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Mercato : Timothé Nkada ciblé par Hoffenheim et Cologne

Mercato : Timothé Nkada ciblé par Hoffenheim et Cologne

L'Équipe06-07-2025
Les deux clubs de Bundesliga apprécient l'attaquant de Rodez, vu comme une opportunité de marché intéressante après sa saison à 17 buts en Ligue 2.
Timothé Nkada a vécu la saison passée un tournant dans sa carrière, lui l'attaquant de bientôt 26 ans (il les aura le 20 juillet) formé à Rennes et déjà passé par cinq autres clubs au cours de sa carrière. Après une expérience en Slovénie, à Koper, il est revenu l'été dernier en France, où il a vécu une saison pleine avec Rodez, marquée par 17 buts et 5 passes décisives en Ligue 2.
Ses performances dans l'antichambre de la L1 ne sont pas passées inaperçues en Allemagne, puisque au moins deux clubs de Bundesliga se sont renseignés sur sa situation. Cologne, promu cet été, et Hoffenheim réfléchiraient désormais sérieusement à passer à l'action pour un joueur sous contrat jusqu'en 2027 considéré comme une opportunité de marché potentielle. Rodez ouvrirait la porte à un transfert à partir de 2,5M€-3M€.
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Lors de cette 6e journée des Championnats du monde, Maxime Grousset et Clément Secchi se sont qualifiés, vendredi matin, pour les demi-finales du 100 m papillon. Le relais du 4x200 m a décroché sa place en finale et attend désormais l'arrivée de Léon Marchand dans le quatuor. Après l'effervescence de la veille avec Léon Marchand et la finale du 100 m, la matinée de vendredi a encore été très dense. Juste avant d'entrer en lice, maxime Grousset a annoncé sa décision (logique) de zapper le 50 m. « C'est tout simplement parce que je me sens mieux en pap autant profiter à 100 % de ce que je peux faire en pap », a-t-il commenté. Sur 100 m pap, il possède la meilleure performance mondiale de la saison et peut espérer réaliser le doublé 50-100 pap. Même si le Néo-Calédonien a avoué « avoir un peu ruminé » jeudi soir sa 7e place sur la course reine, il a géré sa série en réalisant le 11e chrono en 51''36. « C'était une course facile, correcte, je n'allais pas tout mettre dès ce matin, a-t-il expliqué. Je suis un peu loin sur les murs, il y a plein de choses à revoir. Je ne cherchais que de la fluidité et de la facilité ce matin. » Dans la même série, Clément Secchi a accroché sa place en demi-finales en réalisant le 16e chrono en 51''58. « J'ai eu chaud, la qualif pour un centième. C'est très serré, le 8e est à deux dixièmes. On va tout faire pour entrer en finale, j'y crois, a estimé le Marseillais. L'attente était longue, je suis plutôt content, c'est mon meilleur temps le matin. On a fait le taf. » Comme le relais 4x200 m composé de Roman Fuchs, Rafael Fente-Damers, Corentin Pouillart et Yann Le Goff. Le quatuor a pris la 8e place en 7'06''88 et offre la possibilité à Léon Marchand d'entrer en piste ce soir pour la finale. Même si les chances de médaille sont faibles, le quadruple champion olympique a envie de nager avec les copains. « On est outsiders, c'est bien, souligne Yann Le Goff. Tout reste à faire et l'objectif principal était d'accéder en finale. Maintenant on va s'amuser, essayer d'aller chercher quelque chose de beau. » En revanche, l'aventure s'arrête pour Nikita Baez. Le Lyonnais qui vit ses premiers Mondiaux n'a pas passé le cut des séries sur 50 m avec le 22e temps (22''06) : « Je suis parti avec zéro expérience aux Championnats du monde, je fais mon 2e meilleur temps, explique-t-il. Tout n'est pas à jeter mais ça a été assez challengeant nerveusement et émotionnellement durant ces dernières semaines. » Le Serbe Andrej Barna s'est montré le plus rapide en 21''46 devant Jack Alexy et Egor Kornev (21''52). Le champion olympique Cameron McEvoy a maîtrisé en 21''53. Ça ne passe pas pour Kyle Chalmers, 20e en 22''06. Sur 200 m dos, Pauline Mahieu a vécu une grosse désillusion. Au bord des larmes, la nageuse de Canet ne s'expliquait pas une telle déconvenue (24e en 2'12''33) : « C'était super dur. Je n'ai pas réussi à relancer, la fin de course a été interminable. J'avais mal dans tout le corps dès le 100 m, je savais que ce serait très compliqué ce matin mais je pensais que ça passerait sauf que là j'étais vraiment à l'ouest. » Le 800 m avec le très attendu duel Ledecky/McIntosh n'a pas délivré de grand message. Les favorites sont là. Katie Ledecky s'est baladée en 8'14''62 et Summer McIntosh, dans la série précédente, a déroulé en 8'19''88. La surprise est venue de la présence d'Anastasiia Kirpichnikova qui avait annoncé après le 1500 m qu'elle allait zapper le 800 m. Elle a changé d'avis pour ne pas avoir de regret mais termine 11e en 8'28''97. « Si j'ai une chance, je veux toujours essayer. Si je n'avais pas essayé, j'aurais pensé tous les jours que j'aurais pu faire quelque chose. Là, je suis sûre (sourire). Pas de regret. Ce n'est pas ma compétition, je suis en vacances. A Jakarta (stage de l'équipe de France), je nageais très vite, je pensais faire mes meilleurs temps ici et non. Dans ma tête, c'était bien mais avec le niveau des filles, ce n'est pas bon. »

