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La sélection du Figaro Live : les vidéos qu'il ne fallait pas rater ce lundi 7 juillet

La sélection du Figaro Live : les vidéos qu'il ne fallait pas rater ce lundi 7 juillet

Le Figaro6 days ago
Chaque jour, la rédaction Le Figaro Live vous partage les vidéos les plus marquantes pour suivre l'actualité ainsi que ses émissions quotidiennes, et ceci, en quelques clics seulement.
ACTUALITÉ EN VIDÉOS
Espagne: les images surprenantes d'un match de football avec une réplique de la tête de Franco en guise de ballon
Une réplique réaliste de la tête du dictateur espagnol Francisco Franco a servi de ballon lors d'une partie de football organisée le jeudi 3 juillet dans une ancienne tranchée de la guerre civile, à Moia, à une cinquantaine de kilomètres au nord de Barcelone. Cette scène surréaliste imaginée par le collectif d'artistes Indecline et l'artiste espagnol Eugenio Merino a eu lieu à l'occasion du festival d'art Ex Abrupto.
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Le Figaro
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Taïwan : les images des dégâts après le typhon Danas
Le typhon Danas a frappé le comté de Chiayi à l'ouest de Taïwan, ce dimanche 6 juillet, causant d'importants dégâts. Au moins deux personnes ont été tuées dans les intempéries selon le dernier bilan des autorités locales.
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Le Figaro
Mort d'Olivier Marleix: les députés observent une minute de silence dans l'Hémicycle
Le député LR Olivier Marleix a mis fin à ses jours, a rapporté l'AFP ce lundi 7 juillet 2025. Les députés ont interrompu leurs débats à l'Assemblée nationale pour respecter une minute de silence après avoir appris la terrible nouvelle.
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Espagne: appels au calme après des émeutes anti-immigrés près de Murcie
Espagne: appels au calme après des émeutes anti-immigrés près de Murcie

Le Figaro

timean hour ago

  • Le Figaro

Espagne: appels au calme après des émeutes anti-immigrés près de Murcie

Torre Pacheco, ville de 36.000 habitants, a connu une deuxième nuit consécutive d'émeutes, consécutives à l'agression en pleine rue d'un retraité par des personnes décrites comme étant «d'origine nord-africaine». Les autorités espagnoles ont lancé dimanche un appel au calme dans la ville de Torre Pacheco, près de Murcie (sud-est), où a eu lieu une deuxième nuit consécutive d'émeutes anti-immigrés après l'agression d'un retraité par trois jeunes actuellement recherchés par la police. «Torre Pacheco doit retrouver la normalité [...] Je comprends la frustration, mais rien ne justifie la violence», a écrit dans un message sur le réseau social X le président conservateur de la région de Murcie, Fernando Lopez Miras, en assurant que l'agression subie par ce retraité ne resterait «pas impunie». «J'appelle les habitants au calme, à la tranquillité», a insisté à la télévision publique RTVE le maire de la ville, Pedro Angel Roca Ternel, membre lui aussi du Parti populaire (PP, conservateur), en appelant à ne pas confondre les «délinquants» avec l'ensemble de la population immigrée, venue «pour travailler». Ces appels surviennent alors que Torre Pacheco, ville de 36.000 habitants située sur la côté méditerranéenne, a connu dans la nuit de samedi à dimanche une deuxième nuit consécutive d'émeutes, avec des affrontements qui ont fait plusieurs blessés, selon la préfecture. D'après le quotidien La Opinión de Murcia, plusieurs groupes de personnes ont parcouru les rues de la commune avec des bâtons à la recherche de personnes d'origine étrangère, malgré le déploiement d'un important dispositif policier. Au moins une personne a été interpellée, selon la préfecture. Publicité Un retraité agressé sans raison apparente Ces affrontements se sont produits après la violente agression en pleine rue, mercredi à l'aube, d'un habitant de 68 ans. Ce retraité, prénommé Domingo, a raconté à des médias espagnols, le visage tuméfié, avoir été attaqué par trois jeunes d'origine nord-africaine sans motif apparent. Cette agression, filmée et dont la vidéo a été mise en ligne sur les réseaux sociaux, a poussé la mairie à organiser un rassemblement vendredi après-midi. Cette manifestation, qui se voulait pacifique, a dégénéré en raison de la présence de groupes d'extrême droite qui ont diffusé des slogans anti-immigrés, selon les autorités. L'un d'eux, baptisé «Deport them now» («Déportez-les maintenant») a ainsi appelé sur Telegram à une «chasse» aux personnes d'origine nord-africaine. «Si les autres Maghrébins de la commune ne collaborent pas à l'identification des coupables, ils deviendront automatiquement coupables et devront payer», a-t-il écrit. Dans un message sur le réseau social Bluesky, la ministre de la Jeunesse Sira Rego, membre du parti d'extrême gauche Sumar, a condamné «fermement les persécutions racistes contre les personnes migrantes à Torre Pacheco», mettant en cause le rôle de «l'ultradroite» dans ces émeutes.

