
Peut-on comparer la canicule actuelle à celle de 2003 ?
«Il y en avait des millions» : qu'est-ce que ces punaises des champs qui envahissent des maisons du sud de la France ?
Depuis la mi-juillet, une partie du sud de la France fait face à un envahissement inédit d'insectes rampants. Des milliers de punaises pénètrent dans les habitations situées à proximité des parcelles agricoles, notamment de colza.
«Un véritable espoir pour cette magnifique espèce»: un zoo diffuse les rares images d'un bébé léopard des neiges
Le zoo de Chester a publié le 8 août les images du premier examen médical d'un petit léopard des neiges né au mois de juin. La naissance de l'animal menacé d'extinction représente un espoir pour la conservation de l'espèce.
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Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
Nouvelle-Calédonie: les indépendantistes du FLNKS annoncent rejeter l'accord de Bougival
Le texte, signé mi-juillet entre l'État et les non-indépendantistes, prévoit notamment la création d'un «État de Nouvelle-Calédonie» inscrit dans la Constitution de la République française et d'une nationalité calédonienne. Les indépendantistes du FLNKS (Front de libération nationale kanak socialiste), mouvement indépendantiste de Nouvelle-Calédonie, ont annoncé mercredi 13 août rejeter l'accord de Bougival, signé mi-juillet entre l'État et les non-indépendantistes. Le texte, négocié en région parisienne, prévoit notamment la création d'un «État de Nouvelle-Calédonie» inscrit dans la Constitution de la République française et d'une nationalité calédonienne, ainsi que la possibilité de transférer des compétences régaliennes (monnaie, justice, police). Publicité Mais bien que qualifié d'«historique» par les loyalistes, il a aussitôt suscité une levée de boucliers du côté des militants indépendantistes, car il ne prévoit pas de nouveau référendum sur l'indépendance. Les dispositions de l'accord «ne sont que l'illustration du mépris de la puissance administrante à l'égard de notre combat pour la reconnaissance en tant que peuple colonisé», avait notamment déclaré le président du FLNKS, Christian Tein.


Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
La venue de Vladimir Poutine en Alaska est une «victoire» pour la Russie, estime Zelensky
Alors que Donald Trump a parlé d'«échanges de territoires» nécessaires entre la Russie et l'Ukraine, Volodymyr Zelensky a assuré que ses forces armées resteront dans le Donbass. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a estimé mardi que la rencontre prévue entre Vladimir Poutine et Donald Trump vendredi était une «victoire personnelle» pour le dirigeant russe, tout en soulignant que Kiev excluait tout retrait de ses forces dans l'est de l'Ukraine dans le cadre d'un possible accord de paix. S'adressant à la presse depuis l'Ukraine, Volodymyr Zelensky a par ailleurs confirmé que des «groupes» de soldats russes avaient réussi à avancer d'environ 10 kilomètres dans certains secteurs du front, mais a assuré qu'ils seraient détruits. Ces avancées font craindre une percée favorable au Kremlin avant le sommet très attendu entre Vladimir Poutine et son homologue américain, en Alaska, pour discuter d'un possible règlement du conflit. L'une des solutions évoquées par Washington, sans plus de précisions, serait un échange de territoires entre les deux pays. Une proposition balayée par Kiev et ses alliés européens. Mardi, Volodymyr Zelensky a estimé que cette venue de Vladimir Poutine aux États-Unis, isolé du monde occidental depuis son invasion à grande échelle de l'Ukraine en février 2022, était d'ores et déjà une «victoire» pour le chef du Kremlin. Publicité «Il (Poutine) aura une rencontre sur le territoire américain, ce qui est, je pense, pour lui une victoire personnelle», a déclaré Volodymyr Zelensky, ajoutant que cette rencontre faisait sortir Vladimir Poutine de son «isolement» et retardait de possibles nouvelles sanctions américaines contre Moscou. Le dirigeant ukrainien a écarté tout retrait de ses troupes dans l'est de l'Ukraine dans le cadre d'un accord avec Moscou sous médiation américaine. «Nous ne nous retirerons pas du Donbass (qui comprend les régions ukrainiennes de Donetsk et Lougansk, NDLR)», a déclaré Volodymyr Zelensky, estimant que si ce territoire tombait sous le contrôle de Moscou, il servirait ensuite de tremplin au Kremlin pour une «offensive future» contre l'Ukraine. «Il y aura des échanges de territoire» Avant son retour à la Maison-Blanche, le président américain s'était vanté de pouvoir mettre un terme à trois ans d'invasion russe en «24 heures». Mais ses ambitions ont été douchées par l'échec de