
DZ Mafia, clan Yoda et Mohamed Amra : premier casting pour la prison de haute sécurité
quartier de lutte contre la criminalité organisée (QLCO)
de la prison de Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais) viennent d'être informés.
L'établissement, aménagé pour accueillir
« les 100 plus grands narcotrafiquants »,
dixit les déclarations du garde des Sceaux
Gérald Darmanin,
recevra ses nouveaux pensionnaires à compter de fin juillet. Objectif de la Place Vendôme : garantir l'étanchéité entre ces délinquants du haut du spectre, et l'extérieur.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Figaro
27 minutes ago
- Le Figaro
Guerre commerciale : sous pression, la Chine tient tête à Donald Trump
Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Quand l'Europe capitule, la deuxième puissance mondiale engrange les fruits de sa stratégie du rapport de force. L'air matois, Xi Jinping avait exhorté Ursula von der Leyen et l'Europe à faire «le bon choix stratégique» face à l'Amérique de Donald Trump, lors d'un sommet Chine-UE tendu, le 24 juillet à Pékin. La leçon du président chinois résonnait comme un conseil prémonitoire sur la meilleure façon de tenir tête au trublion américain, à l'heure de la guerre commerciale. Quelques jours plus tard, la présidente de la Commission européenne a capitulé en rase campagne face à l'auteur de L'Art du deal, au bord d'un green en Écosse. Pendant ce temps, le régime communiste tient toujours la dragée haute à la première puissance mondiale, en suivant une approche tactique diamétralement opposée à celle de Bruxelles, assumant le rapport de force d'entrée de jeu. «Grand pacificateur» Ce « mano a mano » incertain offre pour l'heure un répit précieux à l'usine du monde, gangrenée par le ralentissement. « Nous avançons bien avec la Chine. Je pense que cela va bien marcher et que nous aurons un deal très équitable », a déclaré…


Le Parisien
27 minutes ago
- Le Parisien
« Ça me pourrit la vie » : en Essonne, les étrangers démunis face aux délais de traitement des titres de séjour
gée de 31 ans, cette Marocaine avait jusqu'alors toujours obtenu le renouvellement de ses titres de séjour avant leur date d'expiration. Elle découvre désormais « l'humiliation » de voir que « [sa] vie entière dépend d'un document » dont la demande de renouvellement, déposée deux mois auparavant à la sous-préfecture de Palaiseau, est toujours en cours d'instruction. « Hier, ma fille a vu mon désespoir et elle m'a demandé si on allait me renvoyer de France », se désole la jeune femme.


Le HuffPost France
27 minutes ago
- Le HuffPost France
Loi Duplomb : cette autre décision du Conseil constitutionnel qui sera (très) scrutée
POLITIQUE - Censurera, censurera pas ? C'est peu dire que la décision du Conseil constitutionnel sur la très contestée loi Duplomb, ce jeudi 7 août, est très attendue. Le texte, qui prévoit la réintroduction de l'acétamipride, un pesticide toxique, réunit contre lui une large opposition. Au-delà de la gauche et des écologistes, de nombreux scientifiques, la Ligue contre le cancer et l'Ordre des médecins ont fait savoir qu'il était néfaste pour la santé humaine et pour l'environnement. Au travers d'une pétition mise en ligne sur le site de l'Assemblée, plus de 2 millions de Français demandent à Emmanuel Macron de ne pas promulguer la loi ou, tout du moins, d'organiser une nouvelle séance de discussion au Parlement. Mais seront-ils entendus par le Conseil constitutionnel ? Les Sages ont été saisis de deux recours, et doivent se prononcer sur la conformité du texte à la Constitution. Il existe un scénario où une partie (voire l'entièreté) de la loi tombe. Les députés LFI, écologistes et communistes ont déposé un recours commun, dénonçant l'incompatibilité de certaines mesures de la loi avec la Charte de l'environnement, intégrée à la Constitution en 2005. Selon eux, le droit à un environnement sain est compromis par la loi Duplomb. Auprès de Mediapart, le constitutionnaliste Dominique Rousseau estime aussi « qu'il y a des motifs objectifs et sérieux pour que la loi soit jugée comme portant atteinte [à ce principe] ». Pas d'amendement, pas de débat À noter que même le gouvernement, dans ses observations écrites envoyées au Conseil constitutionnel, admet que la réintroduction de l'acétamipride « vient effectivement limiter le droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé ». Reste que le Conseil constitutionnel n'a jamais fait valoir la Charte de l'environnement pour retoquer une loi, contrairement au Conseil d'État. Pire : il a laissé passer les dérogations accordées à l'utilisation de néonicotinoïdes en 2020. Sur le fond, rien ne dit donc que les Sages feront obstacle à la loi. C'est sur un autre registre que les opposants au texte espèrent obtenir en réalité gain de cause. En effet, le Conseil constitutionnel est aussi saisi d'un recours sur la façon dont les débats ont été menés à l'Assemblée. Le processus qui a permis au texte d'être adopté est là en cause. On rembobine. Au moment où les députés devaient plancher sur le texte, la droite a usé d'un stratagème particulièrement pernicieux : la procédure accélérée. Pour empêcher le débat, LR, Renaissance, le MoDem et Horizons ont voté une motion de rejet préalable qui a eu pour conséquence d'envoyer le texte directement en commission mixte paritaire. À huis clos, quatorze députés et sénateurs, majoritairement favorables au texte, se sont donc accordés sur les mesures à conserver. Sans une minute de débat dans l'hémicycle, et sans possibilité d'examiner le moindre amendement. Une « irrégularité » de procédure ? Un dévoiement de la procédure parlementaire, condamnée par l'opposition de gauche mais aussi par plusieurs ONG. Les députés LFI, écologistes et communistes fustigent ainsi « l'irrégularité de cette procédure ». Selon plusieurs observateurs, il y a plus de chance que le Conseil constitutionnel censure la loi Duplomb sur ce motif, plutôt que pour des raisons liées à la santé publique ou au non-respect du droit de l'environnement. Il « pourrait considérer qu'il y a eu là une atteinte manifeste, importante, au principe de sincérité et de clarté du débat parlementaire, puisque la seule assemblée élue au suffrage universel n'a pas eu l'opportunité de débattre », estime Dominique Rousseau, interrogé par l'AFP. Si la loi Duplomb était censurée par le Conseil constitutionnel en raison des conditions de son adoption au Parlement, ce serait historique et cela créerait sans conteste un précédent. La décision rendue ce 7 août est donc à scruter attentivement.