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L'AC Ajaccio a demandé à reporter de cinq jours son passage devant la DNCG

L'AC Ajaccio a demandé à reporter de cinq jours son passage devant la DNCG

L'Équipe14 hours ago
Reléguée administrativement par la DNCG de Ligue 2 en National, l'AC Ajaccio a annoncé avoir demandé ce vendredi de pouvoir reporter leur passage en appel du 10 au 15 juillet.
Le quotidien des supporters de l'AC Ajaccio n'est pas simple à gérer en ce moment. Si le club a gagné sportivement le droit de rester en Ligue 2 après une seconde partie de saison flamboyante (12e), la DNCG, qui avait déjà sanctionné le club insulaire cet hiver, a de nouveau frappé. L'ACA a été rétrogradée provisoirement en National le 24 juin. Alors que le projet de reprise par un avocat espagnol tarde à se concrétiser, la direction du club a demandé un report de son passage en appel devant la DNCG. Initialement fixée au 10 juillet, la nouvelle audience se tiendra le mardi 15 juillet à Paris.
Le président du club Alain Orsoni confiait après la décision de la DNCG : « Ça s'est passé très précisément comme on l'avait prévu, à savoir que maître Arnau Baqué Roig, qui est le repreneur du club et qui est avocat en Espagne, avait préparé une garantie notariale à hauteur de 20 millions d'euros mais, on l'a su depuis 3-4 jours, ce n'est pas recevable. Il est obligé de transformer ça en un prêt bancaire, sur lequel il a déjà commencé à travailler [...] Maintenant, c'est une question de délai, de mise en place de l'opération. On est confiant. ». L'avenir du club corse en dépend.
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L'Équipe

time13 minutes ago

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« Un grand coup de chapeau aux joueurs » : Fabien Galthié fier de la performance de l'équipe de France malgré la défaite contre la Nouvelle-Zélande

Le quinze de France s'est incliné de justesse pour son premier test en Nouvelle-Zélande (31-27), ce samedi à Dunedin. Le sélectionneur Fabien Galthié a tenu à féliciter ses joueurs et son staff. Fabien Galthié (sélectionneur de l'équipe de France après la défaite en Nouvelle-Zélande, 31-27, au micro de Canal +) : « Les joueurs croient en eux, en leur chance. Il faut leur tirer un grand coup de chapeau et aussi à l'équipe et au staff. Quand vous jouez face aux All Blacks, il faut être au meilleur de vous-même. On n'a pas été loin de le réussir. On a une balle de match... J'espère que ça va inspirer le groupe pour la suite. On va se battre. Il y a plusieurs tournants dans ce match. Les Blacks ont un ou deux essais refusés sur arbitrage vidéo (3 en réalité). De notre côté, nous avons été cohérents sur notre stratégie et efficaces sur le peu de ballon que nous avons eu. Les joueurs ont cru en eux, il faut qu'ils continuent dans cette voie. » Joris Segonds (ouvreur de l'équipe de France, au micro de Canal +) : « C'est un rêve d'enfant. J'avais participé à deux tournées sans jouer. Je ne réalise pas encore. Cette défaite est frustrante. Mais en même temps nous sommes fiers d'avoir rivalisé face à cette équipe des Blacks. Tout le monde nous annonçait un enfer. Nous étions de nombreux non capés, avec une équipe inexpérimentée. Mais je retiens l'état d'esprit. C'est magnifique ce qu'on a fait. Ça restera gravé à jamais. Ce qui a fait la différence, c'est le gain du territoire et la discipline. À ce niveau, ça ne pardonne pas. Mais ce qu'on a fait c'est beau. À la fin, on les sent trembler. On y croyait. » Rabah Slimani (pilier de l'équipe de France, au micro de Canal +) : « C'est une fierté de porter ce maillot. J'aimerais féliciter l'équipe. On nous avait promis l'enfer. On nous avait appelés les coiffeurs, l'équipe bis. On termine à 4 points, malgré dix minutes à 14. On a prouvé que cette équipe pouvait réaliser de belles choses. C'est dommage, on n'est pas loin, ça ne se joue à rien. C'est un peu frustrant, mais il faut garder le positif. C'est de bon augure pour les deux prochains matches. Avec plusieurs nouveaux capés, ça prouve que le réservoir français est important. »

Les notes de Nouvelle-Zélande - France : Théo Attisogbe et Alexandre Fischer autoritaires
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L'Équipe

time13 minutes ago

  • L'Équipe

Les notes de Nouvelle-Zélande - France : Théo Attisogbe et Alexandre Fischer autoritaires

