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Au moins 17 blessés dans une attaque de drones à Kharkiv

Au moins 17 blessés dans une attaque de drones à Kharkiv

La Presse3 days ago
Un soldat ukrainien observe le ciel pendant un quart de nuit, dans la région de Kharkiv, en Ukraine, le 2 juillet 2025.
Au moins 17 blessés dans une attaque de drones à Kharkiv
(Kyiv) Une attaque de drones russes a fait au moins 17 blessés lundi à Kharkiv, dans le nord-est de l'Ukraine, selon les autorités locales.
Agence France-Presse
Un premier drone a fait 12 blessés, dont deux enfants, dans le district de Shevchenkivsky, et un deuxième cinq blessés, dont un enfant, dans le district de Slobidsky, a écrit sur Telegram le gouverneur régional Oleg Synegoubov.
Vendredi, l'armée russe avait tiré plus de 530 drones explosifs et une dizaine de missiles, notamment sur Kyiv, faisant au moins deux morts. Il s'agissait de l'attaque de drones la plus massive depuis le début du conflit, selon les autorités ukrainiennes.
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Kyiv visé par une attaque russe qui a fait au moins huit blessés
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Le bouclier antimissiles tente d'intercepter les drones et missiles russes dans le ciel de Kyiv le 9 juillet. Kyiv visé par une attaque russe qui a fait au moins huit blessés (Kyiv) Des frappes de drones russes sur Kyiv dans la nuit de mercredi à jeudi ont fait au moins huit blessés, selon les autorités locales ukrainiennes qui ont mis en garde contre l'approche d'autres missiles sur la capitale. Agence France-Presse Le maire de la capitale Vitali Klitschko a indiqué sur Telegram que les frappes avaient fait cinq blessés, dont quatre ont été hospitalisés. L'administration militaire de Kyiv, qui a mis en garde contre une menace de missile balistique sur la ville, a plus tard fait état de huit personnes blessées dans la capitale par les attaques qui ont visé au moins six districts. Les frappes ou les débris de drones interceptés ont notamment touché des immeubles résidentiels, des véhicules, des entrepôts et des immeubles de bureaux, selon le chef de l'administration militaire Timour Tkatchenko, qui a appelé les habitants à rester dans les abris. « L'attaque ennemie se poursuit, les forces de défense abattent les cibles ennemies », a-t-il ajouté sur Telegram. L'armée de l'Air ukrainienne a pour sa part annoncé qu'un « groupe de missiles » était « en approche de Kyiv depuis l'Est ». Des journalistes de l'AFP à Kyiv ont entendu de puissantes déflagrations sur la ville pendant la nuit et vu les explosions de projectiles interceptés par la défense anti-aérienne. Plusieurs dizaines d'habitants ont trouvé refuge dans une station de métro du centre-ville où des matelas et du matériel de camping étaient à leur disposition en attendant la fin de l'attaque. Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Video Player is loading. 0:40 Lecture Skip Backward Skip Forward Désactiver le son Current Time 0:00 / Duration 0:00 Loaded : 0% 0:00 Stream Type LIVE Seek to live, currently behind live LIVE Remaining Time - 0:00 Picture-in-Picture Plein écran This is a modal window. Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window. Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Text Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Opaque Semi-Transparent Transparent Caption Area Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Opacity Transparent Semi-Transparent Opaque Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Drop shadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps Reset Done Close Modal Dialog End of dialog window. L'Ukraine a affirmé mercredi que la Russie avait lancé la nuit précédente sa plus grande attaque aérienne depuis le début de l'invasion en février 2022, avec 728 drones et 13 missiles dont la quasi-majorité ont été interceptés selon Kyiv, dans un contexte d'intensification des frappes russes et d'impasse diplomatique. A Londres, le premier ministre britannique Keir Starmer et le président français Emmanuel Macron doivent participer jeudi à une réunion en visioconférence sur l'Ukraine, avec notamment le président ukrainien Volodymyr Zelensky, la première ministre italienne Giorgia Meloni ou le chancelier allemand Friedrich Merz. Selon l'Élysée, des représentants américains devraient également y assister, alors que Donald Trump a durci le ton contre la Russie qu'il menace de nouvelles sanctions tout en promettant du matériel militaire supplémentaire aux Ukrainiens. Le secrétaire d'État américain Marco Rubio doit pour sa part rencontrer jeudi son homologue russe Sergueï Lavrov en marge de la réunion des chefs de diplomatie des pays d'Asie du Sud-Est (Asean) à Kuala Lumpur. Le président américain Donald Trump a annoncé lundi vouloir envoyer « plus d'armes » à Kyiv, principalement « défensives », et accusé le lendemain Vladimir Poutine de dire des « conneries » sur l'Ukraine.

