
Dans « L'Amour est dans le pré », ces deux candidats évincés faute de prétendante
C'est lors d'un entretien avec nos confrères de Diverto, le 30 juillet dernier, que la présentatrice historique du programme a annoncé la nouvelle. « On a deux participants qui sont sortis. Ils n'avaient pas du tout eu de courriers. » Plus précisément, « une lettre est arrivée deux jours avant la limite pour l'un d'eux, donc la personne est quand même venue et ils se sont rencontrés directement pendant le tête-à-tête. Mais ça ne l'a pas fait… » a-t-elle indiqué.
En mai, déjà, la production, par l'intermédiaire de son animatrice, avait lancé un appel sur les réseaux sociaux concernant Antoine, un agriculteur originaire du Grand Est. « Attention, situation exceptionnelle cette année : malheureusement, notre Antoine n'a pas reçu de courrier. Ça ne veut pas dire que l'aventure s'arrête ici, puisque nous avons décidé de laisser la boîte aux lettres de « L'amour est dans le pré » ouverte », avait-elle alors promis.
Puis, le 25 juin, la chaîne a annoncé dans un communiqué que l'exploitant de 46 ans n'avait toujours pas été contacté. Pour le cas de Samuel, qui lui a bien reçu une lettre, la rencontre qui en a découlé n'aura pas de lendemain.
Des anciens participants victimes de cyberharcèlement
Interrogée par le magazine Télé Loisirs fin juillet, la productrice artistique du programme, Gabriella Mather est revenue sur le phénomène de ses boîtes aux lettres qui restent vides. « Il y a de plus en plus d'agriculteurs qui reçoivent peu de lettres. Je pense que les réseaux sociaux y sont pour beaucoup. Les gens appréhendent. On sent qu'il y a une crainte » a-t-elle expliqué.
Une exposition qui entraîne parfois des dérives, et recèle des dangers pour les participants, comme le souligne la productrice : « On se rappelle tous de Patrice et Justine (saison 18, ndlr). Elle s'en est pris plein la gueule sur les réseaux sociaux. Elle fait jurisprudence. »
Une situation qui avait contraint les intéressés à couper leurs réseaux sociaux. « C'est quelque chose que l'on n'avait pas il y a quatre, cinq ans » appuie Gabriella Mather, et autant de raisons qui peuvent justifier l'absence de courriers pour les deux hommes et la réticence de certains. Rendez-vous désormais mi-août pour suivre les aventures des 13 autres agriculteurs.
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