«Danse avec les stars» : un couple de la version israélienne se grime en Donald et Melania Trump
Après avoir mis le feu au parquet de «Danse avec les stars» en Israël («Rokdim Im Kokhavim»), les deux danseurs professionnels ont enflammé les réseaux sociaux. Le week-end dernier, à l'occasion de la diffusion du dernier épisode de la onzième saison du show, deux participants se sont grimés en Donald et Melania Trump .
Et les performeurs n'ont pas choisi d'imiter le couple présidentiel américain dans n'importe quelles tenues. Ils ont repris les vêtements presque à l'identique que le président américain et son épouse portaient le 20 janvier dernier, lors de plusieurs bals en l'honneur de l'investiture du milliardaire.
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La décision quant à la musique sur laquelle a dansé le duo n'est pas anodine non plus. YMCA des Village People. Le titre préféré de Donald Trump, devenu l'hymne de sa campagne présidentielle, malgré le message de mixité raciale de la chanson. Le président américain a maintes fois chanté et dansé sur le refrain mondialement connu. Des pas de danse repris par le duo Israélien.
Une prestation d'une minute et 43 secondes seulement, qui a fortement divisé les internautes, la jugeant plus politique qu'artistique, malgré les bons commentaires des juges de l'émission. Certains se sont réjouis du message d'union entre l'Israël et les États-Unis. «C'est super, en dehors des États-Unis, personne ne célèbre autant l'Amérique qu'Israël», peut-on lire dans les commentaires. D'autres, en revanche, ont moins apprécié la politisation du programme, qualifiant la danse de «dégoûtante».
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L'émission de danse n'en est pas à sa première polémique. En 2019, lors de la 28e saison du show américain, le présentateur Tom Bergeron s'était insurgé contre la participation de Sean Spicer, ancien porte-parole de la Maison-Blanche lors du premier mandat de Donald Trump, connu pour ses prises de position conservatrices radicales. L'animateur avait critiqué publiquement le casting de cette saison, et a quitté le programme par la suite, déclarant qu'il aurait dû rester apolitique.
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