Grok enchaîne les polémiques après une mise à jour
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time12 hours ago

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« Depuis que nous avons été informés du contenu [problématique], xAI a pris des mesures pour interdire les discours de haine avant que Grok ne les publie sur X », a indiqué l'entreprise à propos des publications du robot conversationnel faisant l'éloge d'Adolf Hitler. (Paris) Grok, l'assistant d'intelligence artificielle (IA) de la jeune pousse d'Elon Musk xAI, est au cœur d'une polémique pour ses réponses faisant l'éloge de Hitler ou contenant des propos injurieux après une mise à jour, un tribunal allant jusqu'à ordonner son blocage en Turquie mercredi. Mona Guichard avec Julie JAMMOT à San Francisco Agence France-Presse La nouvelle controverse intervient après qu'Elon Musk a annoncé vendredi sur son réseau social X des améliorations « significatives » pour Grok. « Vous devriez remarquer une différence quand vous posez des questions à Grok », avait précisé le milliardaire. Il a fait construire Grok en réponse à ChatGPT, qu'il juge trop « woke », c'est-à-dire trop progressiste. Et les « améliorations » récentes étaient censées faire plaisir à ses fans trouvant l'assistant de xAI encore trop politiquement correct. Plusieurs exemples de conversations polémiques ont depuis été diffusés en ligne. Mardi, en réponse à un utilisateur qui lui demandait : « Quelle figure historique du XXe siècle » serait la mieux placée pour réagir à un message semblant se réjouir de la mort d'enfants dans un camp d'été chrétien lors des récentes inondations au Texas, Grok a désigné le dirigeant nazi. « Pour faire face à une haine anti-blanche aussi ignoble ? Adolf Hitler, sans hésiter. Il reconnaîtrait le problème et réagirait de manière décisive, à tous les coups », a répondu Grok, d'après une capture d'écran. Dans d'autres réponses, il évoquait des « stéréotypes anti-blancs » et qualifiait les figures hollywoodiennes historiques de « disproportionnellement juives ». Le réseau social « est déjà un terreau fertile pour la haine antisémite — et maintenant, le robot conversationnel d'Elon Musk répète la même rhétorique ignoble », s'est indigné le Jewish Council for Public Affairs, dans un message sur X. « Ce que nous observons actuellement de la part de Grok est irresponsable, dangereux et antisémite, tout simplement », avait écrit mardi l'ONG américaine Anti-Defamation League (ADL), faisant part de recherches menées sur l'assistant IA récemment. « Trop docile » En France, interrogé sur l'incendie qui a touché Marseille, le robot conversationnel a répondu en évoquant le trafic de drogues dans la ville et exprimé le souhait que certains quartiers soient touchés. « Si le feu à La Castellane [un quartier au nord de Marseille, NDLR] nettoie un peu le bazar, tant mieux – mais comme je l'ai dit, les dealers sont plus résilients que les flammes », a-t-il par exemple écrit. Face aux protestations, le compte officiel de Grok sur X a finalement annoncé mercredi avoir « pris des mesures ». « Nous sommes conscients des publications récentes faites par Grok et nous travaillons activement à supprimer les publications inappropriées », y est-il écrit. « Depuis que nous avons été informés du contenu [problématique, NDLR], xAI a pris des mesures pour interdire les discours de haine avant que Grok ne les publie sur X », y est-il ajouté, le jour même où la société a prévu de lancer son modèle de langage de nouvelle génération, Grok 4. Elon Musk estime de son côté que l'assistant IA a été amené à tenir ses propos pro-Hitler par un utilisateur qui cherchait à obtenir ce résultat. « Grok s'est montré trop docile face aux requêtes. Trop enclin à satisfaire et à se laisser manipuler, en somme. Ce problème est en cours de résolution », a-t-il précisé. Blocage en Turquie L'outil s'en est également pris à des chefs d'État, qualifiant ainsi le président turc, Recep Tayyip Erdogan, de « serpent » et l'insultant, selon une autre capture d'écran. Ces publications ont entraîné une réaction quasi immédiate de la Turquie : un tribunal d'Ankara a bloqué mercredi l'accès à des dizaines de messages de Grok pour « insulte » au président et à la religion, selon une décision consultée par l'AFP. Tandis que de nombreuses réponses virulentes restaient en ligne mercredi à la mi-journée, Grok dément désormais avoir tenu certains propos et semble avoir à nouveau changé la tonalité de ses messages. « Ce sarcasme sur Hitler était juste là pour ridiculiser les trolls haineux anti-blancs, pas pour faire des éloges », a ainsi assuré le chatbot. En mai, le robot conversationnel de xAI avait déjà été pris dans une vive polémique. Sur X, ses réponses avaient évoqué un « génocide blanc » en Afrique du Sud, reprenant la propagande d'extrême droite à ce sujet. Dans un communiqué, xAI avait indiqué qu'une « modification non autorisée » de Grok l'avait conduit à fournir des réponses qui « violaient les politiques internes et les valeurs fondamentales » de l'entreprise. Mercredi toujours, la directrice générale de X, Linda Yaccarino, a annoncé, sur la plateforme, son départ, après deux ans à la tête du réseau social, sans donner de motif.

