
PSG-Tottenham : le Roi d'Europe repart déjà en conquête

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L'Équipe
29 minutes ago
- L'Équipe
Adrian Mannarino à propos de Jannik Sinner qui l'a battu à Cincinnati : « Il est dans une autre dimension »
La marche était trop haute pour Adrian Mannarino qui s'est incliné face à Jannik Sinner (6-4, 7-6 [4]). « Cela faisait quelque temps que vous n'aviez pas affronté Jannik Sinner (L'Italien mène désormais 4-0 dans leurs face-à-face). Là, il est à son prime. Quand on est face à lui, on comprend pourquoi il est n°1 mondial ? Oui... Même si ça faisait longtemps que je ne l'avais pas joué, je l'avais vu jouer, notamment à Roland-Garros. Je l'avais aussi vu s'entraîner en bord de court. C'est vrai qu'il est passé dans une autre dimension par rapport à celui que j'avais joué dans le passé. Il frappe vraiment très bien la balle, il met constamment la pression. Même quand il rate un peu, on n'a jamais l'impression de pouvoir prendre ses marques. Je ne sais pas si c'est tout le temps pareil, mais chaque fois qu'il a eu besoin de sortir un bon service, de faire un bon coup, il l'a fait. Peut-être que je ne lui ai pas assez mis la pression ou qu'il ne se sentait pas en danger, mais il est resté assez relax. Il a vraiment bien joué chaque fois que c'était important et ça a fait la différence. « Il frappe vraiment très bien la balle, il met constamment la pression. Même quand il rate un peu, on n'a jamais l'impression de pouvoir prendre ses marques. » Adrian Mannarino Il a quand même fallu qu'il aille la chercher cette différence. Notamment en fin de deuxième set. À ce moment, j'ai l'impression de bien jouer, mais c'est quand même lui qui me met sous pression. Quand j'arrive à me procurer des balles de jeu, c'est après de longs échanges où j'ai le coeur qui bat fort et peut-être que je ne prends pas les bonnes décisions. Mais c'est lui qui me met dans cet état-là. C'est bien joué de sa part. J'étais content d'arriver au tie-break à un moment où je le mettais sous pression. Mais il a répondu présent. À 5-4, il sort deux aces qui sont intouchables, bravo à lui. Mannarino cède face à Sinner En dehors de cette défaite, cela restera quand même un tournoi positif, non ? Oui, c'est une grosse satisfaction. Honnêtement, l'objectif était de me qualifier et de passer peut-être un tour ou deux. On espère toujours faire un super résultat quand on arrive sur un tournoi, mais c'était un peu inespéré d'arriver en huitièmes de finale. Peut-être que dans un mois ou deux, en prenant le rythme de ces gars-là, je peux espérer arriver à ce stade-là. Mais en partant des qualifs, en n'ayant pas eu de grands résultats ces derniers temps, c'est une grande satisfaction. Si ça peut me permettre d'éviter les qualifs dans le futur, ça m'aidera vachement. Même si ça ne reste que deux matches, dans la tête ça épuise un peu. C'est toujours plus de pression, plus de fatigue. Le niveau en qualifs s'est bien resserré, si tu ne fais pas un bon match, tu passes à la trappe. Ce ne sont pas des joueurs exceptionnels, mais de très bons joueurs qui t'obligent à être présent dès le premier tour. À Wimbledon, j'arrive au troisième tour, mais le fait d'avoir joué les qualifs, ça épuise dans la tête. J'ai l'impression d'être en demi-finales alors que je n'ai gagné que deux matches dans le tableau. J'ai un peu la même sensation ici. Mais c'est super, j'engrange quelques points et c'est sympa de se sentir à nouveau bien sur le court. « A Wimbledon, j'arrive au troisième tour, mais le fait d'avoir joué les qualifs, ça épuise dans la tête. J'ai l'impression d'être en demi-finales alors que je n'ai gagné que deux matches dans le tableau. » Il y a eu une très longue interruption à cause de la pluie. Ce n'est pas la première de votre carrière, mais comment l'avez-vous vécue ? Ce n'est jamais marrant, mais elle a été bénéfique. J'ai pu me rendre compte de ce que je n'avais pas fait de bien au début du match. Je n'étais peut-être pas assez mobilisé à l'entame. Je me suis un peu plus bougé le cul à l'échauffement avant de revenir sur le court. Même si je savais qu'il y avait un fond de fatigue, je savais aussi que si je ne rentrais pas sur le court à 200 % ça allait être compliqué. J'ai appuyé sur l'échauffement et je me sentais mieux. Pour être honnête, on s'arrête à 6-4, 1-2 et ça peut paraître accroché, mais à ce moment, vraiment, il n'y avait pas de match, il dominait. Mais j'ai pu le pousser un peu plus dans la deuxième partie et c'est satisfaisant. »