trois cycles de pourparlers de paix entre Kiev et Moscou organisés récemment en Turquie. À ce stade, Moscou réclame que l'Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées (Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu'elle renonce aux livraisons d'armes occidentales et à une adhésion à l'Otan. Des exigences inacceptables pour Kiev, qui veut le retrait des troupes russes de son territoire et des garanties de sécurité occidentales, dont la poursuite des livraisons d'armes et le déploiement d'un contingent européen, ce à quoi s'oppose Moscou. La rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine se déroulera a priori sans Volodymyr Zelensky, suscitant des inquiétudes quant à la possibilité qu'un accord, conclu sans l'Ukraine, la forçant à céder à la Russie des portions de son territoire. Lundi, Donald Trump s'était lui dit «contrarié» par le refus, signifié par Kiev, de céder des territoires. «Car il y aura des échanges de territoires», a-t-il insisté. Volodymyr Zelensky et des dirigeants européens doivent s'entretenir mercredi avec Donald Trump. L'Europe a encore accru son aide militaire à l'Ukraine en mai et juin, contrairement aux États-Unis, et s'appuie de plus en plus sur son industrie de défense plutôt que sur les stocks existants d'armement, a indiqué mardi l'institut de recherche allemand Kiel Institute. L'armée russe progresse Sur le front, les combats continuent à faire rage. Ce conflit, le pire en Europe depuis la Seconde guerre mondiale, a causé des dizaines de milliers de morts et blessés, voire des centaines de milliers. Les troupes russes, plus nombreuses et mieux équipées, continuent de grignoter du terrain. Ces dernières heures, elles ont effectué une avancée de plusieurs kilomètres dans un secteur stratégique de la région de Donetsk, au nord-est de la ville de Pokrovsk, selon l'armée ukrainienne et des analystes. Volodymyr Zelensky a assuré mardi que les «groupes» de soldats russes qui avaient avancé d'environ 10 kilomètres dans cette partie du front, «n'ont pas d'équipements (lourds), seulement leurs armes dans les mains». Certains ont été détruits, d'autres faits prisonniers. «Nous trouverons les autres et les détruiront prochainement», a-t-il affirmé. Selon Volodymyr Zelensky, ces attaques visent à diffuser «le récit» que «la Russie avance» et que «l'Ukraine perd» avant la rencontre Poutine-Trump. Il a par ailleurs affirmé que Moscou préparait de «nouvelles opérations offensives» dans trois secteurs sur le front, «Zaporijjia, Pokrovsk et Novopavlivka».


Le Figaro
2 hours ago
- Le Figaro
Le nombre d'apprentis dans la fonction publique est en baisse selon une étude
24.140, c'est le nombre d'apprentis recrutés dans la fonction publique en 2024. Une baisse de 2,2% par rapport à 2023, selon une étude publiée récemment par la Direction générale de l'administration et de la fonction publique (DGAFP). Pourtant, le recrutement de jeunes en apprentissage dans ce domaine ne cessait de croître depuis 2021, à la suite des différentes mesures gouvernementales pour encourager l'alternance. Ainsi, on comptait 20.300 nouveaux contrats d'apprentissage dans la fonction publique en 2021, 22.740 en 2022, et 24.690 en 2023, peut-on lire sur le site de Vie publique. Dans le détail, la fonction publique de l'État (FPE) a perdu 300 nouveaux apprentis, la fonction publique hospitalière (FPH) en a perdu 170, et la fonction publique territoriale (FPT) 80. Parmi les 24.140 nouveaux contrats signés, 56% concernent la FPT, où les communes recrutent le plus (44%), suivies des établissements intercommunaux (25%) et des départements (16%). Ensuite, 35% concernent la FPE, en particulier les ministères (64%). Les 36% restants sont engagés dans des établissements publics à caractère administratif (EPA). Enfin, 9% des contrats sont signés dans la FPH. Plus de la moitié des nouveaux apprentis de la fonction publique sont des femmes Pour ce qui est du profil des apprentis de la fonction publique recrutés en 2024, l'étude révèle qu'ils ont en moyenne 22 ans. De plus, les jeunes qui ont moins de 18 ans représentent 9% des nouveaux contrats, c'est-à-dire deux fois moins que dans le privé. Et 57% des apprentis sont des femmes, contre 45% dans le privé. L'étude révèle aussi que 5% d'entre eux sont en situation de handicap. En ce qui concerne le diplôme visé, on apprend que 7 sur 10 des nouveaux apprentis préparent un diplôme de l'enseignement supérieur (contre 6 sur 10 dans le privé). Plus précisément, 56% préparent un diplôme de niveau au moins égal à bac+3 : 76% dans la FPE, 57% dans la FPH et 42% dans la FPT. Enfin, 50% étaient scolarisés auparavant, et 22% étaient déjà en apprentissage.