusieurs franchises de NBA (San Antonio Spurs, Denver notamment) lors du Free Agency (le marché des joueurs libres de tout contrat). Finalement, le Français de 29 ans a choisi les Knicks de New York avec un contrat de deux ans et 12 millions de dollars . Finaliste de la Conférence Est, les Knicks sont partis des favoris pour la saison prochaine. Une bonne pioche pour l'Ours, qui a réagi à cette signature à l'Équipe . « Je suis très content, ce n'était pas un pari facile de partir de Madrid (NDLR il était sous contrat avec le Real jusqu'en 2025) avec l'indemnité, explique-t-il. Je peux souffler, car je peux payer ça sans problème (NDLR 1,7 million d'euros) . » Avec les Knicks, Guerschon Yabusele s'attend à vivre une grande saison avec des grandes ambitions : « C'est une équipe qui a un destin, ou du moins qui a la chance de pouvoir prendre le titre (NDLR le dernier remontant à 1973) . Je voulais être dans une équipe avec de l'ambition et qui a une histoire comme ça. Quand tu joues contre eux, l'ambiance est incroyable au Madison Square Garden : c'est quelque chose d'irréel, tu ne vis ça qu'à New York avec les fans, les célébrités au premier rang. Pouvoir y jouer avec le maillot des Knicks, j'ai hâte. » Concernant la pression, l' intérieur des Bleus pense avoir les épaules pour y faire face : « Il y a cette pression-là avec les fans, l'histoire de la salle, c'est impressionnant. Moi, ça me motive, ça m'amuse : si je fais un mauvais match et qu'on m'envoie un ou deux trucs drôles sur moi, je vais en rire aussi. C'est dans les deux sens. »

Fin de parcours pour l'équipe de Suisse M19 au Mondial de basket
Fin de parcours pour l'équipe de Suisse M19 au Mondial de basket

24 Heures

time15 hours ago

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Fin de parcours pour l'équipe de Suisse M19 au Mondial de basket

Les jeunes Helvètes se sont inclinés devant la Nouvelle-Zélande vendredi en quart de finale de la Coupe du monde. Publié aujourd'hui à 09h44 Oliver Sassella, joueur suisse, en action lors d'un match de la Coupe du Monde FIBA U19. (KEYSTONE/Cyril Zingaro) KEYSTONE/Cyril Zingaro Le rêve a pris fin vendredi soir pour l'équipe de Suisse M19. Elle s'est inclinée 84-70 devant la Nouvelle-Zélande en quart de finale de «sa» Coupe du monde, à Lausanne. Les protégés du coach Ivan Rudez, ancien entraîneur des Lions de Genève, n'ont donc pas réussi à confirmer l'exploit signé mercredi en 8e de finale face à la France (86-79 après prolongation). Ils lutteront pour les rangs 5 à 8 samedi et dimanche. Cet échec restera toutefois certainement anecdotique à l'heure de tirer le bilan final. L'équipe de Suisse, présente en tant que pays-hôte, a déjoué tous les pronostics en se hissant dans le top 8 après avoir pris la 2e place du groupe C (derrière Israël) avec deux succès pour une défaite. Même si les 16 équipes en lice ont toutes participé à la phase à élimination directe, les jeunes Helvètes n'ont rien volé. Ils ont battu en poule la République dominicaine pour s'offrir un 8e de finale face au 3e de la poule D, et sont revenus de nulle part avant de sortir la France. La «star» de l'équipe Leur beau parcours valide également le travail effectué au Centre National de Swiss Basket, dont l'homme fort est Ivan Rudez et où de très nombreux joueurs sont passés. Mais pas la «star» de l'équipe , Dayan Nessah (19 ans depuis le mois d'avril), qui a été formé au FC Barcelone. Le futur joueur de Cleveland State University a particulièrement brillé contre la France avec une performance impressionnante (22 points, 15 rebonds, 5 passes). Vendredi soir, le basketteur genevois a marqué 19 points. L'équipe suisse avait l'avantage à la mi-temps (44-38), mais s'est complètement effondrée durant le troisième quart-temps, encaissant un sévère 29-12. Retour sur le parcours des jeunes Helvètes Newsletter «Euro 2025» Vous ne voulez rien rater de l'Euro? En vous inscrivant à cette newsletter, vous serez informé·e à temps des performances de l'équipe de Suisse et des grands moments de cette compétition. Autres newsletters ATS Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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