Espagne: deux personnes portées disparues après des pluies torrentielles en Catalogne
Espagne: deux personnes portées disparues après des pluies torrentielles en Catalogne

Le Figaro

time14 hours ago

  • Le Figaro

Espagne: deux personnes portées disparues après des pluies torrentielles en Catalogne

Deux personnes sont portées disparues en Catalogne, dans le nord-est de l'Espagne, après des pluies torrentielles qui se sont abattues samedi soir, entraînant des inondations ponctuelles et l'interruption du trafic ferroviaire durant plusieurs heures. «Nous recherchons deux personnes à Cubelles», commune de 17.000 habitants située à 50 kilomètres de Barcelone, ont indiqué les pompiers dans un message publié dans la soirée sur le réseau social X. «Selon les premières informations, elles auraient été emportées par la crue du Foix», qui se jette dans la Méditerranée, ont-ils ajouté, en précisant que le dispositif de recherche concernait «les rives» du cours d'eau ainsi que «son embouchure». Publicité Cette annonce survient alors que le nord-est du pays a été touché par des pluies diluviennes samedi après-midi, notamment en Catalogne, où les autorités ont déclenché une alerte rouge, avec l'envoi de messages téléphoniques aux habitants. Ces fortes pluies ont entraîné des inondations, notamment dans un hôpital de Barcelone, qui a dû refuser l'entrée de nouveaux patients après avoir été victime d'une coupure électrique. A l'aéroport de Barcelone, un avion qui venait de décoller en direction des Etats-Unis a dû rebrousser chemin, le nez de l'appareil ayant été endommagé par la grêle, d'après les contrôleurs aériens. Ces intempéries ont poussé la compagnie ferroviaire Renfe à suspendre la circulation des trains durant plusieurs heures dans l'ensemble de la Catalogne, aussi bien pour les trains à grande vitesse que pour les trains régionaux et de banlieue. Dans cette région, plus de 70 personnes ont été prises en charge par les services d'urgence, mais aucune dans un état grave, selon les services d'urgence. L'alerte rouge, qui avait été déclenchée vers 17H00, a été levée vers 19H00. Outre la Catalogne, plusieurs régions du nord et de l'est de l'Espagne ont été affectées par ces fortes pluies, dont l'Aragon, où des soldats de l'Unité militaire d'urgences (UME) ont été déployés, et la communauté de Valence. Cette région avait été touchée fin octobre par un épisode tragique de pluies torrentielles qui ont fait 227 morts. Les autorités, notamment régionales, avaient alors été critiquées pour leur manque de préparation et de réactivité.