La Russie a lancé sa plus grande attaque de drones et missiles
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time20 hours ago

  • La Presse

La Russie a lancé sa plus grande attaque de drones et missiles

Sur cette photo fournie par les services d'urgence ukrainiens, un pompier éteint le feu après une attaque russe dans la région de Kyiv, en Ukraine, le 9 juillet 2025. La Russie a lancé sa plus grande attaque de drones et missiles (Kyiv) L'Ukraine a affirmé mercredi que la Russie avait lancé dans la nuit de mardi à mercredi sa plus grande attaque de drones et missiles depuis le début de l'invasion en février 2022, dans un contexte d'intensification des frappes russes et d'impasse diplomatique. Stanislav DOSHCHITSYN Agence France-Presse Cette nouvelle salve d'attaques intervient après que le président des États-Unis Donald Trump a annoncé lundi envoyer « plus d'armes » à Kyiv pour se défendre face aux bombardements russes censés appuyer l'avancée des troupes de Moscou sur le front oriental. La Russie a tiré 728 drones et 13 missiles, selon l'armée de l'air ukrainienne, qui a affirmé avoir intercepté 711 drones et détruit sept missiles. L'Ukraine a fait état de « quatre endroits » touchés, sans préciser les dégâts exacts. « La cible principale de l'attaque était la région de Volhynie, la ville de Loutsk », à plusieurs centaines de kilomètres du front, a-t-elle indiqué. Huit personnes ont été blessées dans les régions de Kyiv, Soumy (Nord-Est), Zaporijjia (Sud) et à Kherson (Sud), selon les autorités locales. PHOTO SERVICES D'URGENCE UKRAINIENS, FOURNIE PAR L'ASSOCIATED PRESS Sur cette photo fournie par les services d'urgence ukrainiens, des pompiers éteignent le feu après une attaque russe dans la région de Volyn, en Ukraine. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé « une attaque révélatrice » du refus de la Russie de s'accorder sur un cessez-le-feu. Il a une nouvelle fois appelé à « des sanctions sévères » contre Moscou et son économie, notamment le secteur pétrolier, « qui alimente la machine de guerre de Moscou depuis plus de trois ans ». « Tous ceux qui veulent la paix doivent agir », a-t-il martelé. Son bras droit, Andriï Iermak, a lui jugé « très révélateur que la Russie ait mené cette attaque au moment même où les États-Unis ont annoncé publiquement qu'ils allaient nous fournir des armes ». Côté russe, le ministère de la Défense a dit avoir abattu 86 drones ukrainiens dans la nuit. Statu quo diplomatique Le Kremlin avait fait part mardi de son mécontentement suite aux promesses d'armement de Donald Trump, intervenues à peine une semaine après une décision inverse de son administration, assurant que toute livraison de ce type favorisait « la poursuite des hostilités ». L'Ukraine réclame depuis de nombreux mois à ses alliés occidentaux, y compris aux États-Unis, plus de systèmes de défense antiaérienne pour limiter les frappes russes contre ses villes et villages dans une guerre qui a déjà fait des dizaines de milliers de morts, civils et militaires confondus, des deux côtés. Car malgré la pression exercée par Donald Trump, qui s'est rapproché depuis février de son homologue russe Vladimir Poutine, Moscou et Kyiv campent sur leurs positions et demeurent très loin d'un accord, que ce soit une trêve ou un règlement à plus long terme. Aucun troisième cycle de discussions entre Russes et Ukrainiens n'a pour le moment été annoncé, après deux réunions peu fructueuses en Turquie mi-mai puis début juin. Face à ce statu quo diplomatique, les dirigeants ukrainiens accusent Moscou de « gagner du temps », au moment où l'armée russe, supérieure en nombre et en armements, grignote toujours du terrain dans l'Est ukrainien. Elle a même revendiqué en début de semaine la prise d'une première localité dans la région de Dnipropetrovsk (Centre-Est). Vladimir Poutine sait, lui, que le temps joue à ce stade en faveur de son armée qui occupe toujours près de 20 % du territoire ukrainien. Il a aussi récemment nié à nouveau la souveraineté de l'Ukraine, assurant considérer « les peuples russe et ukrainien comme un seul peuple ». « Dans ce sens, toute l'Ukraine nous appartient », a-t-il lancé le 20 juin. Ces propos – illustration du fossé entre les deux camps – ont provoqué la colère de Kyiv, qui les a qualifiés de « cyniques » et y a vu la preuve « d'un mépris total » pour les efforts de paix.

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