Le Figaro
32 minutes ago
- Le Figaro
PSG : «Pour être honnête, on ne mérite pas ce trophée», reconnaît Luis Enrique après «un match très bizarre»
Les deux entraîneurs ont fait le point, en conférence de presse, après la victoire parisienne sur Tottenham, mercredi, à Udine, lors de la Supercoupe d'Europe. Luis Enrique (entraîneur du PSG, après la victoire en Supercoupe d'Europe ) : «Pour être honnête, on ne mérite pas ce trophée. On a pu voir la différence entre une équipe comme Tottenham qui a eu six semaines d'entraînement et nous avec seulement six jours. C'est une telle différence. Je suis content du résultat mais ce n'était pas très juste. On a cherché à jouer au foot mais on a fait de mauvaises passes. On a eu la chance de marquer deux buts et d'aller aux tirs au but. Le football, c'est comme ça, et pour nous c'est un très beau moment. C'était un match très bizarre. C'est normal d'avoir cette différence. On a pu voir que nos joueurs ont commis beaucoup d'erreurs techniques. Lucas Chevalier ? Je suis très content de la manière dont il a fini le match. Il a montré du caractère, de la personnalité, des choses que nous demandons pour aider l'équipe» (propos recueillis en conférence de presse). Thomas Frank (entraîneur de Tottenham) : «Je suis fier de mon club, des supporteurs, de l'équipe, des joueurs. Nous avons tout donné, nous avons affronté peut-être la meilleure équipe du monde. On n'a pas à rougir, on a eu 80 minutes absolument parfaites, je suis fier de mes gars. Parfois dans le foot, le diable est dans le détail, les Parisiens n'ont pas baissé les bras, on a malheureusement laissé des espaces qui ont été exploités. Personne ne pensait qu'on allait pouvoir tenir tête au PSG. J'espère que cette intensité, cette agressivité, cet état d'esprit et cette mentalité vont fonder la base de nos performances». (propos recueillis en conférence de presse)


Le Figaro
2 hours ago
- Le Figaro
Mercato : Marquinhos bien parti pour rester au PSG
Malgré une concurrence probablement accrue à son poste, le capitaine brésilien a choisi de rester à Paris pour une 13e saison. Fin du vrai-faux suspense. Depuis plusieurs semaines, l'avenir de Marquinhos faisait débat. Arrivé au club en 2013, le capitaine brésilien du PSG aurait pu se laisser tenter par un nouveau défi. D'autant que le club est visiblement décidé à lui mettre dans les pattes le jeune (22 ans) défenseur international ukrainien (49 sélections, 3 buts) Illya Zabarnyi (Bournemouth). Un joueur pour lequel Paris devra débourser pas loin de 70 M€… Toujours est-il que «Marqui», sous contrat jusqu'en 2028, n'a pas l'intention d'aller voir ailleurs. À découvrir Le calendrier complet du PSG Comme le rapporte L'Équipe, Marquinhos a décidé de rester sur les bords de la Seine malgré de riches propositions en provenance du Golfe. Et ce même si «le club a commencé à préparer l'avenir (et que) son leadership a parfois été questionné en haut lieu», glissent nos confrères, précisant que «son état d'esprit et son investissement sont jugés exemplaires» au sein du club. Luis Enrique, lui, n'a jamais eu à s'en plaindre. Et il couche d'ailleurs toujours le nom de l'international brésilien (99 sélections, 7 buts) sur la feuille de match pour les grands rendez-vous, notamment en Ligue des champions. À voir ce qu'il en sera avec l'arrivée probable de Zabarnyi. «Il connaît les règles du jeu édictées par Luis Enrique et il les accepte», analyse-t-on à L'Équipe. J'ai encore beaucoup à donner à cette équipe. Marquinhos Publicité Malgré le sacre en C1, l'aboutissement d'une vie, Marquinhos estime donc que son histoire à Paris n'est pas terminée. Pas très surprenant quand on se souvient de ce qu'il disait avant la finale de Coupe de France contre Reims (3-0). «J'ai tellement d'amour et d'admiration pour ce club, je donnerai mon maximum à chaque match. Et après, s'ils pensent que ce n'est plus le moment pour Marquinhos d'être au PSG, ça arrivera un jour… Mais j'aurai toujours une grande admiration et beaucoup d'amour. Toutes les années passées ici, même si ce n'était pas toujours le meilleur, j'ai toujours donné le maximum». Et d'ajouter : «Je pense que j'ai encore beaucoup à donner à cette équipe». A priori, les dirigeants le pensent aussi, ils n'ont pas poussé pour l'exfiltrer. Joueur le plus titré de l'histoire du club (1 Ligue des champions, 10 titres de champion, 8 Coupes de France, 6 Coupes de la Ligue et 9 Trophées des champions), Marquinhos a rejoint le Paris Saint-Germain en 2013, après une saison à la Roma. Il détient déjà de nombreux records, comme celui du nombre de matchs disputés en Rouge et Bleu (491 matchs, 41 buts). Record qui a longtemps appartenu à Jean-Marc Pilorget, qui est toujours le seul recordman en termes de longévité avec ses 13 saisons à Paris. Plus pour très longtemps, «Marqui» étant appelé à l'égaler lors de la saison 2025-26. À VOIR AUSSI - Mercato : dans les coulisses de l'arrivée de Luis Díaz au FC Bayern Munich