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Les Championnats de France de Talence accueillent ce week-end une élite française clairsemée du fait des nombreuses absences dues à la difficile année post olympique. L'occasion pour ceux qui sont dans les clous d'aller glaner leur passeport pour les Mondiaux qui auront lieu dans un mois et demi à Tokyo. Les dynamiques ne semblent pas avoir changé. Un an après avoir nagé sur le monde à Paris, Léon Marchand flotte toujours au-dessus de l'eau à Singapour. Un an après avoir glané une seule médaille (argent) dans son Stade de France, l'athlétisme français, quant à lui, est toujours dans cet entre-deux, où les promesses peuvent se transformer en joie ou rester sans lendemain. Ce vendredi, et pour tout le week-end, le stade boisé de Thouars - là où Gabriel Tual, l'une des valeurs sûres de la nation, s'entraîne au quotidien - accueille les Championnats de France Élite (à suivre en direct sur la chaîne L'Équipe), le passage obligatoire pour ceux et celles qui espèrent voir le Japon en bout d'été (13-21 septembre). Une année olympique difficile à digérer pour beaucoup de monde Évidemment, les yeux seront braqués sur les réussites de Paris 2024, enfin pour les présents. Car, dans cette année post olympique difficile à digérer pour beaucoup de monde à la vue de la liste des blessés et/ou retardataires à l'échelle mondiale (Ingebrigtsen, Hodgkinson, Kennedy...), la France a aussi ses estropiés. Des sept finalistes parisiens, Rénelle Lamote (5e du 800 m), Louise Maraval (8e du 400 m haies) et Clément Ducos (4e du 400 m haies) manquaient déjà à l'appel. Les deux premières citées sont dans une course contre-la-montre et devraient pouvoir reprendre le fil de la saison avant qu'il ne soit trop tard. Pour Ducos, la révélation 2024, sa cheville semble le contraindre à repasser un temps à l'herbage. Cyréna Samba-Mayela sur la liste des absents Mais hier soir, c'est le nom clinquant de Cyréna Samba-Mayela qui s'est ajouté à la liste des absents. Plus apparue en compétition depuis la finale de la Ligue de diamant en septembre dernier, la vice-championne olympique de Paris du 100 m haies devait signer son retour à la compétition à Talence, après un printemps gâché par une blessure à un mollet contracté à l'échauffement de l'étape de Miami du Grand Slam Track début mai. À la fin du mois de juin, lors du meeting de Paris, où elle était spectatrice, la hurdleuse s'était dite « confiante » quant à ses chances de reprise aux France. Finalement, c'est à la surprise général qu'elle a fait constater une blessure hier soir au médecin fédéral afin d'obtenir une exemption pour le rendez-vous national et toujours espérer être de la partie au Japon. « Il ne faut ne faut pas sous-estimer l'impact psychologique et la pression qui redescend au niveau du corps après les Jeux » Romain Barras, le directeur de la haute performance à la FFA Une liste de forfaits à laquelle on peut ajouter quelques potentiels comme le champion d'Europe du steeple Alexis Miellet (pied), le vainqueur de la coupe d'Europe au triple Jonathan Seremes (pied), le sprinteur Pablo Matéo (100 m) ou encore la demi-fondeuse Sarah Madeleine (1 500 - 5 000 m). « Il y a toujours un investissement qui est un cran au-dessus en année olympique, rappelait mercredi Romain Barras, le directeur de la haute performance à la Fédération française d'athlétisme (FFA). Il ne faut pas sous-estimer l'impact psychologique d'un tel événement, la pression qui redescend au niveau du corps après les Jeux. Le plus compliqué c'est de s'acharner. Tous ceux qui s'écoutent, sont raisonnables, c'est le meilleur conseil. Il en reste des saisons. » Heureusement pour les Bleus, certains semblent, au contraire, bien dans les clous comme Gabriel Tual (6e du 800 m aux JO), Yann Chaussinand (8e du marteau) ou encore Alice Finot (4e du 3 000 m steeple) qui seront tous les trois en Gironde pour simplement poinçonner un ticket qu'ils ont déjà en poche avec le statut de « prioritaire » offert par la FFA. Finalement, l'une des grandes questions de ce Championnat - au-delà de savoir qui seront les deux milers qui accompagneront Azeddine Habz (intouchable vu le CV et la possibilité du comité de sélection de choisir 1 athlète en plus des deux premiers aux France) sur le 1 500 m où ils sont 7 à avoir fait les minima - est de savoir si Sasha Zhoya ajoutera un quatrième titre de suite à sa collection sur le 110 m haies. Le problème c'est que la pépite née en Australie est aussi dans l'inconnu en arrivant à Talence. En super forme au début de la saison (13''06, record personnel), il a, depuis, géré son physique qui couine souvent. Mais il fait partie de ceux chargés de ramener le soleil et de l'emmener là où il se lève.

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