Les Bleus « bis », qui se sont inclinés de peu face aux All Blacks (31-27) ce samedi à Dunedin, à l'occasion du premier des trois tests qui opposeront les deux équipes, ont montré de belles choses, à l'image d'Alexandre Fischer et Théo Attisogbe, malgré leur manque de vécu commun au niveau international. L'arrière palois s'est montré sous un bon jour. En l'air d'abord, le numéro 15 tricolore a fait preuve d'assurance et d'autorité tout au long de la partie. Il a été à l'origine du premier essai des Bleus avec une belle percée de près de cinquante mètres (17e). À mettre à son crédit un jeu au pied précis pour dégager son camp (30e) ou une interception pour soulager son équipe (15e), sans oublier une pénaltouche sauvée à cinq mètres de l'en-but du quinze de France (23e). Il réussit également deux sauvetages devant son en-but. D'abord sur un petit par-dessus de Will Jordan alors que les Bleus étaient à 14 (60e) puis sur un autre coup de pied de Beauden Barrett (72e). Pour sa première sélection, l'ailier, d'origine néo-zélandaise par son père, n'a pas démérité. Comme les Bleus, il a réussi son début de match avec une chandelle captée (9e) et un bon retour défensif sur la première percée des All Blacks. Offensivement, il n'a pas eu beaucoup de ballons pour s'illustrer. Défensivement, il manque deux plaquages, dont un sur le 4e essai des Blacks. Mais il s'est accroché presque jusqu'à la fin du match. Touché, il a été remplacé par Tixeront (72e). Rencontre compliquée pour le centre des Bleus. Offensivement, il a eu peu de ballons pour se mettre en évidence, mis à part ce soutien décisif sur la percée d'Attisogbe et ce point de fixation pour mettre sur orbite Fickou avant que Guillard n'aplatisse (17e). En revanche, défensivement, le Palois a galéré. Malgré une grosse activité (16 plaquages), il en a raté 4, ce qui est beaucoup trop à ce niveau de compétition et face à un adversaire comme la Nouvelle-Zélande. Pour son premier capitanat au coup d'envoi, le centre de l'équipe de France a guidé les siens en patron de la défense. Il n'a pas été loin de marquer, mais a été repris à un mètre de la ligne avant que Guillard n'aplatisse (17e). Il s'est employé au plaquage comme souvent (16 au total), même s'il en rate un sur le premier essai néo-zélandais (20e). Un bon coup de pied de dégagement pour faire souffler les siens (69e). Offensivement, il a souvent avancé au contact. Un match plein. Un match clair-obscur pour l'ailier. Les débuts sont prometteurs avec une belle passe au pied (5e) et une pénalité gagnée sur un contest (6e). Ensuite, il est fautif sur deux essais néo-zélandais avec un plaquage manqué (27e) et une montée kamikaze (39e). Mais il s'est bien repris en étant à la conclusion d'un essai (42e) et un grattage décisif à cinq mètres de l'en-but tricolore sur un temps fort des Blacks (45e). Malheureusement, il écope d'un carton jaune pour un en-avant volontaire (56e). L'ouvreur de Bayonne a parfaitement lancé son match, réussissant sa première réception (1re) - sur laquelle Reece s'est blessé en tentant de le plaquer - avant de trouver une bonne touche (2e). La longueur de son jeu au pied a globalement fait du bien à l'équipe de France, et il a su être un buteur précis (2/2 dont un but de pénalité à 50 mètres). Mais le Bayonnais a également eu du déchet défensivement (deux plaquages ratés), notamment sur l'essai de Vaa'i (26e). Le demi de mêlée n'a pas toujours été juste, comme sur ce contre de Scott Barrett sur une sortie de camp (19e) qui a abouti au premier essai néo-zélandais. Mais il a réussi à accélérer le jeu des Bleus quand il en avait l'occasion, conduisant parfaitement son équipe vers l'essai du 21-20 à la 43e minute et il a été précis face aux perches (2/2). Remplacé à la 58e par Jauneau qui a connu du déchet au pied. Son essai à la 17e minute a concrétisé son excellent début de match, et celui de son équipe. Le numéro 8 a assumé son statut de cadre des Bleus sur cette tournée. Il a été l'une des rampes de lancement privilégiée du quinze de France, rivalisant avec les avants néo-zélandais, portant le ballon avec efficacité - dans la première demi-heure surtout - apportant sa puissance offensivement mais aussi défensivement (seize plaquages réussis) sur la seconde partie du match. Le Clermontois s'est énormément employé en première période, faisant valoir sa mobilité et terminant les 40 premières minutes avec le meilleur total de plaquages réussis (onze). Parfois sollicité en touche, le flanker n'a cependant pas réussi à tenir le rythme néo-zélandais sur la longueur, à l'image de cette course désespérée derrière Ardie Savea (30e). Il a été remplacé dès la 48e minute par un Jacobus van Tonder tranchant et actif avant de