32 ans plus tard, arrestation d'un fugitif condamné pour un meurtre à Marseille
32 ans plus tard, arrestation d'un fugitif condamné pour un meurtre à Marseille

Le Parisien

timea day ago

  • Le Parisien

32 ans plus tard, arrestation d'un fugitif condamné pour un meurtre à Marseille

Il était en fuite depuis 32 ans. Un homme condamné pour un meurtre commis à Marseille (Bouches-du-Rhône) a finalement été localisé en Espagne grâce aux investigations d'une petite unité de la police lyonnaise spécialisée dans la recherche des fugitifs. Mari ayant tué sa femme, trafiquant de drogue, petit caïd : depuis sa création en 2024, le groupe de recherches des individus en fuite (Grif) de Lyon a localisé plus de 40 criminels, la plupart condamnés en leur absence, qui se dissimulaient jusqu'en Indonésie, expliquent ses enquêteurs à l'AFP (Agence France presse). Leur dernier succès, révélé par le quotidien régional Le Progrès , s'est conclu à Figueras, en Catalogne, où ils ont retrouvé un sexagénaire, condamné pour avoir tué de plus de 50 coups de couteau un homme dans un bar de Marseille en 1993. Vite suspecté, il avait pris la fuite et la cour d'assises d'Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) avait prononcé une peine de 30 ans de réclusion par contumace. Pendant des décennies, il est resté hors des radars, malgré l'émission d'un mandat d'arrêt européen. Récemment, la police a appris qu'il était incarcéré dans une prison espagnole sous une fausse identité, pour trafic de stupéfiants. En s'intéressant à ses proches, le Grif a compris que sa sœur envoyait des mandats près de Figueras et que ses frères s'y étaient rendus. Le 2 juillet, la police espagnole lui a notifié l'existence du mandat d'arrêt, afin qu'il soit remis à la France dans les 90 jours. Parmi les dossiers résolus par le Grif, cet homme est celui qui est resté le plus longtemps en cavale. Mais ses enquêteurs ont aussi mis la main sur un fugitif, resté au vert pendant 17 ans après des violences par armes à feu, qu'ils ont retrouvé à Saint-Tropez (Var), six mois avant la prescription des faits. « On est remonté jusqu'à lui grâce à son compte sur le réseau social Snapchat et en suivant sa compagne. Il vivait sous une fausse identité et avait même créé des sociétés », relève un membre de cette cellule. Le Grif, mis en place à l'occasion de la réforme de la police nationale, est une déclinaison de la Brigade nationale de recherches des fugitifs , créée en 2003 et qui a notamment permis l'arrestation du « roi de la belle », Rédoine Faïd . Sa compétence territoriale est théoriquement liée à celle du tribunal de Lyon et de sa Juridiction interrégionale spécialisée (Jirs), soit l'Auvergne-Rhône-Alpes, mais les mouvements des personnes en fuite leur apportent aussi des affaires. Un « petit caïd » recherché pour trafic de stupéfiants depuis quatre ans à Metz (Moselle) a ainsi été localisé à Lyon, où il était venu se faire faire des faux papiers avec la complicité d'un employé municipal. « Les fugitifs se grillent souvent en demandant des papiers, car ils doivent fournir une photo d'identité et les outils de reconnaissance faciale les identifient même des années après », relèvent les enquêteurs. Le Grif est également intervenu pour arrêter un Belge localisé aux Deux Alpes, en Isère. Condamné et détenu pour le meurtre de sa femme, il s'était enfui pendant une permission de sortie. Même s'il changeait d'emploi tous les deux mois, il travaillait sous sa vraie identité, ce qui l'a trahi. Les trois enquêteurs de la cellule lyonnaise sont actuellement en charge d'une quinzaine de dossiers chacun, beaucoup liés aux stupéfiants, car « les trafiquants ont de l'argent pour partir loin ». Ils pourraient en avoir beaucoup plus. « Le nombre de personnes recherchées est infini, même si le nombre de ceux que l'on recherche activement est plus resserré. On doit établir des priorités » avec la gravité des crimes et la date de la prescription comme curseurs, expliquent-ils. S'ils sont satisfaits de leur bilan, un dossier reste source de frustration. Ils ont réussi à localiser un homme condamné pour des violences familiales, parti à Bali. Mais faute d'accord d'extradition avec l'Indonésie, il reste libre.

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