rentrer au centre en fin de match. À 27 ans, le flanker a vécu une première sélection en équipe de France dont il se souviendra longtemps. Au coeur du combat, il a livré une bataille épique pendant 80 minutes, terminant le match à 20 plaquages réussis. Sa puissance a permis de freiner les offensives néo-zélandaises, il a assuré quelques relais intéressants dans le jeu, comme sur l'essai de Cameron Woki (50e). Et ses deux grattages sur des ballons brûlants dans les 22 mètres des Bleus (54e, 70e) ont permis à l'équipe de France de rester en vie. Lancé en Bleu à Dunedin, le deuxième-ligne d'origine canadienne a fait parler sa rugosité dès les premiers contacts. Il termine d'ailleurs avec onze plaquages, à 100 % de réussite, précieux notamment dans les séquences défensives dans les 22 mètres. À son débit un ballon perdu au contact (29e) mais qui pèse peu dans le bilan du Montpelliérain, prometteur pour sa première dans le registre physique dans lequel il est attendu. Remplacé par Taofifenua (48e). Le deuxième-ligne palois a lui aussi été actif en défense (6/6 aux plaquages) et dans le travail obscur, récompensé par un ballon gratté après s'être jeté dessus sur une passe dans le vide de Roigard (30e). Il signe aussi un gros plaquage sur Beauden Barrett en début de match (9e). Il a également fait le boulot dans les airs, sous renvoi et en touche, où les Bleus ont été très propres. Remplacé par Woki (48e). De retour en Bleu plus de cinq ans après sa dernière sélection, Slimani a dans l'ensemble fait le travail en mêlée. Plutôt solide en début de match, il a semblé fléchir physiquement en fin de première période. Il est notamment pris sur un départ de Codie Taylor derrière un maul (36e). Il rate d'ailleurs trois plaquages, pour huit réussis. Remplacé par Montagne (48e). Membre du cinq de devant remplacé le plus tardivement (56e), le talonneur a répondu aux attentes, notamment en conquête, où les Bleus sont à 100 % en touche. La mêlée, bonne rampe de lancement sur l'essai de Guillard (17e) a aussi été solide - juste pénalisée à la 25e. Dommage qu'il soit pris à la faute deux fois coup sur coup (22, 23e), au sol puis sur maul, car son activité est remarquable, à l'image de ses seize plaquages (pour un raté). Remplacé par Bourgarit (56e). Pour sa première sélection, le pilier gauche s'est envoyé, à l'image de ses neuf plaquages à 100 % de réussite. Il s'est d'ailleurs mis dans son match avec un bouchon sur McKenzie (16e). Du genre dynamique, il a aussi pu faire parler sa qualité ballon en main avec un gros boulot sur l'action qui mène à l'essai de Gabin Villière (43e). Si la mêlée a été pénalisée une fois (25e), il a été solide dans le secteur. Remplacé par Mallez (48e). Si les Bleus ont fini par céder, les entrants ont clairement été à la hauteur des sortants, notamment dans l'engagement défensif. Prime aux deux piliers Paul Mallez (6), 14/16 aux plaquages, et Régis Montagne (6), 11/11, admirables d'abnégation. Et que dire de Romain Taofifenua (6), 13/13, toujours précieux en sortie de banc, même s'il perd le dernier ballon d'attaque dans les 22m néo-zélandais (77e). Pour son premier ballon en Bleu, Van Tonder (6), qui ne s'est pas économisé non plus, a failli marquer un essai sur une belle percée (49e). Pierre Bourgarit a aussi signé une belle entrée, bien que la mêlée soit pénalisée deux fois en fin de match, alors que Cameron Woki (7) a fait du bien dans les airs, s'offrant aussi un essai au ras (50e). Entrées plus contrastées à la charnière pour Baptiste Jauneau, coupable de deux coups de pied directs en touche, et Antoine Hastoy, que l'on n'a pas beaucoup vu et qui rate un plaquage en bout de ligne. 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Pour mesurer l'attractivité d'une joueuse, les entretiens à Clairefontaine avant le début d'une compétition donnent souvent le ton. Sandy Baltimore, comme Marie-Antoinette Katoto ou Kadidiatou Diani , deux de ses meilleures amies, figurait parmi les plus demandées à l'approche de l'Euro 2025 . Pas forcément de quoi l'épanouir : « Je suis une personne introvertie, je suis assez timide. Quand on me voit comme une star, je ne suis pas très à l'aise. » La gauchère de 25 ans va pourtant devoir s'y faire. Sandy Baltimore a changé de dimension ces derniers mois. Elle n'est pas encore une candidate au Ballon d'Or mais la native de Colombes en prend le chemin grâce à un passage réussi du PSG , son club formateur, à Chelsea , où elle a conclu la saison sur le podium des meilleures joueuses d'Angleterre selon la BBC. « Une menace constante sur son côté gauche, écrit le célèbre média britannique. Tous les adversaires ont eu du mal à la contrôler. »

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